[Olrik] Notules 2022

Modérateur: Dunandan

Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar Olrik » Dim 11 Sep 2022, 13:22

Oui, un surtout où il évoque son projet d'incendier sa maison mais qui n'a pu être accompli à cause du berger allemand de Kinski qui veillait au grain ! :eheh:
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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar pabelbaba » Dim 11 Sep 2022, 13:24

Avec Kinski dans la baraque évidemment. :mrgreen:
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar Olrik » Dim 11 Sep 2022, 13:30

Bien entendu.
Il y a aussi une autre scène où Herzog explique que durant le tournage de je ne sais plus quel film, pour inciter Kinski à lui obéir. il l'avait menacé de le buter en lui tirant cinq balles dans la gueule avant de garder la dernière pour lui-même. C'était le côté Dirty Harry d'Herzog. Le pire c'est que ça a marché, Kinski est subitement devenu doux comme un agneau.
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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar Mark Chopper » Dim 11 Sep 2022, 14:05

Quand on regarde ce doc, on se demande qui est le plus taré des deux :eheh:
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Doors (The) - 8/10

Messagepar Olrik » Ven 16 Sep 2022, 07:28

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The Doors
Oliver Stone - 1991


Après avoir vu Val Kilmer bouffi et mal en point dans Top Gun : Maverick, j'ai eu envie de le revoir quand il jouait Dyonisos réincarné en chanteur de rock et accompagné de l'agent special Dale Cooper dans le rôle de son claviériste. Et j'ai bien fait car The Doors, trente ans après sa réalisation, apparaît toujours comme un fameux biopic.
Je l'avais peut-être vu un peu jeune à l'époque, mais je me souviens que j'avais bien usé le cd de la B.O. acheté par mon père. Souvenir de la présence de Carmina Burana, d'Orff, morceau que je n'aime pas plus que cela mais qui collait bien au culte de la personnalité teinté de mysticisme (notamment quand il rencontre la journaliste Pat Kennealy) propre à Morrison, mais surtout souvenir de leurs morceaux emblématiques que Stone, à l'écran, restitue avec beaucoup d'inspiration. The End qui retentit au Whisky a go go, eh bien on fait comme tous les spectateurs présents : on se tait et on ouvre les yeux comme des billes de loto. De même les grands concerts chaotiques tournant à l'orgie. Et à chaque fois, une présence, une incarnation, celle d'un Kilmer parfaitement dans son rôle et dans les transformations physiques qu'il demande, jusqu'à l'ultime scène où l'on voit le groupe en studio enregistre L.A. Woman, dernière apparition où l'on découvre que le dionysisme du personnage a subitement pris du plomb dans l'aile mais qu'à la place subsiste, sans doute pour d'ultimes feux, la force du rock.
On se sent sans doute un peu épuisé à la fin des 2h20. Mais bon, comme il s'agit d'un film traçant la vie de Jim Morrison et pas de la reine Elisabeth, c'est normal aussi. D'ailleurs, pour avoir vu la veille le Elvis de Baz Luhrmann, le film de Stone apparaît bien moins chargé visuellement, plus maîtrisé, finalement plus marquant dans ses grandes scènes. En tout cas, avec juste avant Né un 4 juillet et JFK dans la même année, The Doors montrait que Stone avait l'étoffe pour aborder avec aisance n'importe quel genre.
Allez, j'arrête, j'ai subitement envie d'entendre Morrison gueuler ses Risin' Risin' ! dans L.A. Woman en me bourrant la gueule au bourbon. Quelle heure est-il ? 8h 27 ? Allez, ça va le faire, Jim a fait bien pire.
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Film: Doors (The)
Note: 7,5/10
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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar pabelbaba » Ven 16 Sep 2022, 07:43

Vu ado en VHS et effectivement, Val Kilmer était bluffant. Mais mon intérêt pour le groupe a tellement baissé, sans parler de la revision il y a peu de Wayne's World 2, je ne suis pas sûr d'avoir très envie de le remater, même en VOST.
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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar Mark Chopper » Ven 16 Sep 2022, 07:47

Après avoir vu Val Kilmer bouffi et mal en point dans Top Gun : Maverick


On voit que tu n'as pas vu le documentaire Val, parce que je le trouve pas si mal dans Top Gun... On sent qu'il a été perruqué / pomponné / ripoliné pour retrouver une certaine prestance d'amiral.

