BE KIND, REVIEW!

mouai , les dialogue non plus j'ai pas trouver marquant , ca servait ni une enquete passionante , ni des perso interressant . par exemple le 8 millions ways to die est un polar quasiement entierement baser sur affrontement verbal et ca tue

Dire que je n'aime pas le cinéma de Blake Edwards c'est peu dire mais bon un thriller sérieux avec Coburn je ne pouvais pas passer à coté et c'est assez sympathique au final.
Adapté d'un roman de Crichton ( on pense forcément un peu à Urgence et notamment le perso de Coburn qui fait un peu penser à Doug Ross ) on se retrouve donc devant un thriller whodunit dans l'univers hospitalier, une jeune fille est morte après un avortement raté c'est l'ami de Coburn : James Hong ( qui a donc été jeune un jour ) qui est accusé à tort, Coburn va donc mener l'enquête pour sauver son pote et il va le faire dans son style de jeu bien à lui, tout en décontraction il campe un rebelle obstiné et incisif, adepte du bon mot ( le passage où il remballe la femme de son patron qui le draguait est bien marrant ) mais aussi sans pitié lorsqu'il s'agit de découvrir la vérité ( la torture c'est pas un problème pour lui ).
L'enquête faite de fausse piste est agréable à suivre exclusivement grâce à la prestation de Coburn, car ici c'est tout est très simpliste et linéaire, la révélation finale a le mérite de pas sortir de nul part au moins et puis l'avortement n'est pas diabolisé ce qui est un exploit pour un film de cet époque.



La mise en scène est assez pauvre par contre, alors on a un scope qui sert à rien, des séquences bien ringarde et toute nase ( le massage ) ou alors des passages sortit de nul part ( la pseudo course poursuite en voiture ), non vraiment faut bien chercher pour trouver un passage bien torcher.

James Coburn en franc tireur porte le film intégralement sur ses épaules, il est quasiment de toute les scènes et c'est un plaisir car c'est un registre qu'il manie à la perfection, le belle Jennifer O’Neill joue les potiches et elle le fait très bien avec sa beauté ( parce que son jeu c'est autre chose ), dans les seconds rôles on a quelques tronches connus et notamment donc James Hong.

Un petit thriller qui se laisse suivre exclusivement grâce à Coburn.

Revision de Walkyrie, alors la critique je la change pas mais à la seconde vision j'enlève 1pt.

J'ai trouvé ça chiant du début à la fin, un film qui manque cruellement d'ampleur et d'émotion alors que le sujet s'y prête carrément, en fait c'est un film dont t'es le héros c'est toi qui choisit ce que t'as envie de voir.
Vu qu'il faut pas parler de segment je parlerais pas de segment mais je dirais juste que le passage complot 70's c'est aussi trépidant qu'un épisode de NCIS et que le passage dans l'asile repousse les limites de la nullité, sinon la partie post apo avec 4 cannibales qui font peur à 100 gus c'est pas mal. Le casting à part Wishaw j'ai aimé personne mais le pire est bien entendu Tom Hanks qui se ridiculise une fois de plus.
3h pour nous dire qu'il y a des minorités et qu'il faut se rebeller, je dis merci les Wacho.

Quand on va voir un film a reculons fait pas être étonné de le détester. Enfin tu as essayé ça me fait juste de la peine pour Hanks qui reste un acteur très honorable. Reconnaître le travail autour du montage aurait été la base. Je renvoi les lecteurs au BoMcast comme tu l'as dit.

Non mais là j'avais pas la motive pour la critique, vous m'avez fatigué hier.

On a débattu cest tout ... bon certes en 5 vs 1. Mais bon tu es assez optu même si je comprends quoi puisse s'ennuyer devant une telle œuvre.

et resortira tout ce debat que mark se sera mater pain & gain donc


sinon pour la critique

Une note tellement prévisible que ça fait plus marrer qu'autre chose ... Nan mais 2, franchement...

Heatmann a écrit:et resortira tout ce debat que mark se sera mater pain & gain donc

Non mais Michael Bay j'ai définitivement arrêté après le premier Transformers. Pain & Gain m'intrigue parce que j'apprécie le fait de le voir faire un "petit film", mais je n'ai pas prévu de le voir.

c'est noter donc , tu ne verra pas pain & gain

Oui, contrairement à Scalp qui se plaît à souffrir pour le BoMcast, j'ai décidé de devenir de plus en plus sélectif.

Et de me fier à mon instinct. Il me reste tant de choses à voir, de toute façon. Inutile d'aller vers des films qui ne me parlent pas au vu du C.V. du réal.

J'oeuvre pour la bonne cause, faut bien qu'il y ai quelqu'un qui dise du mal des films quand même, d'ailleurs cette semaine pas de GIjoe car 3D mais le Singer qui passe en 2D, celui là y a moyen que je sois bien méchant.

ah bah la prochain Refn je le verrai pas c'est sur ca aussi

Moi peut être