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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Dim 26 Juil 2009, 08:07
par Niko06
8/10 à Twilight et 6/10 à un Hitchcock... mais où va l'monde? :mrgreen:

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Dim 26 Juil 2009, 13:02
par jean-michel
:eheh: c'est la vie!! :eheh: :mrgreen:

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Lun 27 Juil 2009, 09:53
par Riton
jean-michel a écrit: Twilight - Chapitre 1 : fascination
8/10

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Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Lun 27 Juil 2009, 19:32
par Tyseah
Fooooooooooooooooh! Image

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Lun 27 Juil 2009, 21:08
par kenshiro
alors Tyseah et Riton des choses à annoncer :chut:

Sept vies - 7/10

MessagePosté: Lun 27 Juil 2009, 23:53
par jean-michel
sept vies

Réalisé par Gabriele Muccino
Avec Will Smith, Rosario Dawson, Woody Harrelson
Film américain.
Genre : Drame
Durée : 2h 3min.
Année de production : 2009
Titre original : Seven Pounds
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Hanté par un secret, Ben Thomas cherche sa rédemption en transformant radicalement la vie de sept personnes qu'il ne connaît pas. Une fois son plan mis en place, plus rien ne pourra l'arrêter. C'est tout du moins ce qu'il croit. Mais Ben n'avait pas prévu qu'il tomberait amoureux de l'une de ces personnes et que c'est elle qui va le transformer...
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Difficile de pas être touché par ce genre d'histoire qui parle de la mort, de la vie, et de l'obstination d'un homme à essayer de retrouver une forme de pardon , pour le mal qu'il a accidentellement causé. La structure du film s'appuie sur l'effet de scènes indépendantes les unes des autres, et le récit fourni seulement vers la fin les éléments pour comprendre la logique de la narration. Un métrage tout en retenu et finesse qui fait largement la place aux effets larmoyants...un peu facile mais cela marche toujours autant!!
Rosario Dawson nous offre un très bonne performance qui nous ferait presque....oublier sa superbe plastique. Will Smith est excellent et joue un personnage qui souffre mille morts d'être vivant! le scénario est fort bien écrit et permet de cerner tous ce petit monde , enfermé dans un univers que le réalisateur à rendu touchant. Un métrage qui mérite de la considération car il apporte une vraie touche mélodramatique, qui sabre le coeur. 7/10

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Mar 28 Juil 2009, 06:27
par zirko
Celui la c'est prévu que je le vois.

Merci jean mimi

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Mar 28 Juil 2009, 09:52
par Riton
kenshiro a écrit: alors Tyseah et Riton des choses à annoncer :chut:

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Bah non pourquoi !!

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Mar 28 Juil 2009, 13:50
par Jeff Buckley
Sept vies abonné au 7.
Plus je visionne et plus je me dis qu'un 7 ça se merite... Le mérite-t-il ?
Ca me parait bien facile comme theme de film.
La filmo de Smith commence franchement à me decevoir.

Grandes vacances (Les) - 6/10

MessagePosté: Mar 28 Juil 2009, 15:39
par jean-michel
Les grandes vacances
Un film de Jean Girault
avec: Louis de Funes , Ferdy Mayne, Martine Kelly, François Leccia, Olivier De Funès, Claude Gensac, Maurice Risch, Jacques Dynam, Dominique Davray, Mario David...
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Le directeur d'un internat apprend que son fils a échoué au bac. Le point faible étant l'anglais, il décide de l'envoyer en Angleterre pour les vacances. En échange, il devra accueillir une jeune anglaise qui va vite tourner la tête de toute l'école...
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Un petit film familial de 1967 plaisant et remplis de rires et de bonne humeur. Dans ce métrage la jeunesse commence à s'échauffer en attendant le redoutable mai 68. Le personnage de Louis de Funès nous emporte dans sa crise familiale et ses conséquences...redoutablement hilarante!
Les comédiens qui entoure le petit homme sont des familiers que l'on voit souvent dans ces productions. Ce microcosme qui est la pour notre divertissement joue dans des scènes rythmés, ou la divagation et l'humour burlesque n'est pas le moindre des plaisirs.
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Les décors sont très agréables et la musique accompagne les méandres de cette histoire de bonne manière. 6/10

( Les extérieurs ce feront sur le plan d'eau des mureaux, à Rouen, au havre et en auvergne, et plus exactement au mont dore et puy de sancy qui remplace les montagnes d'Ecosse pour les scènes finales du film.)

