BETTER CALL SAUL de Vince Gilligan & Peter Gould [AMC]

[Mark Chopper]

Ah ouais quand même, et moi qui venais pour dire que cet épisode était formidable, je suis sur le cul de lire ça

Je peux comprendre les réticences sur les deux précédents, trop longs pour ce qu'ils avaient à raconter. Mais celui là non, clairement pas, j'ai pris mon pied de bout en bout. Meilleur épisode de la saison après les 7 et 9.

Tu es ma boussole inversée en fait... Tu peux être très utile mine de rien pour sélectionner mes séances.

[Jed_Trigado]

[elpingos]

Tu es ma boussole inversée en fait... Tu peux être très utile mine de rien pour sélectionner mes séances.

Mais pourquoi chercher l'opposition systématique ? (On met par exemple la meme note à Hustle)
Aprés scuse d'avoir bcp aimé cet épisode, mais bon apparemment je suis pas le seul à trouver que les arcs se ferment avec une habileté et malice, et que la qualité d'écriture et de réalisation est bien présente. Enfin bref...

[Mark Chopper]

Mais j'étais sérieux. Hustle, tout le monde en pensera la même chose, c'est consensuel, un produit vraiment bien fichu qui déroule une recette éprouvée...

Pour le reste, on est opposé et ça va m'être utile. Tiens, Elpingos aime ? J'évite. Il déteste ? Mmm... Tentons le coup.

Nan vraiment, c'est cool. Je ne cherche pas l'opposition, mais les bonnes pistes.

(Je me suis autant fait chier que Kim dans sa nouvelle vie sans mayonnaise)

[Mark Chopper]

Bon, ce final n'était pas chiant

Très proche de celui de Breaking Bad dans l'esprit... Puisque Saul parvient à se confesser et, grâce à cette honnêteté inédite, à faire la paix avec celle qu'il aime.

Certes il paye pour ses crimes, mais il le fait avec panache. Bah ouais, comme Walt qui faisait la nique à tout le monde, parlait honnêtement à sa femme et mourait en prince.

Tout ceci est bien fait, mais somme toute prévisible. La série aura de toute façon trop tiré en longueurs (le record : toute une saison où Mike surveille des allemands qui creusent un trou, c'était fascinant) et sera restée jusqu'au bout trop dépendante de Breaking Bad (dommage, les trois premières saisons m'avaient laissé espéré mieux).

La série dérivée sur Jessie Pinkman, ce sera sans moi (j'invente, mais sait-on jamais).

[Jed_Trigado]

Moins enthousiaste que toi, j'aurais préferé que ça se termine sur une note ambiguë (voir Jimmy ne se prendre que 7 ans de cabane après toutes les crasses qu'il a faites, ça aurait dénoté avec le Walter qui décide de soulager sa conscience en sortant de son exil avant de mourir pour sauver Jesse a la fin de Breaking Bad), mais il y a de belles scènes entre le dialogue entre Walter/Saul où les deux manipulateurs se mettent sur un pied d'égalité et surtout la scène finale où Logan va pouvoir jubiler car elle valide son pronostic.

[Olrik]

Oui, un final bien ficelé, habile dans ses renversements de situation et dans sa manière de dénouer tous les fils. C'est un spectaculaire plus feutré que le final de BB mais spectaculaire tout de même, notamment avec cette improbable scène dans le fourgon amenant Saul dans sa prison.
Et si je n'étais pas très client de retrouvailles Saul/Kim, j'avoue que Gilligan a parfaitement su gérer la chose. On les retrouve finalement totalement humains et à mon avis c'est ce qu'il fallait, une ultime saulgoodmanerie m'aurait déçu je pense.
Bref, plutôt une bonne conclusion à cette série qui aurait cependant gagné à être raccourci de 10 épisodes.
Une série sur Pinkman ? Je n'y crois pas une seule seconde. El Camino avait montré combien c'était un personnage chiant à suivre exclusivement.

[Eikichi Onizuka]

Une saison en dent de scie mais un final à la hauteur de la série. Le dernier plan est à la fois triste mais juste. Malgré des longueurs, j'ai adoré suivre cette série depuis la première saison et c'est avec un petit pincement au cœur que je dis adieu à Saul Goodman.

[ril]

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