[Alegas] Mes Critiques en 2021

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Mark Chopper » Jeu 23 Déc 2021, 16:54

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Messagepar Mr Jack » Jeu 23 Déc 2021, 19:41

Alegas a écrit:au final je ne retiens du film que les passages où Groucho Marx est au centre de l’intérêt, débitant ses dialogues à une vitesse incroyable et avec des jeux de mots bien trouvés mais qui peinent à recevoir une traduction française digne de ce nom


Enchaine direct, et je réitère mon conseil pour les ST en VO. Sinon je suis d'accord avec toi pour le film, il est pénible à regarder. Par contre si tu enchaines, garde en tête que ça restera toujours cadré niveau gimmicks, étant donné que c'est des adaptations de leurs numéros de music-hall. Chaque frérot a son gimmick/numéro et si la prestation change à chaque film, t'auras toujours le morceau de harpe de Harpo, le passage au piano de Chico et les danses/chansons décalées de Groucho. Si t'acceptes ce contrat implicite, tu vas kiffer.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Alegas » Jeu 23 Déc 2021, 19:58

Ça devrait le faire je pense, tant que c'est plus travaillé sur la structure ça me va car là ça fait vraiment on filme le spectacle tel quel et banco.

Pour les sous-titres, j'aurais voulu les mettre en anglais mais malheureusement ce n'est pas possible sur les dvd de ma médiathèque. J'ai un moment tenté VO only mais dès que Groucho arrive c'est vraiment chaud de suivre alors que je suis habitué à parler anglais au quotidien. :eheh:
Dès que je repasse à ma médiathèque, je chope Animal Crackers.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Héritière (L') - 8/10

Messagepar Alegas » Jeu 23 Déc 2021, 20:22

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The Heiress (L'Héritière) de William Wyler
(1949)


J’étais assez curieux de découvrir un autre film de Wyler, dont je n’avais vu finalement que son Ben-Hur (gros film de commande donc) et ses documentaires de WW2 (dont je conseille l’excellent Memphis Belle), et y’a pas à dire je suis bien tombé. C’est du pur drame hollywoodien en costumes, mais dans tout ce que ça a de plus positif, du film complètement centré sur ses personnages, mais qui le fait d’une part avec une écriture irréprochable, et de l’autre avec une mise en scène sacrément inspirée. Le pitch n’est pourtant pas ce qu’il y a de plus bandant : la fille d’un prestigieux docteur du New York du 19ème siècle se trouve en âge de se marier, et alors que son père tente de la protéger autant que possible, parfois jusqu’à l’excès, la jeune femme tombe amoureuse d’un dandy sans le sou. A partir de là, tout l’enjeu du film va être de savoir qui fait le bon choix : est-ce que le père a raison de penser que l’homme n’est qu’un opportuniste parmi tant d’autres, ou est-ce que l’amour s’avère être véritable comme le pense l’héroïne.

Une histoire toute bête qui donne pourtant lieu à un film captivant de bout en bout. Wyler filme ça avec beaucoup de talent, sans jamais donner l’impression de voir une pièce de théâtre (et dieu sait qu’il était facile de tomber dans le piège, le film se déroulant quasiment toujours dans la même maison), et paye ton travail formel de dingue avec des cadres travaillés, des mouvements de caméra discrets mais élégants, et surtout une photographie à tomber par terre (quasiment chaque scène avec l’escalier donne lieu à des jeux de lumière bien foutus :love: ). Mais c’est clairement le casting qui élève le métrage, entre Olivia de Havilland habitée (cette scène finale bordel ! :shock: ), Montgomery Clift avec son jeu tout en apparences, et Ralph Richardson à la fois attachant et détestable selon les scènes. Tout ça, supporté par une écriture de qualité (l’évolution de la relation père/fille, la transformation d’une femme sur plusieurs années) aboutit à un film qui est, à mon sens, une parfaite représentation de ce que Hollywood pouvait produire de mieux à l’époque.


8/10
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West Side Story (2021) - 9/10

Messagepar Alegas » Jeu 30 Déc 2021, 14:59

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West Side Story de Steven Spielberg
(2021)


Je me souviens avoir lu au début des années 2000, alors que je commençais ma passion absolue pour Spielberg, une interview du bonhomme où il indiquait que l'un de ses souhaits les plus chers était d'aborder un jour le genre de la comédie musicale. A partir de là, l'idée même de Spielberg sur un film pareil a créé les fantasmes les plus fous pour le cinéphile que j'étais, d'une part parce qu'il était évident que le réalisateur y serait particulièrement à son aise avec sa science du mouvement (les séquences dansées de 1941 et Indiana Jones and the Temple of Doom ne faisant que confirmer cela), d'autre part parce que c'est finalement un genre peu abordé depuis quelques décennies par les grands noms du 7ème Art, alors qu'il y a clairement de quoi faire. Néanmoins, Spielberg aura pris le temps pour faire ce fameux film, et aura suscité moult doutes à l'annonce d'un remake de West Side Story, métrage souvent considéré comme intouchable alors que c'est, à mes yeux, loin d'être un film parfait.

