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Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Jeu 16 Juin 2016, 14:18
par pabelbaba
Il est sympa celui-là, mais Scalp va le revoir méchamment à la baisse. :chut:

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Jeu 16 Juin 2016, 14:24
par osorojo
J'sais pas si c'est un film qui se revoit d'ailleurs :mrgreen:

Certaines scènes ouais pourquoi pas, mais en entier, à mon avis tu dois trouver le temps long ^^

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Jeu 16 Juin 2016, 14:28
par pabelbaba
Faut laisser un peu de temps, mais il commence à me retitiller parce que ma critique n'était pas en direct je crois.

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Jeu 16 Juin 2016, 17:50
par Scalp
Déjà revu, je l'ai gardé, ce qui veut dire qu'il a toujours une bonne note.

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Jeu 16 Juin 2016, 18:06
par pabelbaba
5 et +?

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Jeu 16 Juin 2016, 18:29
par Scalp
Tout ce qui est en dessous de 7/8 ça vire donc imagine comme ça se réduit.

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Jeu 16 Juin 2016, 18:32
par Jed_Trigado
C'est un des meilleurs polars autour du sujet de la rétrocession pour ma part, ça égale certains Ringo Lam a l'aise pour son traitement assez radical.

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Ven 17 Juin 2016, 09:27
par pabelbaba
Il n'y a pas non beaucoup de films ayant pour toile de fond la rétrocession. Certains persos en parlent dans quelques films, mais c'est rare.

Dans mes souvenirs, le point noir du film c'est Yuen Biao choisi pour ses talents d'acteur dramatique. :chut:

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Ven 17 Juin 2016, 09:31
par Jed_Trigado
Il est pas déshonorant je trouve.

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Ven 17 Juin 2016, 09:59
par Mark Chopper
Il est même bon. Par contre c'est un film assez déprimant, je doute de le revoir malgré son efficacité.

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Ven 17 Juin 2016, 10:03
par osorojo
Ouais, pour le coup je comprends pas les réserves de Pabel, lui qui est si tolérant d'habitude :mrgreen: Je l'ai trouvé bon également ici l'ami Yuen, même s'il tatane pas beaucoup, il fait le taff à côté.

Mais ué, pour ce qui est du film, c'est bien assumé pétage de moral jusqu'au bout. Le pire, c'est la vitesse avec laquelle les personnages passent à autre chose (parce qu'ils n'ont pas le choix) alors qu'il vient de leur arriver un truc de fou :eheh:

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Ven 17 Juin 2016, 10:31
par pabelbaba
Vous m'étonnez, faudrait vraiment que je le revoie du coup.

Mais je ne sais même plus quelle édition j'ai... Et surtout si j'ai acheté le Z2fr, ce serait l'occase d'essayer de mettre la main dessus.

Beast Cops - 7/10

MessagePosté: Lun 27 Juin 2016, 22:17
par osorojo
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BEAST COPS

Dante lam & Gordon Chan | 1998 | 7/10
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« Théorie de la machette »


Entre deux punchlines bien grasses et quelques mises en garde sur le danger du sexe sans petit capuchon, les machettes parviennent à se tailler la part du lion à l’occasion d’un dernier quart d’heure festival qui fait la part belle à la charcuterie bien saignante. Beast Cops c’est vis ma vie de flic pourri qui tente de remettre les pendules à l’heure, condamné par ma bonhommie naturelle à danser sans grâce sur un câble instable qui sépare pauvreté intègre et richesse véreuse.

Anthony Wong déroule, ballerine frigide un peu gauche chaussée d’un masque à grimaces particulièrement stimulant, qui parvient non sans mal à déposer le triple axel double piqué alors que le pied d’appel était souffrant au moment de l’impulsion.

Après une grosse heure de présentation un peu hasardeuse qui prend les allures d’un sketch policier mi-comique mi-poisseux dans les bas fonds d’un Hong Kong tombé aux mains de bandits peu scrupuleux, Dante Lam et Gordon Chan se rappellent qu’ils ont pour tâche de livrer un polar nerveux. Une poursuite bien vive en Hummer plus tard, les armes blanches investissent le cadre, la caméra se libère. Enfin nourrie en cocaïne, elle livre la marchandise, avec énergie, jusqu’à la tombée du rideau final.

Il ne faudra chercher ni cohérence, ni tenue dans Beast Cops; bien triste sera celui qui ne saura se rassasier de sa fraîcheur, celle qui lui permet de jongler avec une seule et même constante : un humour qui ne retombe jamais. Même lorsque les têtes tombent, que la violence se fait sèche, il n’est jamais question pour les deux trublions aux commandes de la jouer trop sérieux.

Un équilibre particulier qui peut surprendre, voir agacer, mais qui, bizarrement, fonctionne plutôt bien. Sans être la petite pépite insolente espérée, Beast Cops est un polar énervé qui parvient à retomber sur ses pattes en botant furieusement le cul de l’ennui furtivement apparu en première intention en appelant le métal à sectionner violemment toute chair se trouvant sur leur passage.

De quoi rappeler —toute proportion gardée j’entends— les meilleures heures du polar HK hardboiled. Personnellement, ça me file la patate.

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Mar 28 Juin 2016, 06:46
par pabelbaba
T'avais le droit d'être plus généreux, on n'en voit pas tous les tous les jours des comme ça! :mrgreen:

Re: [oso] Ma prose malade en 2016

MessagePosté: Mar 28 Juin 2016, 07:38
par osorojo
Ah ça y est, on y revient. God damn it !

Non, j'peux pas mettre plus, faute à la première heure et au cast féminin qui est bof bof :mrgreen:

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