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Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Jeu 20 Sep 2012, 15:20
par Pathfinder
"-Combien tu l'as payé ton fute en cuir?

-650!

-Y a la télé couleur dedans à ce prix là."

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Jeu 20 Sep 2012, 15:28
par Heatmann
Pathfinder a écrit:
Heatmann a écrit:jpeut comprendre le coter nostalgique et fun de revoir le film en VF, mais putain en Vo c'est quand meme carrement autre chose quoi :love:


C'est comme Prédator, impossible de le voir en VO. Trop l'habitude des voix françaises. Mais je tenterais à l'occase last boyscout en VO.



moi j'avoue que je ne peut plus rien voir ou revoir en VF , aucun film meme mes truc fetiche d'ados , le coter VF fun ouai ca me fesait marrer mais perso ca m'a jamais trop marquer et prefere nettement les vo :wink: du moment qu on est tous content !

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Jeu 20 Sep 2012, 15:30
par John Lawrence
- Quoi ça une bombe ? on dirait une orange avec une perruque ! N' Ouvrez pas la malette, ya un fruit d'dans...

- Salut Dugland
- Non c'est moi Dugland , lui c'est Trouduc


:eheh:

Bon allez j' arrête là et le vais ajouter le BR UK à ma liste d' envie pour le mois prochain :super:

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Jeu 20 Sep 2012, 15:33
par Pathfinder
Heatmann a écrit:
Pathfinder a écrit:
Heatmann a écrit:jpeut comprendre le coter nostalgique et fun de revoir le film en VF, mais putain en Vo c'est quand meme carrement autre chose quoi :love:


C'est comme Prédator, impossible de le voir en VO. Trop l'habitude des voix françaises. Mais je tenterais à l'occase last boyscout en VO.



moi j'avoue que je ne peut plus rien voir ou revoir en VF , aucun film meme mes truc fetiche d'ados , le coter VF fun ouai ca me fesait marrer mais perso ca m'a jamais trop marquer et prefere nettement les vo :wink: du moment qu on est tous content !


C'est peut etre du au fait que tu vis dans un pays anglo saxon non? Du coup, l'anglais est devenu quelque chose de plus naturel?

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Jeu 20 Sep 2012, 15:48
par Pathfinder
John Lawrence a écrit:- Salut Dugland
- Non c'est moi Dugland , lui c'est Trouduc


:eheh:



Et bam éclatage de pif sur le coffre de la bagnole!

Allez files l'acheter!!! C'est du pur plaisir à prendre!

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Ven 21 Sep 2012, 10:13
par zack_
Un beau approved pour ton Hunger Games! Bien joué ;) même si tu relèves pas encore tous les défauts
Sinon ton Killer Klowns tu l'as reçu en Z1?

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Ven 21 Sep 2012, 13:13
par Pathfinder
Yep reçu hier et testé rapidos. C'est un all zone.

L'image est bluffante. Par contre pour la vf, je suis sur qu'il s'agit d'un redoublage.

Sinon pas de stf, juste une vf 2.0 mais pour 11 dollars, c'est le paradis!

Quatrième Dimension, Le film (La) - 7,75/10

MessagePosté: Ven 21 Sep 2012, 14:25
par Pathfinder
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Twilight zone the movie 7.75/10

Le film d’horreur à sketch est un genre plutôt casse gueule. Il faut savoir gérer des univers très différents tout en conservant un fil directeur cohérent. La perfection n’étant pas de ce monde, les essais les plus respectables ont toujours souffert d’au moins un segment bringuebalent. Nécronomicon, Darkside, Creepshow 1 et 2 sont de très bons exemples tout comme Twilight zone the movie. Ce film rassemble les ténors du fantastique des années 80. John Landis, Steven Spielberg, Joe Dante et George Miller vont composer, avec leurs références propres, de petites histoires bien barrées respectant à merveille l’univers de Rod Serling. Mais comme tout bon long métrage à sketch, la qualité ne sera malheureusement pas au rendez vous à chaque fois.

Le prologue : Deux hommes, la nuit noire et une longue route sont les ingrédients de cette roublarde introduction concoctée par un John Landis en forme.

