BE KIND, REVIEW!

Non c'était Galoo
Depuis je me suis marié avec. Jaloux Logan tu veux le même MP

Vous êtes en train de niquer mon topic.
Si quelqu'un veut par la même occasion mettre en vente quelque chose n'hésitez pas.

Sinon pour revenir à ton beau 10 et donc ta critique (merde j'ai plus rien à vendre), je parlerai pas de remake pour le Gus Van Sant mais plus d'un copier-coller, je ne sais pas si y aun terme pour ça, deplus j'ai bien l'impression que c'est le seul film qui a été copier au plan près depuis l'histoire du cinéma. Je viens de me le prendre histoire de voir ce que ça donne même si je pense que ça m'apportera rien de plus et puis Vince Vaughn et Anne Heche ca fait pas rêver.

Ouais le remake est barbant, perds pas de temps avec. C'est le même qu'Hitchcock le génie en moins, copier-coller à mort.

Ou alors tu le regardes comme un jeu des 7 erreurs.

Les critiques avaient adoré à l'époque

C'est une bonne idée tiens, psychose sur un écran et l'autre sur le PC et hop le visionnage (4 minutes de décalage au final)! J'vais faire ça pour le fun

Rien ne vaut une redécouverte du film. Je pourrais même le revoir moins d'un an après que je kifferai autant. Mais j'ai beaucoup de films sur le feu, d'ailleurs les prochaines critiques seront Clerks 1 et 2 car Logan a attisé ma curiosité pour le 2.

Ce film nous laisse avec une étrange sensation, un malaise. Nous savons que nous allons assister à un film particulier, dès le début la voix off est présente pour nous inviter à quelques explications notamment sur ce qui chagrine notre personnage principal au plus profond de lui-même. On accroche bien au sens direct de la narration et aux intentions de ce psychopathe qui veut à tout prix mettre au point une idée qui lui trotte dans la tête depuis sa sortie, on en a pas vraiment l'explication et on se demande - malgré que l'on se doute qu'il veut faire du mal - ce qu'il veut faire exactement sans jamais connaître le fond de sa pensée jusqu'au moment où le film chavire, la folie monte crescendo jusqu'à ce passage intenable où les pires démons de la cruauté humaine se manifestent. C'est très dur ce que l'on découvre à l'écran et ça nous hante la mémoire.
Purée la scène du début dans la station service est excellente et très Argentesque avec la musique qui va avec. On est déjà conquis.
Schizophrenia est un film étrange même dans sa mise en scène avec une caméra qui s'agite autant que l'esprit de notre malade mental. La caméra prend parfois la scène en hauteur pour nous offrir des détails comme la profondeur du jardin des victimes et elle se recentre progressivement vers le personnage principal. La bande son est très 80's, avec l'utilisation de up-tempo qui rend l'action du moment irréelle malgré le réalisme de la mise en scène.
Tout est mis en place pour nous mettre dans un état second. Il y a des faits et gestes du psychopathe qui nous amènent à rire comme lorsqu'il rentre en collision avec un véhicule vers la fin, on ressent la tension et la nervosité du personnage entre peur et excitation. Schizophrenia est un film barge, dans le genre d'un Funny Games mais plus brut encore puis son acteur principal a vraiment un physique qui fait froid dans le dos. Âmes sensibles s'abstenir, un réel film de psychopathe, j'imagine l'état dans lequel devaient se retrouver les spectateurs de l'époque en salles. On ne peut plus retrouver pareil film à notre époque.
Peut-être bien le film de psychopathe ultime !

Society n'est pas le film d'épouvante annoncé. La réalisation souffre d'un manque de créativité mais le démon qui habite le réalisateur se révèlera dans la partie obscène du final, ces quinze dernières minutes achèveront nos attentes de manières très culottées dans un bordel sans nom jouissif mais les effets accusent le nombre des années. Reste malgré tout un divertissement gentillement osé. Les films de Brian Yuzna côtoient très souvent l'érotisme et Society n'échappe pas à la règle. Nous plongeons d'entrée dans cet univers proche de la folie, rien n'est abordé de façon subjective, cependant les investigations menées par l'acteur principal apportent quelques éléments qui nous amèneront vers ce final délirant.
On ne dénombre quasiment aucun élément horrifique durant tout le long de l'intrigue à l'exception de nos interrogations. Ce film est une certaine critique envers la Jet-Set car le metteur en scène ne lésine pas sur les apparences. Voici donc un petit film qui rappellera aux nostalgiques la belle époque des Jeudis de l'Angoisse. Un gros souci est à noter dans ses dernières secondes car Yuzna ne va pas au bout de ses prétentions et son film aurait gagné à approfondir la psychologie de ses personnages. Un film anecdotique.

J'ai des souvenirs correct de ce film. Pas un film d'horreur mais une petite critique de la jet set que j'avais bien aimée quand je l'avais vu. Je dois toujours avoir le DVD qui traine quelque part, je me le rematerais a l'occasion.

Les captures c'est WTF

C'est quoi ce film? Je vais en faire cauchemars

Y'a pas de quoi cauchemarder, il est plus drôle que flippant. Les dites scènes sont plus érotiques qu'horribles. Society est un film drôle dans son ensemble même si on ne le mettra pas sous les yeux de tout le monde. C'est Brian Yuzna aux manettes faut pas l'oublier, puis c'est peut-être son film le moins choquant mais il joue beaucoup sur l'effet de surprise.

Le Nom des Gens : 7/10
Belle surprise, ça rafraîchit le cinéma Français.