Dans le doc, il fout méchamment la déprime.
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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar lvri » Ven 16 Sep 2022, 08:07

J'aime beaucoup ce film. Val Kilmer est juste incroyable dans le rôle de Morrison.
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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar Olrik » Ven 16 Sep 2022, 08:22

pabelbaba a écrit:Vu ado en VHS et effectivement, Val Kilmer était bluffant. Mais mon intérêt pour le groupe a tellement baissé, sans parler de la revision il y a peu de Wayne's World 2, je ne suis pas sûr d'avoir très envie de le remater, même en VOST.

Non, chevauche le serpent et vas-y, ça va bien se passer.


Mark Chopper a écrit:
Après avoir vu Val Kilmer bouffi et mal en point dans Top Gun : Maverick


On voit que tu n'as pas vu le documentaire Val, parce que je le trouve pas si mal dans Top Gun... On sent qu'il a été perruqué / pomponné / ripoliné pour retrouver une certaine prestance d'amiral.

Dans le doc, il fout méchamment la déprime.


Effectivement, pas vu mais j'essaierai de réparer cela. Avant Top Gun : Maverick, le dernier film où je l'avais vu avait été Twixt. Film de 2012 et déjà Kilmer était en voie de depardieusation.

Ivri a écrit:J'aime beaucoup ce film. Val Kilmer est juste incroyable dans le rôle de Morrison.

J'imagine la somme de travail que cela a dû lui demander.

Quelques petits regrets cependant : que les autres membres du groupe soient si insignifiants, ainsi que la représentation de Nico en grosse nympho vulgos. Mais bon, c'est une vision, celle de Stone, avec ses choix et même si on se doute qu'il avait décidé de ne pas y aller avec le dos de la cuillère dans sa représentation de Morrison, ça reste assez enivrant à suivre.
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Re: Doors (The) - 8/10

Messagepar Alegas » Ven 16 Sep 2022, 09:00

Olrik a écrit:D'ailleurs, pour avoir vu la veille le Elvis de Baz Luhrmann, le film de Stone apparaît bien moins chargé visuellement, plus maîtrisé, finalement plus marquant dans ses grandes scènes.


C'est vrai qu'on peut aisément faire un parallèle entre les deux films tant ils ont une note d'intention souvent similaire, mais c'est clair que le Stone est un bon cran au-dessus.
Ça tient sans doute au fait que le Stone est un film qui épouse complètement la psychologie l'artiste qu'il évoque, jusque dans ses excès, là où le Luhrmann est surtout un film sur Elvis vu à travers les yeux de Tom Parker.

(n'hésite pas à balancer ta note pour Elvis dans le classement :mrgreen: )
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Antichrist - 7,5/10

Messagepar Olrik » Lun 26 Sep 2022, 21:52

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Antichrist
Lars Von Trier - 2009