Time out : Le même John Landis enchaine donc sur l’histoire d’un commercial looser et aigri renvoyé, malgré lui, aux heures les plus sombres de l’épuration ethnique. Couvrant une large partie des conflits les plus notables, le réalisateur effleure le potentiel énorme du pitch pour en livrer un simple épisode nerveux teinté d’un humour noir bien senti. 6/10

Kick the can : Malgré les espérances, Steven Spielberg réalise le maillon le plus faible du film avec cette histoire de pensionnaires d’un hospice retrouvant leurs corps d’enfants. L’ensemble est léger empreint de naïveté et de merveilleux. Cependant, il est bien difficile de ne pas se lasser d’autant de bons sentiments. Le casting est hautement sympathique mais un brin de noirceur n’aura pas fait de mal. 4/10

It’s a good life : Je ne suis pas du tout surpris que Joe Dante réalise le segment le plus barré avec cette histoire cartoonesque à mort présentant une famille complètement barjo et jouant avec les apparences pour mieux dégoupiller un twist malin. Les influences Tex Avery explosent à l’écran dans un torrent de mini séquences WTF, de couleurs chatoyantes et de frissons bien sentis (petit, je ne me suis jamais remis de la fille sans bouche). 8/10

Nightmare at 20 000 feet : Voici le meilleur pour la fin. George « Mad max » Miller signe la meilleure histoire. Baignant dans une paranoïa permanente, le réalisateur déroule le tapis rouge à John Litgow qui s’en donne à cœur joie dans le cabotinage outrancier. Persuadé qu’une bestiole est en train de saccager l’aile de son avion, un homme sème la zizanie au sein des passagers. La pression du réalisateur et de l’acteur est permanente empêchant de respirer jusqu’à un dénouement o combien sympathique résumant à merveille le vrai esprit Twilight zone. 9/10

Même si l’ensemble n’est pas parfait, cette anthologie cinématographique de la série Twilight zone reste hautement recommandable à ranger à coté des grands classiques du genre.

Vous voulez vraiment claquer des dents ?
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Avengers - 7/10

MessagePosté: Lun 24 Sep 2012, 09:42
par Pathfinder
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Avengers 7/10

Après les fiascos Iron man 2 et Thor, j’étais plus que refroidi à l’idée de découvrir le fameux projet maousse de la Marvel. C’est donc avec une certaine appréhension que j’ai inséré la galette du film avec à l’esprit le souvenir très désagréable des travaux fainéants de Kenneth Branagh et surtout de Jon Favreau. Et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir un produit hautement fun et hyper spectaculaire.

Contrairement au deux précités, le budget colossal se voit à l’écran et l’on sent que chaque dollar dépensé l’a été pour en mettre plein les mirettes. Wheddon, en bon geek qu’il est, a pris soin de bien respecter l’humour des comics pour un résultat très sympathique. Avengers est avant tout un énorme concours de bites ou chaque personnage bombe le torse en essayant de vanner toujours plus son voisin. Dans le meilleur des cas, ça se solde même par des combats titanesques et ravageurs. Thor vs Hulk. Iron vs Thor. Cap vs Thor. Du fun, du fun et encore du fun. Autre crainte rapidement évacuée, chaque personnage dispose de la même attention. On est même loin d’assister au Tony Stark show tant redouté. La grosse nouveauté sera de découvrir une troisième version de Hulk, de loin la plus réussie. Mais au-delà de tout ça, le projet Avengers a avant tout été pensé pour être un spectacle monumental introduit de bien belle façon (la destruction du SHIELD) et surtout servi par deux séquences qui valent leur pesant d’or. La destruction de la station volante du SHIELD et surtout celle de New York offre une très bonne alternative aux excès assourdissant d’un certain Michael Bay. Jamais tapageur et toujours très lisible, l’action est imposante permettant à chaque héros de briller. Les moins iconique Hawkeye et Balckwidow arrivent même à tirer leur épingle du jeu. Si le bad guy attitré avait été un peu plus charismatique, nous tenions là la rolls du divertissement. Espérons que le choix de Thanos, pour la suite, rectifiera le tir.