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Mer 29 Juil 2009, 13:07
par zack_
Scalp a écrit: Malick c'est le real préféré des écolos, personne ne film les arbres comme lui ( des magnifiques plans fixe de 5 minutes sur une feuille qui tombe :eheh: )


:eheh: :super:

Le dernier des Mohicans


Faut que je me le fasse! mais bon c'est Mann :eheh:
Tout comme les tontons flingueurs

Sept vies - 7/10 - 7/10 - 7/10 - 7/10 - 7/10 - 7/10 - 6/10 - 6/10

vive le 7 effectivement :shock:

J'ai fusionné les topics de Jipi le roi du multi post :eheh:

Sport favori de l'homme (Le) - 6/10

MessagePosté: Jeu 30 Juil 2009, 19:36
par jean-michel
le Sport favori de l'homme
Man's Favourite Sport ?

Comédie de Howard Hawks, avec Rock Hudson, Paula Prentiss, Maria Perschy.
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1963
Technique : couleurs
Durée : 2 h
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Résumé
Le vendeur d'un magasin de sport, spécialiste de la pêche, est envoyé par son patron à un concours sur un lac. Mais il ne connaît rien à cette activité !


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Un petit film qui démarre tranquillement et qui ce réveil avec l'entrée en lice des deux créatures ravissantes qui mettent la vie du personnage de Rock Hudson en lambeau. Les gags qui jalonne l'apprentissage du pêcheur du dimanche sont pour la plupart d'un humour communicatif et la loufoquerie du propos est agréable à suivre. Les petites pestes ne laissent pas un instant de tranquillité à notre homme qui devient leurs victimes expiatoire. Sachant que l'une des deux devient amoureuse et que la fiancée va bientôt débarquer , imaginé les possibilités de quiproquos possible!! le déroulement scénaristiques offre de multiples choix et le réalisateur sans sortira pas trop mal! Un film léger ou j'ai bien rigolé et c'est là le principal! 6/10

Reader (The) - 9/10

MessagePosté: Ven 31 Juil 2009, 09:55
par jean-michel
The Reader
Réalisé par Stephen Daldry
Avec Kate Winslet, Ralph Fiennes, David Kross
Film allemand, américain.
Genre : Drame
Durée : 2h 3min.
Année de production : 2008 sorti : 2009

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Allemagne de l'Ouest, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Un adolescent, Michael Berg, fait par hasard la connaissance de Hanna, une femme de trente-cinq ans dont il devient l'amant. Commence alors une liaison secrète et passionnelle.
Pendant plusieurs mois, Michael rejoint Hanna chez elle tous les jours, et l'un de leurs jeux consiste à ce qu'il lui fasse la lecture.
Il découvre peu à peu le plaisir qu'elle éprouve lors de ce rituel tandis qu'il lui lit L'Odyssée, Huckleberry Finn et La Dame au petit chien.
Hanna reste pourtant mystérieuse et imprévisible. Un jour, elle disparaît, laissant Michael le coeur brisé.
Huit ans plus tard, devenu étudiant en droit, Michael assiste aux procès des crimes de guerre Nazi. Il retrouve Hanna... sur le banc des accusés.
Peu à peu, le passé secret de Hanna est dévoilé au grand jour..

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kate Winslet sait retranscrire à merveille toute la complexité de son personnage, une femme à la fois froide, égoïste, touchante et tout simplement humaine.
Qu'on se laisse emporter par le regard du jeune homme puis de cet homme sur cette femme, par la compassion qu'il a envers elle, par son envie de comprendre l'inexplicable mais sans jamais juger, pardonner ou excuser.
On en ressort en se disant que le poids de la honte peut changer le cours d'une vie et on se dit que la culture est le meilleur des remèdes contre la haine. Et on se dit "est-ce qu'au final pris dans dans un système totalitaire et fanatique et sans arme pour en affronter l'univers, nous n'aurions pas tous été Hannah" et qu'il serait dangereux de croire le contraire.