Au premier visionnage (il y a environ sept ans), je n'avais pas fait attention que les deux personnages joués par Dafoe et Gainsbourg n'étaient à aucun moment nommés. Il s'agit de "il" et de "elle", manière de les poser comme des personnages universels et représentatifs de leur sexe respectif. Et pourtant, dans le film, "elle", épouse traumatisée par l'accident mortel de son enfant, suit la longue lignée des personnages féminins persécutés que Lars Von Trier, de Breaking The Waves à Manderley en passant par Dancer in the dark et Dogville ,n'a eu de cesse de filmer, comme un leitmotiv obsessionnel.
Reste cependant à bien la situer : est-elle plus proche de Selma, l'héroïne jouée par Bjork dans Dancer in the dark, personnage pur mais qui, manipulée par un homme, sera mise à mort ? À certains éléments de langage qui donne à penser qu'être l'épouse de son thérapeute de mari, selon elle indifférent et insensible, a été une torture, on peut le penser.
Mais en même temps, difficile aussi de ne pas penser à Grace, dans Dogville. Personnage d'abord bafoué, humilié, persécuté, que l'on prend en pitié, mais qui s'avère posséder en lui une petite graine malfaisante qui ne demande qu'à éclore. Ainsi, sans trop en dire, le détail des "chaussures inversées", la découverte de son carnet de thèse et d'autres belles surprises encore qui auront valu à Von Trier toutes les insultes, notamment celle de misogyne dégueulasse.
Or, ce n'est pas si simple. "Chaos reigns", proclame un surprenant personnage lors d'une scène clé. Il ne croit pas si bien dire car effectivement, le film, à travers ses montagnes russes émotionnelles, surtout dans sa deuxième partie et lors de son énigmatique plan final, conserve une part chaotique, cryptique, un "salmigondis" auront sans doute moqué certains critiques paresseux de l'époque. Si l'on veut, je préfère pour ma part y voir une matière brute mi-réaliste, mi-onirique, faite pour faire résonner dans l'esprit, une fois le film terminé, des détails qui appellent à un autre visionnage.
Pourtant j'ai un peu souffert lors de la première heure. Trop bavard et j'ai surtout trouvé que Von Trier avait échoué à rendre menaçante cette nature que "elle" évoquait pourtant comme une entité incarnant à ses yeux la peur absolue. C'est que dans ce huis clos, ce chalet perdu en pleine forêt (surnommé "Eden"), c'est un peu le Overlook Hotel des personnages. Hantée par des croyances renvoyant au mythe de la sorcière, elle se manifeste par des détails tenant d'une sorte de naturalisme grotesque : la biche qui s'enfuit avec son faon en train de naître ballotté de moitié par la vulve, les glands qui tombent sur la toiture, les sangsues sur la main de Dafoe... Surprenant, insolite, mais pas terrifiant en soi. C'est davantage au cours de la deuxième moitié, avec les révélations successives concernant le personnage de Gainsbourg, que j'ai davantage senti une force terrifiante émaner de la forêt. D'ailleurs, c'est marrant, mais en évoquant Shining je m'aperçois que le film partage d'autres points communs : un accident arrivant à un jeune garçon, le motif du labyrinthe, la découverte stupéfiante d'un écrit, une poursuite meurtrière, une ruse pour s'échapper, un sabotage pour empêcher la fuite, enfin un personnage féminin peu avenant et hystérique d'une brune maigrichonne aux longs cheveux et au visage chevalin. Continuer à trouver des points communs n'aurait pas de sens mais j'en vois au moins un dernier : une capacité à donner du poids à des mots, à des objets (et je ne pense pas forcément à la paire de ciseaux utilisé lors d'un plan éprouvant) et à leur donner un miroitement symbolique fait pour donner envie d'un deuxième visionnage, histoire de savourer un peu plus les beautés du chaos selon LVT.
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Château en enfer (Un) - 7/10

Messagepar Olrik » Sam 01 Oct 2022, 12:52

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Un Château en enfer
Sydney Pollack - 1969

Ze challenge critique Peter Falk (version alone)

Film de guerre très curieux se passant durant la bataille des Ardennes où l'on suit une petite escouade d'Américains qui, durant une heure, ne font rien de spécial puisqu'ils doivent prendre simplement position dans un château du Moyen Âge en attendant l'arrivée de l'ennemi allemand. On se retrouve donc dans un climat d'attente pas non plus façon Un Balcon en forêt mais tout de même bien étonnant, surtout par ce qui anime les différents personnages. Ainsi le propriétaire des lieux qui, infertile, projette d'abord d'accoupler sa magnifique jeune femme au major de l'escouade (joué par Burt Lancaster), histoire d'assurer sa descendance. Témoins aussi le personnage de Peter Falk, boulanger de son état quand il vivait aux states, qui décide d'explorer la boulangerie du village local parce que, selon lui, qui dit boulanger dit femme du boulanger. Et bingo ! Dès qu'elle le verra, la femme du boulanger (boulanger dont on comprend qu'il est mort) lui ouvrira à la fois les portes du fournil du magasin que celles de son fournil intime. Ce lieutenant Columbo alors ! Un fin limier doublé d'un fin limeur ! Qui l'eût cru !
Mais surtout, il y a le capitaine Beckman, grand admirateur d'art classique et pour lequel ce séjour dans un château possédant des dizaines d'œuvres d'art constitue une idée assez précise de la notion de bonheur. Cependant l'art, c'est l'art, et la guerre, la guerre. Et arrive à un moment ce cruel dilemme : comment concilier la nécessité de tenir une place forte avec celle de protéger un trésor artistique ?
La réponse, on s'en doute, sera cruelle : les balles et les obus allemands seront sans pitié envers les beaux tableaux et les sculptures, dans un final qui sent son Peckinpah.
Mais on aurait tort d'imaginer que le film dresse le constat d'une opposition entre d'un côté les méchants Allemands destructeurs de l'art et de l'autre les bons Américains éclairés. Beckman aura bien du mal à partager son goût de l'art avec des soldats surtout soucieux de rejoindre le bordel du coin. Quant aux Allemands, le châtelain apprendra au major Falconer qu'avant sa venue, le château avait été occupé par des Allemands et que ces derniers avaient été très respectueux des lieux.
Thématique très originale donc, que celle traitée par Pollack. Après, quelque chose me gêne dans les moyens, notamment dans le découpage de toute la première partie, partie assez rythmée, portée par la partition de Michel Legrand (que j'ai trouvée franchement pénible) et qui donne une impression de suractivité dans le château alors qu'il aurait été plus intéressant à mon sens d'associer l'attente, le désœuvrement à la présence de l'art, élément que l'on devine inconnu à la grande majorité de l'escouade. Les personnages s'agitent, agitation d'ailleurs créative et surprenante, comme lors de la scène avec la Wolkswagen immergée, mais je ne sais pas, tout cela participe d'une sorte de cirque fellinesque qui m'a semblé tourner à vide et finalement pas vraiment dans les cordes de Pollack.
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Inde fantôme (L') - 9/10

