[Scalp] The Last Bastard Alive en 2021

[Scalp]

1/10

Anderson Falls de Julien Seri - 2020

Y avait un indice sur la qualité du film, c'est réalisé par Julien Seri mais je me suis dis aller un polar ça peut pas être complètement foiré et ben putain. Seri c'est une sacrée filmo quand même, pas un film pour rattraper l'autre. Alors il a dit qu'il avait pas le final cut mais bon ça aurait pas changé grand chose. Alors c'est 2 serial killer, père et fils, je spoil rien c'est dès la première scène du film (seule bonne scène du film d'ailleurs) qui bute des femmes mariés en faisant croire à un suicide, leur dernière victime est la femme d'un flic qui du coup ne va pas croire au suicide et là tu te dis il va enquêter, logiquement, car un flic ça enquête quoi. Passé la dépression de rigueur le duo de tueur rate une victime du coup ça réveille notre héros (un des tocards des Xmen) qui va enfin enquêter (et il s'occupe plus du tout de son fils), ah ben non il fait la danse de la pluie dans son appartement devant des photos (presque aussi bien écrit que Daniel Craig qui regarde des photos dans Millenium) et hop du coup il a tout compris et il va même en planque devant l'appartement de la prochaine victime (ben ouais le mec est médium) et ça tombe bien il tombe pile poil le jour où le duo va opérer, si ça c'est une chouette coincidence quand même. Il arrête un des 2 (le père, joué par un impeccable Gary Cole, le seul acteur qui arrive à faire un truc qui tient la route, bon les autres sont pas aidés par des personnages écrits à la truelle) et l'autre va kidnapper son fils. Bon après on a un climax pourri et c'est fini.
Alors on a l'excuse que c'est tourné en 18 jours et que ça a couté 1 million de dollars mais en fait c'est pas une excuse car le problème vient pas réellement de la réalisation car même si Seri fait des films de merde (entre Yamakazi, les fils du vent et Scorpion on est quan même dans la merde 100% premium), techniquement il est pas mauvais enfin y a rien de bien honteux sur la forme c'est neutre, le problème ici c'est vraiment le scénario avec ce duo de serial killer tout droit sorti des 90's sauf que dans les 90's au moins c'était glauque ou fun ou nanard, là c'est juste nul car y a rien qui tient la route, je comprend même pas qu'un tel script puisse être financé tant ça ressemble plus à un épisode CSI et encore CSI c'est plus court et plus sympa.

[Jed_Trigado]

Seri c'est un tocard, je me rappelle qu'il avait râlé sur Mad Movies pour ne lui pas avoir servi la soupe pour la sortie de Nightfall en salles. Perso, je l'ai vu par soutien envers le film de genre français (et parce que mon cinoche le proposait) mais c'était une sacrée bouse.

[Scalp]

Là il a dit que c'est pas son montage, il voulait un film plus court (ca dure 1h25 et y a des trous énormes dans le script ) et qu'il voulait pas qu'on voit les tueurs dès le premier plan, ce qui fondamentalement change rien. Je comprends pas que ce mec puisse encore faire des films vu sa filmo.

[Scalp]