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En résumé pour moi c'est un film superbement émouvant, je suis ressortie de cette séance bouleversée avec une seule envie, celle de me taire pour rester le plus longtemps possible dans l'émotion qu'il m'a procurée. 9/10
(Critique faite par une amie de toujours, et j'aime sa vision du cinéma et sa manière de la retranscrire par l'écrit..) Une critique que je fais mienne les yeux fermé! :love:

ps: ( film vu cematin dimanche 2 août 2009)
c'est superbe comme film, surtout la deuxième partie à partir du procès ou la construction du film devient de plus en plus émotionnelle au fils de l'histoire. Les retours en arrière sont très bien gérés et ne gêne en rien la narration. Enfin l'interprétation est splendide et Kate Winslet explose dans son personnage complexe. Ralph Fiennes a une prestance, une présence formidable et les deux couplés donnent formidablement vies à ce métrage. L'épilogue est triste mais sa mise en image et l'écriture de ces dernières séquences sont finement exploités!
Dans ce film, Kate Winslet est Hanna Schmitz, une femme de 36 ans qui initie aux jeux de l'amour un adolescent auquel elle a caché son passé de criminelle de guerre nazie. «C'est une histoire d'amour complexe ainsi qu'une odyssée dans l'Allemagne d'après-guerre, sans rédemption ni pardon», confie le cinéaste anglais Stephen Daldry. Actuellement à New York, celui-ci surveille la production de la comédie musicale Billy Elliot inspirée de son film et composée par son ami Elton John, à l'affiche depuis novembre dernier à Broadway.

. - Quand avez-vous découvert Le Liseur de Bernhard Schlink ?
Stephen DALDRY. - Il y a trois ans, lors d'un voyage en train. Je l'ai lu d'une traite et il m'a si profondément bouleversé que j'ai immédiatement souhaité le porter à l'écran. J'ai découvert que mon ami Anthony Minghella en avait acquis les droits avec son associé Sydney Pollack et qu'il tenait à le réaliser.

Et alors ?
J'ai fait le siège de leur maison de production et, par bonheur, je suis arrivé à mes fins. Anthony Minghella développait de nombreux autres projets et ne trouvait pas le temps de s'atteler à ce film malgré le désir impérieux qu'il en avait. Alors, se sentant responsable vis-à-vis de Bernhard Schlink, m'a finalement laissé l'adapter avec mon complice, le dramaturge et scénariste David Hare avec lequel j'ai travaillé sur The Hours et de nombreuses pièces de théâtre. Nous fonctionnons comme un vieux couple ! Hélas, ni Minghella ni Pollack, tous deux décédés en 2008, n'auront vu le film.

Bernhard Schlink, professeur de droit, juge et romancier, laisse planer le doute à propos du Liseur. Dans quelle mesure cette œuvre est-elle autobiographique ?
À l'invitation de Bernhard Schlink, David Hare et moi nous sommes rendus à Heidelberg. Sur les traces de son héros, le jeune Michael Berg. Le romancier nous a fait visiter sa ville, nous montrant la maison de son enfance, le chemin qu'il prenait pour aller à l'école, l'endroit où avait vécu Hanna… Il y a donc beaucoup d'éléments du récit qui sont, de toute évidence, autobiographiques. Mais a-t-il eu adolescent, comme Michael, une histoire d'amour dans l'Allemagne d'après guerre, avec Hanna, une femme de 36 ans, dont il apprend plus tard, par hasard, qu'elle a été une gardienne de camp nazi ? Cela, il ne le dit pas.


Parce que vous lui avez demandé ?
Bien sûr ! Et à plusieurs reprises. Mais il ne m'a jamais répondu.

Que pensez-vous de son silence ?
Je ne sais pas. Et finalement peu m'importe. C'est son secret.