Pourtant, ce remake (ou plutôt réadaptation du musical original pour être plus exact) ne pouvait pas être plus logique : la forme de Wise a énormément inspiré Spielberg au point que ce dernier pourrait être considéré comme un de ses descendants spirituels, mais aussi et surtout parce qu'il y a un message dans West Side Story qui résonne particulièrement fort avec notre époque actuelle, et nul doute que c'est ce qui a motivé Spielberg a en faire son projet, lui qui aime dernièrement évoquer les problèmes de l'Amérique d'aujourd'hui à travers des films d'époque (Lincoln, Bridge of Spies et The Post). Sans surprise donc, à la vision de ce nouveau film, c'est véritablement le propos qui change radicalement par rapport à la version de Wise : certes tout était déjà là avant, mais chez Spielberg on met l'accent sur certaines choses, on pousse plus loin certains concepts (le personnage d'Anybody, qui pouvait déjà être interprété avant sous l'angle LGBT, est ici incarné par un personnage trans), et surtout on fait le point sur une Amérique divisée alors que le mandat de Donald Trump se termine. Le film s'ouvre donc sur des ruines en plein milieu de la plus grande ville du pays, ruines symboliques qui vont être le lieu de l'action où deux visions de l'Amérique, incarnées par deux gangs rivaux et motivés par la peur de la différence, vont s'affronter, pendant que deux amoureux vont tenter une fragile et éphémère réconciliation.

Clairement, ceux qui n'ont pas aimé le musical ou le film de Wise ne changeront pas radicalement d'opinion sur l'opus de Spielberg : les personnages, bien que plus développés dans cette réadaptation, restent les mêmes, idem pour la storyline principale qui est une transposition de Roméo et Juliette, les chansons et la musique sont identiques (même si le sens de certaines diffèrent, en témoigne la chanson "Cool"), bref Spielberg ne cherche pas à chambouler les choses, et est même plus dans une certaine forme de respect (West Side Story était apparemment le premier disque que lui a offert son père), tout en poussant plus loin le propos du récit ainsi que la façon de le mettre en scène. Car c'est clairement là où Spielberg frappe fort : il sublime absolument chaque aspect du film original. Ce qui était moyen chez Wise devient bon (la durée et le rythme sont mieux gérés notamment), ce qui était bon devient grandiose (ça faisait longtemps qu'une histoire d'amour, pourtant très simple, ne m'avait pas autant touché), et je n'ai même pas encore mentionné la réalisation de Spielberg qui fait des merveilles. C'est simple : le mec donne à chaque scène l'impression d'être né pour filmer un musical. Tout y est : sens du cadrage, de la composition, du mouvement, de la durée du plan, de l'emplacement de la caméra, bref il y a une alchimie sublime qui aboutit sur ce que je qualifierais, ni plus ni moins, de meilleure comédie musicale depuis, facile, une vingtaine d'années.

Je pourrais citer un paquet d'exemples, mais le plus représentatif à mon sens est celui du numéro America, qui trouve une flamboyance visuelle rare, et qui m'a tout simplement mis sur le cul pendant toute sa durée. Même tout le traitement de l'histoire et des personnages me paraissent bien mieux foutus que dans le film de Wise, où les protagonistes restaient finalement assez lisses, alors qu'ici ils sont soit plus ambiguës ou subtils (les chefs de chaque camp notamment, très bien interprétés), soit ils dégagent plus d'émotion (le couple principal). Bref, c'est un film qui va au-delà de mes espérances : j'attendais une comédie musicale particulièrement élégante, j'ai eu cela, mais aussi le plus beau film de Spielberg depuis un moment.


9/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar maltese » Jeu 30 Déc 2021, 15:45

:super: :super: :super:
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Tokyo Godfathers - 8/10

Messagepar Alegas » Jeu 30 Déc 2021, 21:37

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Tōkyō Goddofāzāzu (Tokyo Godfathers) de Satoshi Kon
(2003)


J'avais longtemps repoussé la vision de ce dernier film de Satoshi Kon qu'il me restait à découvrir, pensant que ça allait être le point faible de sa filmographie. A l'arrivée, grosse surprise : il n'en est rien, et j'en suis même à penser que c'est mon film préféré du réalisateur derrière son Perfect Blue (il faudrait que je revois Paprika pour confirmer). Comme toujours avec Kon, on a le droit à un film assez atypique, même si ce Tokyo Godfathers est finalement celui qui est le plus terre à terre : pas de distorsion de la réalité, pas de montage qui vient brouiller les pistes de la compréhension, on reste sur quelque chose d'assez sage, à l'exception d'un événement fantastique en mode magie de Noël. D'ailleurs, le côté film de Noël de celui-là est particulièrement appréciable, d'autant que ça refuse un côté niais pour livrer un film à la fois bienveillant tout en étant particulièrement intelligent dans sa narration ou dans le développement de ses personnages.

