BE KIND, REVIEW!

Scalp a écrit:

4/10

Vu avant-hier et je suis d'accord sur les quelques longueurs et sur la façon dont ont été filmées certains combats. Mais au delà de ça je l'ai trouvé vraiment bien. C'est posé, calme mais bien bourrin quand il faut. Et pis j'ai bien kiffé le fait qu'il reprenne la philosophie de Miyamoto Musashi et son parcours "initiatique" une fois qu'il devient Oyama.
Voilà mon avis.

le film a des qualités c'est indéniable mais la realisation est tres bof et l'histoire d'amour m'a achevé.

Tyty il est second rédacteur sur le topic de scalp
feignasse!!!

Clair que la scène d'amour si on aime pas c'est foutu. Perso ça m'a pas dérangé plus que ça (bizarrement).

Niko06 a écrit:Tyty il est second rédacteur sur le topic de scalp
feignasse!!!

Je fais la grève des critiques et toi et Scalp z'avez quand même de bonnes critiques asiat' donc je profite de vos topics pour squatter un peu.

Je vais me refaire les bands of brothers, je fous les critiques des episodes ici.



1 Currahee

Premier episode qui sert surtout a nous montrer la multitude de persos ( et les differente forte personnalité ) qui font partie de la easy compagny, ça reste en surface mais on sent deja le potentiel des persos, c'est surtout centré sur Winters ( un excellent Damian Lewis ) et l'entrainement de choc fait par un surprenant David Schwimmer qui fait tres bien la ptite pute, y a Simon Pegg dans un tout ptit role et tout plein d'autres acteurs qui dechire.
Si on devrait voir une seule serie sur grand écran ce serait vraiment celle là, la realisation est magistrale ( enfin pas pour ce premier episode assez sobre mais bien réalisé tout de même ).
Vivement la suite ou ça defouraille ça doit tuer en blu ray.
L'image de cette episode est a tombé !!!
9/10

Dommage qu'on référence pas
Au pire je ferai un lien de tes 10 épisodes sur le topic BoB

La foret d'Emeraude



Succès surprise de 1985 (2millions d'entrées aujourd'hui pour un film avec plus de 50% des dialogues en patois indien c'est mort).

Le sujet principal c'est donc ces indiens vivants encore en autarcie et qui sont menacés par la déforestation mais bon Boorman oublie pas de soigner son histoire avec un peu d'aventure, un peu de survival ( vraiment sympa cette partie là ) et des passages plutôt violent ( l'allemand qui se fait buter, les gros trous au shotgun ), bon tout les passages a base de vaudou ( ou conneries dans le genre ) ça soule un peu, alors je veux bien qu'on nous montre leurs rituels mais pas besoin de faire durer ça 3 plombes. Le dilemme du perso de Boothe est plutôt bien foutu et c'est pas envahissant, seul les 10 dernières minutes là pour faire un bon gros happy en des familles sont pas vraiment génial. Par moment on pense pas mal à Apocalypto (les 2 peuples, dont l'un forcément très méchant)
Y a des jolies plans avec la camera qui se faufile a travers la jungle, Boorman est à l'aise dans ce genre de décors naturels, ses autres films en attestent et là il a tourné en Amazonie, et une vraie jungle ça a quand même de la gueule, bon après les scènes clés sont un peu basique, le climax final à coup de shotgun est moyen mais bon là n'est pas l'intérêt.

Powers Boothe est pas mal mais la prestation est un peu neutre, le perso étant finalement secondaire, le rôle principal allant au fils de Boorman, alors si à la base le perso est une bonne idée, l'acteur plombe le truc, sacré tête de cul qu'on a là.

Film d'aventure au message écologique pas envahissant et toujours d'actualité (même si maintenant ça devient de plus en plus utopique).

7/10

Très bon film découvert au ciné avec le collège il y a quelques années (et en VO).
Et pour le "patois" comme tu dis, il me semble que, d'après le dossier qu'avait ma prof de l'époque (c'était dans le cadre de "collège au cinéma" pour ceux qui connaissent), il avait été purement inventé pour le film.

Band Of Brothers

2 - Jour J

Le commentaire des vétérans pour commencer l'episode est une fois de plus vraiment poignant.
Putain d'episode epique qui commence avec le parachutage sous le feux nourrit de l'ennemi, ça pete de partout ( by Simon Pegg ) et c'est vraiment immersif.
Arrivé au sol on va suivre Winters et ces 11 hommes ( le reste est perdu dans la nature ) qui vont prendre d'assauts des canons ennemis, une belle passe d'arme vraiment stratégique ou on apprend un peu plus a connaitre Malarkey ( qui veut son Luger ), Toye son poing americain et son bol de cocu, Garnere et toute sa haine envers l'ennemi, Buck un chef de section qui a pas peur de rentrer dans le temps et ce bon vieux Donnie Walhberg ( me souvient pas le nom de son perso ). Premiere apparition du Lieutenant Spears aussi et debut de la legende au tour de ce perso.
Le mitraillage dans les tranchées c'est un putain de grand moments.

9/10

Wahlberg c'est Lipton (m'en souviens car ça me faisait penser à Lipton Ice tea. ) je crois bien. Et ouais je remercie encore Kiki pour m'avoir prêté le coffret ce qui m'a permis de regarder tous ces épisodes magiques.