5.5/10

Fort Apache, The Bronx de Daniel Petrie - 1981

Sorte de mélange entre Serpico et les Flics ne dorment pas la nuit, 2 trucs dont je suis vraiment pas le plus grand fan, donc pas vraiment de miracle c'est juste sympa et pas plus et surtout grâce à au contexte et Newman. Le film commence fort portant avec un Pam Grier en prostituée qui bute 2 flics froidement sans aucune raison et alors qu'on pourrait penser que ça va être la storyline du film avec l'enquête et un film bien badass, en fait pas du tout, elle sera jamais arrêtée et va même disparaitre à la moitié du film non sans avoir tué encore mais elle tombera sur plus vicieux qu'elle. Du coup le film est juste le quotidien d'un commissariat dans le Bronx prénommé Fort Apache et on suit 2 flics plus particulièrement : Paul Newman et son jeune coéquipier Ken Wahl (lui je comprends pas que sa carrière ait jamais décollé surtout après un flic dans la Mafia, jamais revu cette série mais j'en garde vraiment un souvenir de gamin assez fabuleux). On est donc avec ces 2 flics qui patrouillent, ça arrête du mac, ça sauve des suicidaires, ça drague, y a même une émeute et une prise d'otage (qui se termine en headshot). Clairement y pas d'intrigue et c'est plus une succession de situation et notamment une où Danny Aiello balance un porto ricain du haut d'un immeuble, comme ça à la cool et Newman et son pote sont témoins, du coup ça va devenir l'enjeu de la dernière demi heure (avec la copine de Newman).
Le film est de 81 mais on est encore vraiment dans les 70's tant sur la forme que le fond, y a pas les looks et zic relou des 80's encore et y a une certaine liberté de ton, mais si le film se laisse suivre sans déplaisir c'est clairement grâce à un Paul Newman parfait en flic fatigué tiraillé par sa conscience et amoureux d'une belle et jeune infirmière et il arrive à faire passer la pilule des 2h, car oui ça dure 2h alors qu'on a pas d'intrigue ce qui est clairement excessif. Mais le bitume from the Bronx, les gueules, les petites ruelles, les dealer porto-ricain font que ça a un petit charme.
Loin d'être une pépite oublié comme le casting et le titre pourrait faire penser, ça reste un petit polar qui passe le temps grâce à la classe toujours intact de Paul Newman, surement un des acteurs qui à la mieux vieillit à l'écran d'ailleurs bien plus que Redford je trouve.

[Scalp]

1/10

Run de Aneesh Chaganty - 2020

C'était bien nul cette nouvelle version de Misery. On est pas loin d'être dans du plagiat là d'ailleurs. Sarah Paulson reprend (mal) le rôle de Kathy Bates et Caan est remplacé par une ado donc autant dire qu'on perd tout l'intérêt premier du film. Car bon une ado qui marche pas et qui va se rendre compte petit à petit que sa mère est folle et la séquestre (en lui faisant bouffer des pilule pour qu'elle reste paralysée) c'est pas super intéressant (pas du tout approfondi, faut pas trop se demander le pourquoi), on a du suspens à base d'appel téléphonique, de passage à la pharmacie, ou attention le climax du film notre jeune héroine qui va passer d'une chambre à une autre en passant par le toit et faut voir le passage où elle pète la vitre c'est genre LA scène du film, grand moment de mise en scène (on se raccroche bien à ce qu'on peut)
Y a véritablement que 2 actrices du coup faut vraiment un truc qui soit carré au niveau de l'écriture et on en est très loin, (déjà c'est tellement téléphoné que t'as même pas besoin de regarder le film pour le critiquer et c'est ce que j'aurai du faire) car les persos sont complètement osef et Paulson on croit pas à son personnage et c'est un peu con car c'est censé être la menace et bof elle pas flippante et livre une composition neutre, comme souvent donc. Et c'est pas mieux du coté de la gamine qui a pas grand chose à proposer.
Le seul point positif c'est que ça dure 1h20, c'est pour ça le point, le reste j'ai beau chercher je trouve absolument rien à sauver de ce pompage sans idée.

[Scalp]

