Shock wave 2 - Herman Yau (2020)
Nawak mais pas déplaisant.
La première demi-heure est à la ramasse totale dans sa narration où tout va très vite et donne la curieuse impression de regarder un film en accéleré. Mise en place du sujet, élément perturbateur/trauma, montage de la rémission, nouvel élément perturbateur... Passée cette première demi-heure borbélique, l'intrigue est lancée et a le mérite de ne pas faire redite, le démineur, héros du premier film devenant ici suspect d'un acte terrosiste. On a donc ici du film de cavale un peu couillon, mais bien vif et efficace dans l'action.
Ça reste du vite vu vite oublié, mais qui livre la marchandise.
5,5/10
Le lac de Dracula - Michio Yamamoto (1971)
Comme pour le premier volet, je suis dans un premier temps séduit par le scope, la zik et de jolis plans colorés où se dégage un agréable parfum de fantastique baroque à la nippone, rien de ouf, mais une adition d'éléments qui suffit à gentiment toucher mon point G de bisseux indulgent.
Et puis, à a peine un tiers du métrage, l'indugence trouve ses limites et l'intrigue prévisible et d'une lenteur assomante m'emmerde totalement.
Le troisième volet sera sans moi.
2/10
Relic - Natalie Erika James (2020)
J'ai totalement adhéré à l'atmosphère. Ce climat anxiogène déployé par une mise en scène maîtrisée, ne cédant jamais à la facilité d'un jump scare.
Dommage qu'en son centre le film fasse du sur place et qu'on se demande parfois où cela veut en venir.
Mais ça reste un séance vraiment intéressante.
6/10