Va falloir que je me pète une jambe pour me revoir BoB et Taken - les deux séries de Spielberg

Faut pas oublier The Pacific à la fin de l'année Zack

Sinon faut que tu mattes Generation Kill aussi
J'ai bien envie de craquer sur le coffret BR qui sort au moins de juin au USA d'ailleurs

La nuit, une femme court sur une route, manifestement nue sous son imperméable. Elle réussit à faire arrêter le bolide de Hammer, d’un air exaspéré, celui-ci fait monter la jeune femme qui ne peut parler tellement elle est essoufflée. Le générique commence alors, accompagné par la chanson de Nat King Cole que joue l’auto radio, entrecoupée par les sanglots de l’auto-stoppeuse.

Un classique du genre a la réputation pas usurpée ( mais si avec le combo Aldrich/Film noir je m'attendais a un truc plus ultime ), c'est très bon voir excellent mais la toute fin m'a déçu surtout que tout ce qui precede cette scène avec le doc et sa maitresse ( terriblement curieuse ) est vraiment parfait.
L'enquête est un peu facile Hammer rebondit a chaque fois en clin d'oeil, d'ailleurs je suis pas sur d'avoir tout compris à l'intrigue
A coté de ça tout le reste ça tue, ce final totalement surréaliste qu'on voit pas venir une seule seconde,
Ca commence direct avec un pauvre fille qui se fait torturer hors champs ,on n'entend que ces cris, on ne voit que ces jambes bougées, mais c'est vraiment violent ( surtout pour l'époque ).
Ralph Meeker campe un Mike Hammer prêt a tout pour découvrir la verité même si pour ça y doit tabasser toute la ville ( le ta gueule a la concierge m'a bien fait rire ), il aime bien torturer un peu aussi ( la scène chez le médecin légiste est terrible ), sa détermination l'emporte sur tout, tu peux le foutre dans un ravin, le tabasser, le séquestré, il lâchera pas l'affaire, une galerie de second rôle savoureuse ( chouette casting féminin, la petite brune hum .... ), bien marrant le pote garagiste "va va voom".
Aldrich film a la perfection et il sait mettre en valeur ces comédiens, et il a le sens du cadre, c'est beau a voir.
Bon pas mon Aldrich préféré mais un excellent film.

8.75/10

Léonard Diamond est un flic opiniâtre et incorruptible qui n'a qu'une idée en tête : mettre fin aux activités de Mr Brown, caïd de la pègre qui sait préserver son immunité malgré ses louches activités. Mais plus que par l'intégrité de son statut d'homme de loi, Brown est poussé par son amour compulsif pour la belle Susan Lowell, maîtresse de Mr Brown

Un très bon polar à l'intrigue pas tortueuse ( ça fait plaisir après Kiss me Deadly où j'ai un peu galéré ) mais véritablement passionnante et c'est bien écrit, l'enquête est agréable à suivre et tout se tient.
C'est bourré d'idée visuelle qui claque et plans absolument beaux : le gunfight silencieux ( idée reprise dans les sentiers de la perdition ) avec Conte qui balance une petite phrase assassine juste avant "je vais te faire une faveur, tu ne vas pas entendre les balles", la scène ou Lee Van Cleef ( toujours aussi parfait et transpire la classe ici ) s'allume une clope dans la pénombre ça tue, une scène de torture bien badass et inventive.
Certains dialogue sont vraiment excellent notamment le face à face entre Conte ( comment il assure en chef de la pègre sans pitié ) et Donlevy, lorsque ce dernier braque son flingue et que Conte lui dit ce qui les différencie tout les 2.
J'ai bien aimé le duo Lee Van Cleef et son boyfriend ( assez explicite leurs relation, enfin surtout sur la fin ), Cornell Wilde est parfait en flic qui lâche pas l'affaire quitte a perdre son job ( + de 18000 dollars de dépense en 6 mois pour du vent ), Jean Wallace est un peu éffacé par rapport au reste ( je lui préfere la brune ) mais fait très bien ce qu'on lui demande.
Y a une "scene de cul" assez osé pour l'époque a base de cuni.
La réalisation joue a merveille avec les ombres ( la scene ou L.Van Cleef et son pote sorte pour allez éxécuté leur contrat en est un très belle exemple ).
Un super script avec un petit twist sympa, un casting en béton, une réalisation classe.

Band of Brothers

Episode 3 - Carentan

On retrouve la Easy au complet ( enfin moins les morts ) l'episode est centré sur Blythe qui va traverser l'episode tel un fantome, traumatisé pendant les 3/4 de l'episode.
On retrouve des soldats qu'on avait pas vu dans le 2 eme : Percomté et ces montres, Welsh en lieutenant efficace, Luz et ces imitations, Shifty le sniper de l'equipe et Randleman, et la légende autour de Spears continue.
L'episode reserve de gros morceaux de bravoure dans 2 milieu différents, le premier est la prise de Carentan vraiment spectaculaire ( façon les scenes de guerre en milieu urbain c'est toujours bien ) certains explosions font vraiment mal et y a des ptits détails gores, la seconde scene de bataille est une scene de tranché, chacun campant dans leur camp, efficace.
La fin de l'episode est vraiment poignant avec Malarkey qui recupere tout les fringues de ces potes.

9/10