Messagepar Olrik » Jeu 06 Oct 2022, 20:33

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L'Inde fantôme
Louis Malle - 1969


Documentaire long de 6h18, L'Inde fantôme, le plat de résistance de la partie documentariste de la filmographie de Louis Malle, doit être vue peut-être pas in extenso en une seule fois mais en plusieurs séquences d'au moins une heure afin de goûter, de ressentir pleinement cette plongée dans une Inde très éloignée d'une Inde de carte postale. Car ici, on ne verra pas le Taj Mahal ni le temple d'or. En revanche des villages misérables ou des tribus reculées dans les confins de l'Inde du sud, ça oui, on y aura plus que droit, ce qui ne fut d'ailleurs pas sans poser problème à la sortie du documentaire auprès des autorités indiennes, désespérées de voir que Malle avait surtout mis l'accent dans son travail sur le plus honteux (à leurs yeux).
Et pourtant, il ne fait aucun doute que c'est ce qui contribue à donner à ce voyage un aspect vertigineux. Cela et cette aura fantomatique qu'évoque le titre. Car là aussi, si le spectateur s'attend à voir un docu de type "Connaissances du Monde" avec tout plein de commentaires didactiques, il en sera pour ses frais. la voix de Malle n'a de cesse de le marteler en voix off : l'Inde, il essaye de la comprendre mais toujours elle lui échappe, absolument déconcertante et contredisant des habitudes de vie occidentale dont il ne parvient pas à se défaire pleinement. Ainsi les ablutions dans l'eau insalubre du Gange. Ainsi ces croyances qui se démultiplient en un nombre sidérant de sectes et de gourous. Ainsi ces brahmanes qui semblent n'être que des affairistes faisant marcher leur boutique. Toutes ces choses le dépassent mais toujours, le documentariste parviendra à faire preuve de critique envers lui-même et à se dire que l'Inde est décidément une autre planète que le simple séjour d'un petit occidental est incapable de saisir immédiatement la substance.
En revanche, sa lumière, il parviendra à s'en approcher. C'est le miracle de ce documentaire qui, tout en collectant des images fortes sur une misère grouillante, exprime aussi simplement la joie d'être là et de participer. Témoin la fabuleuse séquence dans l'école de danse traditionnelle ou celle du festival dans lequel un char ahurissant est promené dans les rues d'une ville, avec des habitants aspergeant d'eau les différents participants de leur fenêtre. Malle raconte qu'il est sorti exténué de l'avoir filmé au plus près, presque en transe, pendant des heures en plein soleil.
L'Inde Fantôme est-il le documentaire ultime sur l'Inde ? Tout dépend de ce que l'on entend par documentaire. Mais si on attend de ce genre d'être transporté et sidéré, alors oui, on est alors face à un chef d'œuvre. Sans doute à placer à côté d'un équivalent littéraire qui serait L'Usage du monde, de Nicolas Bouvier.

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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar osorojo » Jeu 06 Oct 2022, 21:07

Je vais tenter, merci pour l'éclairage :super:
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Re: [Olrik] Notules 2022

Messagepar Olrik » Ven 07 Oct 2022, 07:55

Tu es amateur de documentaires je crois, je ne vois pas comment L'Inde Fantôme pourrait te décevoir.
Il est possible que j'explore davantage les documentaires de Louis Malle.
A noter que la masse d'images lors de son passage à Calcutta était si importante qu'il y a consacré un documentaire (Calcutta).
Et puisque j'y suis, ce livre est un excellent compagnon au visionnage de l'Inde fantôme :
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