C'est Nicole Kidman qui, au départ, devait interpréter Hanna…
Nous avions tourné un tiers du film lorsqu'elle a appris qu'elle était enceinte et ne pouvait donc prendre le risque de venir nous rejoindre sur le tournage. Mais la vie fait finalement très bien les choses. À l'origine, j'avais demandé à Kate Winslet d'incarner Hanna, mais, à l'époque, elle n'était pas libre. Et c'est à elle que Bernhard Schlink pensait également.

Comme le livre, le film traite de la culpabilité collective après la guerre.
Pour la génération de Bernhard Schlink qui est né en 1944, cette question est cruciale. Michael l'exprime très bien dans le roman, « sur le banc des accusés, nous mettions la génération qui s'était servie de ces gardiens et de ces bourreaux, ou qui ne les avait pas empêchés d'agir, ou qui ne les avait pas rejetés, au moins, quand elle l'aurait dû après 1945 : c'est elle que nous condamnions, par une procédure d'élucidation du passé, à la honte ».

Le malaise et la force du Liseur viennent du fait que Bernhard Schlink évite toute notion de rédemption ou de pardon.
Il est impossible de pardonner Hanna. Chacun des choix de son existence est lié à son lourd secret, l'illettrisme. Gardienne de camp à Auschwitz, elle ne portera aucun secours, lors d'un convoi, à des déportées enfermées dans une église en feu. Elle n'ouvrira pas les portes et laissera ces femmes brûler vives. La machine infernale du génocide implique des gens ordinaires qui commettent des crimes impardonnables. C'est la banalité du mal.

Dès sa parution le roman est devenu un best-seller tout en déclenchant une polémique en Allemagne.
Bernhard Schlink parle des bourreaux et non des victimes, il y a inévitablement controverse. Et puis, on éprouve à l'égard d'Hanna, criminelle de guerre nazie, des sentiments diffus et ambigus. Après le procès et sa condamnation à perpétuité Michael espérait, en lui apprenant à lire, lui faire prendre conscience de ses actes, qu'elle ait des remords. Mais, même emprisonnée, elle en est incapable. Et c'est sa tragédie. Dans le film, elle dit «peu importe ce que je ressens, peu importe ce que je pense, ça ne ramènera pas les morts».» Les raisons d'un succès en librairie

Re: [jean-michel] Mes critiques en 2009

MessagePosté: Ven 31 Juil 2009, 10:14
par Riton
Je l'ai vu cette semaine, et c'est vrai qu'il est très bien ce film. Puis Kate est impériale dedans, une fois de plus. 8)

Starman - 8/10

MessagePosté: Ven 31 Juil 2009, 23:17
par jean-michel
Starman

Film de science-fiction réalisé par John Carpenter, (1985)
Avec : Jeff Bridges , Karen Allen , Charles Martin Smith , Richard Jaeckel , Robert Phalen

8/10


Une nuit de 1984, les radars de la Norad repèrent dans le ciel d'Amérique un engin suspect. Deux chasseurs lance missiles abattent celui-ci au-dessus d'une forêt du Wisconin, mais le "pilote" de la capsule échappe à la destruction, s'introduit dans la maison d'une veuve et prend la forme exacte de son défunt mari, Scott...


Un film qui marque la rupture du réalisateur avec l'horreur et le suspens. Ce conte fantastique matinée d'humour et d'aventures est plaisante à suivre. Le centre de l'histoire est concentré sur l'interconnexion qui va se créer entre "starman"(Jeff Bridges) et la jeune femme (Karen Allen). Au début la méfiance et le conflit parasite leurs relations, mais aux fils des péripéties qu'ils subissent ensemble, la road movie tourne à l'affaire romantique. Heureusement le gouvernement américain est présent et la traque relance le rythme aux moments cruciaux!!

Starman est incarné d'une superbe façon par un acteur expressif et qui nous fait croire à la réalité de "l'alien". Karen Allen l'accompagne de belle manière et offre à l'extra terrestre sa sensibilité, son humanité sur lequel il va ce guidé. Le côté technique est bien assuré et les balades dans les décors naturels imposé par un scénario riche sont splendides. Ce film est une réussite par le combinat d'ingrédients techniques, scénaristique et animé par une interprétation subtile et harmonieuse dans la complémentarité. 8/10