5.5/10

Showdown in Little Tokyo de Mark L. Lester - 1991

M'attendais à vraiment pire, genre Punisher, ben finalement c'est plutôt plaisant, voir Lundgren et Lee dans un vrai film de studio c'est cool, on sent qu'il y a un budget qui évite un truc tout cheap, bon le coté relou c'est que c'est Lester qui est derrière la caméra et le gars était quand même pas bien doué (Commando c'est juste un nanard et pas un truc bien foutu), j'aurai préféré un Little, pour rester dans la même division.
Le gros atout du film c'est son rythme, ça dure 1h15 et ça se fait pas chier avec une histoire compliqué, ici on a Dolph et Brandon Lee (là juste pour faire le sidekick, c'est même pas un buddy movie tellement il est en retrait d'ailleurs c'est marrant au bout de 5 minutes ils sont potes et y a pas eu de scène pour qu'on croit à ce duo) qui vont foutre le bordel dans Little Tokyo et son boss, le toujours impeccable Cary-Hiroyuki Tagawa, là dès qu'il fallait un méchant japonais. Alors toute la partie japonaise ici c'est vraiment le Japon pour les nuls, mais genre vraiment, avec Dolph qui nous explique Sepukku entre autre (car ici c'est Dolph le spécialiste du Japon, il parle japonais, s'habille en habit traditionnel à la fin pour péter des tronches et a grandit au Japon, on dirait Steven le mec). Le gros atout du film c'est donc sa générosité, le bodycount est ultra élevé et c'est sanglant dès que possible, on a de le décapitation de blonde nue assez surprenante, d'ailleurs le casting féminin est vraiment pas farouche puisque toutes les femmes du films sont nues (même si c'est un body double pour la magnifique Tia Carrere) et toujours de manière de totalement gratuite (la blonde qui se fait décapiter c'est tellement le quota nibard là).
J'aurai pu mettre plus avec un autre réal, clairement, mais là que c'est paresseux entre les coups qui passe 1 mètre à coté et les chorégraphies absolument pas travaillées alors que bon Brandon Lee avait déjà montré qu'il pouvait clairement être très bon quand il s'agit de péter des tronches et ici il est clairement pas mis en valeur, le film étant surtout là pour vendre Dolph comme la nouvelle vedette du film d'action, chose qu'il ne deviendra jamais. Et Dolph ici c'est une superstar, il saute par dessus une voiture qui fonce sur lui, il se bat à moitié nue, il éclate du yakuza à la pelle sans trop se faire mal, il ken Tia et il balance de la bonne grosse punchline des familles et on a même un combat au katana pour conclure le film (et faut voir Brandon Lee gueuler à chaque coup que Dolph porte c'est vraiment gogol au possible mais tellement fun).
Etant pas un grand fan de sa filmo (en même temps normal), je pense que c'est top 3(Dolph en lead) derrière l'homme de guerre et le Scorpion Rouge, après par rapport aux autres actionner de l'époque c'est mieux que Nico mais moins bien que Rapid Fire.

[Jed_Trigado]

Et dire que sa durée de 1h15 serait due a un sévère charcutage de la part de la Warner qui trouvait le film beaucoup trop violent.

[Scalp]

Ca se sent les coupes tellement tout s'enchaine beaucoup trop vite.

[Scalp]

5.5/10

The Substitute de Robert Mandel - 1996

Les films dans un lycée c'est un genre en soi en fait, et The Substitute ce serait le film qui en a un peu rien à foutre du genre, ici les élèves difficiles on leur pète la tronche et on les jette par la fenêtre. On est quand même dans un pitch complètement WTF : un ex mercenaire de la CIA se fait passer pour un prof pour venger sa copine qui s'est fait péter les jambes par un gang qui sévit dans un lycée de Miami, et dans ce lycée on un proviseur qui bosse avec les gangs pour refourguer de la coke, si ça c'est pas du pitch qui s'en bat les couilles de la crédibilité. Tom Berenger est donc ce prof qui va venir remettre de l'ordre dans tout ça, il sera aidé par ses collègues avec entre autre William Forsythe allumé comme toujours et Luis Guzman et dans la team bad guy on a Ernie Hudson et Mark Anthony (oui oui le chanteur et il est très bien ici). Le film va pas plus loin que son pitch et c'est très premier degré, c'est ptet un poil trop long mais ça va les 2h sont plutôt rythmées et en plus on a un vrai climax avec un bon gros bodycount des familles avec une grosse trentaine de bad guy à buter, là y a pas arnaque sur la marchandise au moins, ça se balance de la roquette à quasi bout portant, y a des étoiles de ninja, du bon gros headshot.
Le casting fait plus que le taf mais ce qui fait pas le taf et pourquoi la note monte pas vraiment plus haute c'est vraiment à cause d'une réalisation très très paresseuse, c'est assez mou par moment et on a du mal à croire que Tom Berenger est un mercenaire (d'ailleurs en fait j'imagine Steven dans le film et là on passait à un autre niveau, on aurait mis les curseurs WTF plus haut encore), il est vraiment pataud et la mise en scène ne dynamise rien, heureusement que la générosité est au rendez vous ça fait vraiment oublier le coté plan plan du film, franchement le même film avec un vrai bon faiseur et c'est le panard absolu (le film est R mais ça manque clairement de débordement sanglant), là ça reste un petit truc qui se regarde avec plaisir mais y a rien qui en fait un film mémorable alors que ça pouvait.
Je crois que j'ai pas vu les suites avec Treat Williams, mais si c'est encore plus con je prends.

