Mourir peut attendre : 5,5/10
A peu de choses près le même sentiment qu'à la sortie de Spectre : l'impression de voir un film qui jongle entre les bonnes et mauvaises idées.
Deux grosses surprises néanmoins : le final évidemment (même si pas complètement bien géré), mais aussi le score de Zimmer, le meilleur depuis le départ de David Arnold à mon sens.
Enfin, ça confirme que le plus gros défaut de l'ère Craig est d'avoir voulu à tout prix lier les films, alors qu'au final les deux meilleurs sont ceux qui se suffisent à eux-mêmes.