[Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Modérateur: Dunandan

Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Mr Jack » Mer 28 Oct 2020, 19:40

Mark Chopper a écrit:(ta passion pour la cuisine commence à se remarquer)


C'est pas un secret (si ?). :chut:
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Mark Chopper » Mer 28 Oct 2020, 19:46

Avant c'était pour tringler. Maintenant, ça ressemble à une fin en soi.
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar osorojo » Mer 28 Oct 2020, 19:46

Je suis preneur de recettes, perso :mrgreen:
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Scalp » Mer 28 Oct 2020, 19:49

C'est que des trucs de gros :mrgreen:
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar osorojo » Mer 28 Oct 2020, 20:15

Je prends pas alors, à mon âge avancé, j'essaye de faire gaffe :eheh:
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Debt collector 2 (The) - 7/10

Messagepar Scalp » Jeu 29 Oct 2020, 10:04

7/10

Debt Collectors de Steve V.Johnson - 2020

Scott Adkins est le dernier action man qui fait des films sympas et qui perpétue le ciné d'action des 90's et même les prods HK, le mec est fan et ça se sent, il enchaine les projets, alors la qualité est pas toujours au rendez vous mais un nouveau Adkins ça reste toujours un film à voir comme un nouveau Van Damme ou un nouveau Steven (enfin entre 90 et 2000 en gros). Adkins bosse principalement avec 2 mecs Florentine et V.Johnson alors si au début y avait vraiment pas photo entre les 2 réal aujourd'hui Johnson fait des films plus sympas, ça fait moins cheap et y a une petite volonté d'essayer de faire autre chose qu'on se fout sur la gueule en guise de script.
Ici on retrouve donc le duo du premier film qui fonctionnait si bien, car un buddy movie dans un film de tape c'est finalement pas si fréquent et c'est encore moins fréquent quand les dialogues sont cools et qu'on a une vraie alchimie entre les 2 acteurs, ça fait que même si en soi l'histoire est basique on passe un bon moment car on apprécie les personnages, on se marre avec eux et on apprécie la séquence hommage à Invasion Los Angeles.
Le film n'a pas le défaut des DTV d'action actuel, il ne fait jamais cheap, alors le budget est short mais chaque dollar est à l'écran, y a un joli scope, on est à LA. Après clairement Adkins a déjà été plus impressionnant en fight, ici on retient pas vraiment de scène, mais elles sont toutes sympas à voir et on voit que le réal a confiance à ce duo du coup il a pas besoin de faire le kéké avec sa caméra, on retiendra le combat contre le boxeur et le 1 vs 1 entre les 2 héros qui est vraiment bien, tant en terme de choré (cash et efficace) que de dramaturgie (c'est tout con mais ça marche), par contre j'ai un gros bémol sur le climax final qui ressemble à du Tony Scott avec tout le monde qui se tire dessus dans un espace réduit et on a un montage à l'arrache, alors y a des plans classes, y a pleins d'armes, ça explose mais c'est pas crédible et ça fait plus bordélique qu'autre chose, la scène est trop longue vu les armes et les distances c'est le genre de gunfight qui devrait être terminé en 20 secondes mais là il dure et en plus il utilise les mêmes plans plusieurs fois, c'est assez mal cut de manière général, c'est con de finir le film sur cette scène qui rend pas justice à la progression de ce réalisateur depuis le début de sa carrière. Un mec qui fait attention à soigner son image malgré un budget qu'on devine plus réduit, il a un chef op et on a scope, ce qui le met directement tout en haut du panier des DTV.
Le film est pas un déluge d'action, loin de là, comme le premier en fait, y a 3 ou 4 scènes d'actions, plutôt variées d'ailleurs mais comme j'ai dis plus haut, le mec croit en son duo ce qui fait qu'on a pas besoin d'un déferlement d'action pour pas se faire chier et puis retrouver Vladimir Kulich et Vernon Wells est toujours un plaisir. Adkins joue de mieux en mieux aussi, son coté anglais apporte toujours un petit plus.
Et en plus sur ce film on a même une petite soundtrack sympa.
Non vraiment c'était cool, Scott Adkins, The Last fighter alive, bon après si tu aimes pas, poses toi les bonnes questions, qui est vraiment aigri ?
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Bronx - 8/10