[Scalp]

4/10

Sniper de Luis Llosa - 1993

Mouais, en fait je me rends compte que les films avec Tom Berenger en lead je suis pas vraiment fan, je trouve pas l'acteur génial, et finalement à part Platoon je trouve qu'il a aucun rôle marquant (il a joué dans un des pires Scott, un truc tout pété avec des indiens que seul Pierre est fan, et en vieillissant il est même pas devenu un gage de qualité dans un film comme peuvent l'être certains vieux acteurs des 80's) et ici c'est pareil, alors il plombe pas le film, il est très bien dans le rôle mais c'est pas ça qui va le tirer vers le haut, surtout quand c'est en duo avec un bien pâle Billy Zane (lui il deviendra meilleur en perdant ses cheveux).
Sur le papier Sniper ça a tout pour me plaire, des snipers, une jungle, une mission où faut buter du narco et des mercenaires mais quand derrière la caméra c'est le mec qui a fait L'Expert et Anaconda fallait pas s'attendre à un miracle. Et ici c'est typiquement le genre de film où tu mets un bon réal et tu gardes exactement le même script et casting et le film il prend 2 points direct car c'est vraiment la mise en scène qui peut élever ce genre de film. Le script tient en une ligne : on va crapahuter en forêt pour buter une cible, la randonnée est pas folle (suffit pas de mettre une jungle pour que ce soit bien), le duo ne fonctionne pas du tout (en grande partie à cause de Zane, vraiment nul), les dialogues c'est même pas le minimum du genre, l'antagoniste est même pas digne d'un épisode de NCIS, et dès qu'il y a de l'action c'est d'une platitude affolante. Y a pas d'idée et quand y en a une c'est à base de CGI début 90's donc autant dire que voir ça aujourd'hui c'est pas possible, le mec arrive à mal filmer la jungle, c'est quand même pas un mince exploit.
Ca dure 1h30 et avec un tel script ça devrait filer droit mais on arrive à se faire chier, après ça se laisse regarder mais si on aime les snipers c'est vraiment pas fou et pour avoir vu le 5 ou 6 l'année dernière qui est un sombre DTV sans budget ben c'est triste à dire mais c'est meilleur, au moins y a des idées pour sniper et y a de l'action (non car ici c'est vraiment tout mou).

[Alegas]

un truc tout pété avec des indiens que seul Pierre est fan

Ça commence à se voir que tes critiques sont des copié-collé de Facebook.

[Scalp]