Cependant malgré quelques pétouilles ça et là, Avengers reste un solide divertissement et surtout la meilleure réussite des récentes productions Marvel.
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Cheval de guerre - 8,5/10

MessagePosté: Mar 25 Sep 2012, 16:00
par Pathfinder
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Cheval de guerre 8.5/10

La vérité est que je n’attendais trop rien de ce film. Une épopée historique sur fond d’amitié entre un jeune homme et un cheval me semblait être le pitch idéal pour retrouver le mauvais Spielberg, celui des excès mièvres et dégoulinant.

Naïf, le film l’est ouvertement et distille de nombreuses séquences larmoyantes. Cependant, le réalisateur assume complètement son propos dans la grande tradition des films d’aventures d’antan. Il faut bien dire que ça fait appel à une certaine sympathie pour le genre que je n’ai pas forcément. Et pourtant, ça marche. Je ne me l’explique pas mais la combinaison d’envolées musicales couplées aux grands espaces et aux sentiments exacerbés a fonctionné à plein régime. La première partie prend son temps en décrivant les temps difficiles d’une famille minée par les dettes à l’aube de la première guerre mondiale. En s’attardant sur l’amitié naissante entre un jeune homme et son cheval, Spielberg fait le choix d’une narration légère teintée de gravité cédant volontairement aux envolées grandiloquentes. La partition de John Williams va fortement dans ce sens. A mi chemin, le réalisateur active le ressort dramatique avec l’arrivée imminente du conflit. Joey le cheval sera donc acheté pour rejoindre le front et le jeune Albert passera au second plan. La deuxième partie se révèle bien plus riche arpentant les tranchées tant du coté anglais que germanique. Au gré de ses « rencontres », le cheval sera le témoin de destinées bien souvent funestes. Spielberg n’est jamais aussi dark que lorsqu’il se penche sur les guerres mondiales. L’exécution très sèche des deux jeunes déserteurs en est l’exemple le plus flagrant. La réalisation est, à ce titre, somptueuse. Le segment le moins intéressante se révèle être celui avec Niels Arestrup. Il verse trop dans le mièvre et se révèle finalement bien peu important. Son existence ne sert qu’à préparer les retrouvailles larmoyantes entre Alfred et Joey. Ce que j’ai beaucoup apprécié par contre, c’est cette alternance de séquences intimistes (la rencontre des deux soldats pour aider Joey dans les barbelés) et de scènes de guerre imposante au réalisme saisissant. Et puis au milieu de tout cela, Spielberg se fend d’instants de grâce tels que la chevauchée de Joey dans les tranchées ou la mort de Tom Hiddleston. Avec la naïveté (ce n’est pas péjoratif du tout !) qui le caractérise, il installe une beauté furtive tout droit sorti de la boue maculée de sang. On s’accroche donc aux destinées de Joey et Alfred en espérant le poing serré que les deux auront raison des aléas de la guerre. Jusqu’au bout Spielberg jouera avec ce faux suspense pour délivrer un final outrancier de bons sentiments mais qui se justifie amplement au terme de cette dernière heure éprouvante.

Grands espaces, grande musique, grands sentiments, War horse est tout cela à la fois. Il résume finalement bien la carrière d’un homme constamment tiraillé entre son âme d’enfant et une certaine gravité.
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Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Mar 25 Sep 2012, 16:03
par Scalp
Logan :eheh:

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Mar 25 Sep 2012, 16:07
par Heatmann
..... par contre , matt damon et scarlett qui tombent amoureux en achetant un Zoo :love:

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Mar 25 Sep 2012, 16:08
par Pathfinder
J'aurais jamais pensé que ça me plaise autant. Pourtant ça me fait chier généralement les grands espaces et les jolis nanimaux! :mrgreen:

Heat': :eheh:

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Mar 25 Sep 2012, 16:12
par Scalp
Heatmann a écrit:..... par contre , matt damon et scarlett qui tombent amoureux en achetant un Zoo :love:


Damon avec sa coupe de merde ça fait bander Logan.

Re: [Pathfinder] Mes critiques en 2012

MessagePosté: Mar 25 Sep 2012, 16:20
par Pathfinder
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Logan me kiffe? Vraiment?!