[Kake] Le Miracle de 2022

[Kakemono]

Les Associés - 6,5/10
Diversion - 3/10
Margot Robbie en Barbie - ??/10

[Alegas]

Les Associés

Les Hommes Allumettes De Ridley Scott Avec Nicolas Cage, Sam Rockwell, Alison Lohman… 2003, 1h53

6,5/10

Rien de tel qu'un petit challenge Nicolas Cage pour se remettre (temporairement) aux critiques. Je ne possède que Kick Ass et Les Associés chez moi, et ayant déjà fait une critique du premier, le choix du film n’était du coup pas très compliqué.


Coincé entre deux grosses productions, ce n'est pas forcément un film qui vient tout de suite à l’esprit quand on évoque la filmographie de Ridley Scott. Mais il livre ici pourtant un film plutôt recommandable, dans lequel on sent le soin apporté. C'est correct dans la mise en scène, joli avec cette photo bleutée parfois surexposée et agréable aux oreilles avec le thème d'Hans Zimmer. On sent aussi un certain plaisir pris a faire ce film, plaisir qui transpire à travers le trio d'acteurs. Nicolas Cage est bien évidemment parfait en arnaqueur maniaque, agoraphobe et pleins de tocs, un rôle qui lui va comme un gant. Sam Rockwell fait du Sam Rockwell, et il le fait bien dans son rôle d'associé. Et on sent Alison Lohman très a l'aise dans son rôle d'ado qui va venir bouleverser une mécanique bien huilée. On sent une bonne et belle alchimie entre elle et Cage. Et c'est d'ailleurs son arrivée qui va faire évoluer le film. Car bien qu'on commence par un film sur des combines et des petits business, on passe ensuite vers un petit drame familial plutôt léger. Un mélange des genres qui se fait tout naturellement tant les personnages sont bien caractérisés.
Attention néanmoins, je ne crie pas au chef d’œuvre. Pas de grosse surprise, pas de scène marquante, mais un bon sens du rythme qui tient en haleine 2h durant.


Au final on a un film assez léger et plaisant à voir, qui dénote dans la filmographie de Ridley Scott. Malgré un budget plus restreint qu'à son habitude il livre une œuvre correct. Pas mémorable, mais une petite bobine qui fait le taf.

[Mark Chopper]

Du coup, tu te sens comment après cette première critique depuis trois ans ?

[Kakemono]

Pas satisfait de ce que j'ai écrit mais ça me titille un peu d'en écrire d'autres.

[Kakemono]

Diversion

Focus John Requa & Glenn Ficarra Will Smith, Margot Robbie, Rodrigo Santoro... 2015, 1h45

3/10

Nicky Spurgeon est un escroc “professionnel” à la tête d'une équipe de nombreux arnaqueurs et pickpockets. Un soir, il croise Jess Barrett, une arnaqueuse débutante. Nicky décide de l'intégrer pour un gros coup à La Nouvelle-Orléans. Trois ans plus tard, il la retrouve sur sa route à Buenos Aires...


Le hasard a fait que j'ai enchainé sur un autre film d’arnaqueurs après Les Associés. Bon, je vais pas y aller par quatre chemins : c'est quand même pas bon du tout. Ça démarre quand même plutôt bien avec la rencontre entre Will Smith et Margot Robbie, mais ça vire vite à la catastrophe avec la scène suivante : Smith qui apprend a Robbie quelques tours rapides, tout se fait hors champ et absolument rien n'est crédible. Et le reste du film sera malheureusement dans cette veine, jusqu'au twist final absolument ridicule. Et en plus on rajoute en prime une love story poussive. Le duo ne fonctionne pas, Smith semble être ailleurs et Robbie malgré son joli minois n'a aucune personnalité dans le film.

Bon, je sauve quand même une jolie photo, une excellente scène avec BD Wong (la seule vraie bonne scène du film) et quelques seconds rôles truculents (notamment Adrian Martinez). Ca fait pas grand chose quand même.

[Mark Chopper]

une excellente scène avec BD Wong (la seule vraie bonne scène du film)

La scène avec les Stones ? Seule raison de voir le film en effet.

(Enfin... Margot est quand même top dans celui-là, belles tenues moulantes )

[Kakemono]

Oui c'est celle ci.
Et oui Margot elle fait son effet dans sa petite robe rose moulante, j'avoue.

[Alegas]

Ça sent le futur public pour le film Barbie.

[osorojo]

On a du voir la même photo du tournage. Je la partage pour la résurrection de l'ami kaké.



Madre Mia.
Quelle époque

[Mark Chopper]

Nan mais là ce sera sans moi.