5.5/10

Les Suspects de Michel Wyn - 1974

Mimsy Farmer dans le cinéma français c'est un peu comme pour Sondra Locke chez Clint (ou Jill Ireland chez Bronson), elle était là pour se dénuder et/ou se faire violer. Ici on a donc les 2 (enfin on imagine on saura plus tard dans le film) et le film commence sur la découverte de son cadavre qui va donner lieu à une enquête en flashback où on va découvrir son passé et ses rencontres pendant ses vacances en France. Si au début c'est plutôt prenant, grâce à Paul Meurisse essentiellement j'ai envie de dire, plus on avance plus on voit que la résolution sera très simpliste et sans folie. C'est typiquement le genre de film qui réussit à se regarder en entier grâce à son construction narrative en flasbhack sinon y a clairement pas de quoi faire un film car le portrait de cette femme qui fait tourner les têtes de tous les hommes (et même femmes) qu'elle rencontre est pas fou et l'enquête très didactique et méthodique est pas folle même si on a des hauts placés dans les rôles de suspects : une vedette de la chanson, un fils de présidents, un homme d'affaire mais aussi un vagabond italien qui fait office de coupable idéal). Mais heureusement ça s'éternise pas et on boucle tout ça en 1h20
Le grand intérêt du film c'est clairement son casting clairement plus que savoureux : on a donc un atout charme indéniable avec Farmer et toute une galerie de second rôle high level : Paul Meurisse donc (le meilleur personnage du film, le seul qui existe vraiment j'ai envie de dire), Bruno Cremer, Michel Bouquet et Michael Lonsdale mais aussi une trogne des westerns italien en la personne de Luigi Pistilli et on croise même Jugnot et Lhermitte.
Wyn a pas fait réellement carrière de réalisateur mais il a été assistant de Verneuil et Clément sur des gros films, ici il fait du fonctionnel et on a pas grand chose à retenir.
Une petite curiosité qui doit tout à son casting.

[Scalp]

un truc tout pété avec des indiens que seul Pierre est fan

Ça commence à se voir que tes critiques sont des copié-collé de Facebook.

Techniquement je les écris ici en premier.

[pabelbaba]

Sans surprise, je l'avais bien aimé, même s'il ne fait pas d'étincelles.

[Scalp]

3.5/10

One Night in Bangkok de Wych Kaosayananda - 2020

On va appeler ça une curiosité, un réal qui a des belles merdes à son actif : Ballistic (faut s'en souvenir de celui là) et un Tekken, qui décide de plagier Collateral sans vergogne. On suit donc Mark Dacascos qui reprend le rôle de Tom en tueur qui à plusieurs arrêts à faire en une nuit et qui choisit donc un taxi pour ça. Le début du film c'est vraiment la même chose avec des dialogues qui sont carrément les mêmes (ça sent le procès tout ça) et puis après oui ok les enjeux sont différents et la dynamique entre les 2 personnages changent, alors je vais pas spoiler mais ça marche pas ce changement d'enjeu. En fait ce film c'est le bon exemple pour voir la différence entre un très grand réalisateur et un mec lambda qui essaye de copier avec une absence de talent manifeste.
C'est con car en vrai un remake de Collateral mais à Bangkok avec Dacascos ben moi ça me tentait carrément car le mec a un vrai capital sympathie et ici il est très bien, si le film est pas bon c'est clairement pas sa faute, car son charisme est toujours intact et même l'actrice qui joue la chauffeuse de taxi est plus que correct mais c'est le reste qui va pas. Malgré une photo vraiment pas déuguelasse, un bon Bangkok by night, rapidement on va se faire chier car ça veut changer les enjeux mais ça arrive pas à clairement nous faire adhérer au truc et puis c'est vraiment mou, les contrats sont assez plats et sans idée, le premier ça fait illusion car très sobre et c'est juste pour poser le contexte, mais très vite que ce qu'on peut prendre pour de la sobriété au début est juste une absence de talent car tout le reste du film va être plat, avec des climax d'une fadeur incroyable et l'intérêt que ça déroule en Thaïlande est proche du néant, ça apporte aucune plus value et ça change rien par rapport au film de Mann (et je vais même pas parler du perso qui reprend le rôle de Ruffalo, c'est horrible ce personnage). A un moment on se dit qu'on va avoir un climax final pétaradant (ce qui serait logique vu qu'on nous parle de yakuza) mais non c'est tout nul et même les 2 dernières minutes qui essayent d'être atmosphérique et classe, ça fonctionne pas.
Reste Dacascos qui fait que j'ai pas arrêté le film en plein milieu et puis on peut voir que Julie Condra est pas morte.