On va donc avoir une histoire assez simple en apparence : trois clodos trouvent un bébé en plein milieu de Tokyo, et vont tenter de retrouver ses parents avec les maigres indices qui sont à leur disposition. Un récit qui va donner lieu à un film plutôt rythmé, en mode road-movie teinté d'enquête, mais avec un humour omniprésent (la fausse mort du clodo c'est assez génial comme idée :eheh: ) et surtout des personnages qui vont se révéler petit à petit pour transcender l'image que l'on avait d'eux au premier abord. C'est d'ailleurs la galerie de personnages qui rend le film aussi sympathique : ils sont à la fois attachants, drôles, complexes, psychologiquement instables, et quand les trois sont à l'écran ça donne souvent lieu à des situations et des dialogues très drôles. Au final, c'est un conte de Noël contemporain hyper bien foutu, à la forme digne du talent de Kon (le montage a beau ne pas être celui d'un Millennium Actress, ça reste la foire aux raccords ingénieux et aux idées originales :love: ), c'est un film à la fois accessible mais qui ne prend pas son spectateur par la main, et le dernier acte est sans doute un des meilleurs moments de la carrière de son auteur. Bref, à rajouter dans la liste des films à revoir régulièrement en période de fêtes.


8/10
Critiques similaires
Film: Tokyo Godfathers
Note: 6/10
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Auteur: Dunandan

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Alegas » Sam 01 Jan 2022, 12:50

BILAN DÉCEMBRE 2021


Films vus :

448 : Spider, David Cronenberg, 2002, Ciné VOST : 5/10
449 : Odd man out, Carol Reed, 1947, Ciné VOST : 8,5/10
450 : House of Gucci, Ridley Scott, 2021, Ciné VOST : 5/10
451 : El ángel exterminador, Luis Buñuel, 1962, TV VOST : 6/10
452 : The tragedy of Macbeth, Joel Coen, 2021, Ciné VOST : 7/10
453 : West Side Story, Robert Wise & Jerome Robbins, 1961, Blu-Ray VOST : 7,5/10
454 : Tick, tick... Boom !, Lin-Manuel Miranda, 2021, TV VOST : 7/10
455 : Alice in Wonderland, Norman Z. McLeod, 1933, DVD VOST : 4,5/10
456 : The lady vanishes, Alfred Hitchcock, 1938, Ciné VOST : 7/10
457 : The Matrix, Lilly & Lana Wachowski, 1999, Ciné VOST : 10/10
458 : Adieu monsieur Haffmann, Fred Cavayé, 2022, Ciné VF : 6/10
459 : All quiet on the western front, Lewis Milestone, 1930, DVD VOST : 6,5/10
460 : Where is Anne Frank, Ari Folman, 2021, Ciné VOST : 4,5/10
461 : Nelly et monsieur Arnaud, Claude Sautet, 1995, TV VF : 5/10
462 : The barefoot contessa, Joseph L. Mankiewicz, 1954, TV VOST : 6/10
463 : The Cocoanuts, Robert Florey & Joseph Stanley, 1929, DVD VOST : 3,5/10
464 : The Heiress, William Wyler, 1949, TV VOST : 8/10
465 : West Side Story, Steven Spielberg, 2021, Ciné VOST : 9/10
466 : Tōkyō Goddofāzāzu, Satoshi Kon, 2003, TV VOST : 8/10
467 : Cloud Atlas, Lilly & Lana Wachowski & Tom Tykwer, 2013, Ciné VOST : 10/10
468 : Koe no katachi, Naoko Yamada, 2016, TV VOST : 6/10
469 : Pig, Michael Sarnoski, 2021, Truc VOST : 5/10
470 : It's a wonderful life, Frank Capra, 1946, Blu-Ray VOST : 8/10
471 : Matrix Resurrections, Lana Wachowski, 2021, Ciné VOST : 8/10
472 : Matrix Resurrections, Lana Wachowski, 2021, Ciné VOST : 8/10
473 : The Big Sleep, Howard Hawks, 1946, DVD VOST : 7/10
474 : Spider-Man : Far from home, Jon Watts, 2019, Truc VOST : 4/10
475 : The epic of Everest, J.B.L. Noel, 1924, Truc VO : 6,5/10
476 : Stanno tutti bene, Giuseppe Tornatore, 1990, Truc VOST : 6/10
477 : Sweet smell of success, Alexander Mackendrick, 1957, Truc VOST : 6,5/10
478 : First Cow, Kelly Reichardt, 2019, Truc VOST : 7,5/10
479 : Red Heat, Walter Hill, 1988, Truc VOST : 5,5/10
480 : Falling in love, Ulu Grosbard, 1984, Truc VOST : 4/10
481 : 8mm, Joel Schumacher, 1999, TV VOST : 6,5/10
482 : Knocked up, Judd Apatow, 2007, TV VOST : 6/10
483 : Dýrið, Valdimar Jóhannsson, 2021, Ciné VOST : 5,5/10


Découverte du mois :

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Autres découvertes marquantes :

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Alegas » Sam 01 Jan 2022, 21:53

Bilan cinéphilique de l'année 2021 :


Films vus : 483 (+73 par rapport à l'année précédente)

Découvertes coups de cœur : 60

Les 10 meilleures découvertes (hors sorties cinéma) :

Point limite (Sidney Lumet)
Faust (Friedrich Wilhelm Murnau)
O.J. : Made in America (Ezra Edelman)
Huit heures de sursis (Carol Reed)
Ça commence aujourd'hui (Bertrand Tavernier)
Soy Cuba (Mikhaïl Kalatozov)
Le Train (John Frankenheimer)
La Vérité (Henri-Georges Clouzot)
Seuls sont les indomptés (David Miller)
Seuls les anges ont des ailes (Howard Hawks)


Réalisateurs découverts :

Don Hertzfeldt
Abel Gance
Jean-Paul Le Chanois
Stephen Chow
Erich von Stroheim
René Clair
Tod Browning
Denys de la Patellière
Howard Hawks
Jean Delannoy
Mikhaïl Kalatozov
Jennifer Kent
Andrea Arnold
Benjamin Christensen
Cy Endfield
Nicolas Roeg
Frédéric Tellier
Viggo Mortensen
Jean-Claude Brisseau
Virgil Widrich
Florian Zeller
Robin Hardy
Darius Marder
Yoshiaki Kawajiri
Enrico Casarosa
Andrzej Wajda
Valerio Zurlini
Lee Isaac Chung
Ludovic & Zoran Boukherma
George Cukor
Panos Cosmatos
Morgan Neville
Frank Perry
Arthur Harari
Jack Arnold
Rainer Werner Fassbinder
Herbert Ponting
Lotte Reiniger
David Miller
Alfred E. Green
Leo McCarey
Anders Thomas Jensen
Gilles Grangier
Albert Lewin
David Prior
Joe Talbot
Claude Pinoteau
Nora Twomey
Alexander Mackendrick
Kelly Reichardt
Valdimar Jóhannsson


Approfondissement de la filmographie :

Philippe de Broca
Fritz Lang
Brian De Palma
Bertrand Tavernier
Miloš Forman
Andreï Tarkovski
Georges Méliès
Cary Joji Fukunaga
Woody Allen
Mike Flanagan
Henri-Georges Clouzot
William Friedkin
D.W. Griffith
Victor Sjöström
Neil Jordan
Jean Vigo
Joseph L. Mankiewicz
Wes Anderson
James Wan
Noah Baumbach
Zack Snyder
Buster Keaton
Alain Resnais
François Truffaut
Masaaki Yuasa
Xavier Dolan
Leos Carax
Henri Verneuil
Costa-Gavras
Alfred Hitchcock
Jean-Pierre Jeunet
Walter Hill
Sidney Lumet
David Cronenberg
Jean Renoir
Ang Lee
Julia Ducournau
Alan Parker
Edgar Wright
Jean Grémillon
Jacques Audiard
Friedrich Wilhelm Murnau
Denis Villeneuve
Luis Buñuel
Sergueï Eisenstein
Ridley Scott
Clint Eastwood
Carl Theodor Dreyer


Récompenses (uniquement sorties 2021) :

Meilleur film : West Side Story (Steven Spielberg)
Meilleur film d'animation : Le peuple loup (Tomm Moore & Ross Stewart)
Meilleur réalisateur : Steven Spielberg pour West Side Story
Meilleur acteur : Adam Driver pour Annette
Meilleure actrice : Renate Reinsve pour Julie (en 12 chapitres)
Meilleure révélation masculine : David Alvarez dans West Side Story
Meilleure révélation féminine : Aisling Franciosi pour The Nightingale
Meilleur scénario original : Riders of justice
Meilleur scénario adapté : Illusions perdues
Meilleur montage : Last night in Soho
Meilleure photographie : The last black man in San Francisco
Meilleure musique : Le peuple loup
Meilleur premier film : Les Mitchell contre les machines
Daube de l'année : Promising young woman
Pire réalisateur : Clint Eastwood pour Cry Macho
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2021

Messagepar Alegas » Sam 01 Jan 2022, 22:01

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