Messagepar Scalp » Ven 30 Oct 2020, 11:28

8/10

Bronx de Olivier Marchal - 2020

Autant le dire d'entré si on aime pas Marchal on peut immédiatement zapper ce film, c'est du 100% Marchal sans concession, du polar purement premier degré. Mise à part Mr73 qui était quand même un peu foireux et vraiment lourd (il en faisait des tonnes dans la noirceur notamment avec ce Marseille ultra pluvieux et ici on a un Marseille vraiment à l'opposé). Alors oui il a des références écrasantes, oui on entend Mann du pauvre, mais bon quand on voit les polars français et même de manière générale depuis 20 ans ben Marchal il est dans le haut du panier et clairement cracher sur ses films, c'est juste ne pas aimer les polars (précision importante Drive c'est pas un polar).
La BA vendait un truc 100% action avec des gros noms et on est loin de ça, alors c'est un polar intimiste non plus mais il a toujours cette ambition de faire des fresques policières, ici c'est dense avec beaucoup de persos et de ramification et alors qu'on pourrait y trouver une sorte de complaisance pour les flics, on en est vraiment loin et le film est loin d'en faire l'apologie (alors qu'on sait qu'il est vraiment pro flic comme mec), alors oui c'est un cinéma burné qui fait pas dans la dentelle mais on est pas là pour faire une apologie et la scène finale est en la preuve, une scène qui fait gagner un point au film, entre la chanson utilisée, la noirceur du truc et la réalisation. Et en parlant de noirceur alors qu'il en faisait des caisses dans Mr73 ici on a quand même une exécution devant une école primaire (scène vraiment réussie d'ailleurs).
Le film s'ouvre de manière très efficace sur un suicide suivi d'une entrée en matière très réussi du personnage principal du film, Lannick Gautry que je découvre ici et qui est carrément top (j'aime bien comment son perso est présenté et ce que Marchal fait du perso), qui a une très belle scène avec Gérard Lanvin (qui a un rôle caméo, il a 2 scènes mais il a vraiment une super scène qui rappelle que quand il s'en donne la peine c'est un super acteur, malheureusement ça arrive de moins en moins) et puis c'est parti pour 2 h de guerre des gangs avec des flics plus ou moins pourris au milieu de tout ça, nos héros enquêtent sur un règlement de compte où tout le monde se trouve plus ou moins impliqué et qui va se transformer petit à petit en descente aux enfers pour les persos et sans qu'on s'en rend forcément compte, ça se fait petit à petit et on se dit jamais que le point de non retour est atteint. Alors y a rien de surprenant dans son intrigue mais clairement le cachet marseillais apporte un vrai plus et ça fait bizarre car la semaine dernière j'avais vu l'Immortel qui se passe aussi à Marseille et la ville était pas du tout exploité ça aurait pu se passer n'importe où, ce bon vieux tocard de Berry pensait que mettre des gars avec un accent était suffisant, syndrôme plus belle la vie.
Visuellement bon ben c'est du Marchal pur jus, c'est lyrique et il aime magnifier ses personnages, l'action il s'est amélioré au fil des films, par contre on a une scène d'action au milieu du film et c'est un peu bordélique, enfin pas en terme de montage et découpage car il sait filmer et monter, mais là c'est nocturne et éclairé par l'aube arrivant et les armes à feu ( des armes qui font un bruit monstre), y a plus de 10 personnes lors de ce gunfight on arrive pas vraiment discerner qui tire sur qui après y a un coté confus volontaire mais c'est très frustrant, par contre les autres scènes sont assez cash et réussies notamment une arrestation qui tourne mal avec un mec qui se tire et tire la teub à l'air et on a une scène de snipe avec Kaaris (un Kaaris plutôt crédible et bien meilleur acteur que rappeur, car rappelons que c'est un des pires rappeur de sa génération et ici son physique suffit à le rendre intéressant dans ce rôle). Marchal est donc un mec qui fait du cinéma, enfin il essaye, il aime le cinéma, et il essaye vraiment de faire un truc qui ressemble pas à un téléfilm et si au début de sa filmo les références étaient écrasantes, aujourd'hui je dirais pas qu'il s'en affranchit mais il y a clairemnet un style Olivier Marchal, un style qu'il est facile de critiquer (les Inrock ont détesté le film, ça donne une bonne raison de l'aimer).
Le casting est très bon dans l'ensemble, le premier rôle donc que je connaissais pas, les têtes qu'on a l'habitude de voir chez Marchal : sa femme, Francis Renaud (parfait comme souvent chez Marchal même si depuis qu'il avait posté sur Mad movies pour pleurer que personne aimait un film de merde dans lequel il jouait je lui trouve un bon gros coté connard), Alain Figlarz, Moussa Maaskri, Catalifo (bon rôle lui aussi)... et puis on a Jean Reno qui a un rôle qui fait lui aussi office de caméo, David Belle joue bien ou du moins pas mal et ça surprend, et découverte pour moi de Stanislas Merhar qui a un vraiment un super rôle et il est habité le mec et puis on a Madame Claudia Cardinale en matriarche de clan corse. Evidemment on a de la punchline bien badass.
La BO j'ai pas vraiment retenu mais on a un passage avec Shurikn et la chanson de fin sauf erreur c'est Bashung.
Que le film finisse sur Netflix est une aubaine pour Marchal car je suis sur que ça aurait fait un bide, c'est plus le cinéma qui marche aujourd'hui, malheureusement alors que c'est du vrai bon cinéma populaire, d cinéma où on éclate des tronches sans se demander si c'est politiquement correct.
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Jed_Trigado » Ven 30 Oct 2020, 13:19

Je vais me le caler vite fait. :bluespit:

Sinon, je savais pas pour Renaud sur Mad. :eheh:
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Scalp » Ven 30 Oct 2020, 13:46

De mémoire c'était pour le film Mutants, le truc avec le Kickboxer. Le film s'était fait descendre de partout, à juste titre, et lui il était venu sur Mad dire que personne comprenait rien.
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Jed_Trigado » Ven 30 Oct 2020, 14:10

J'irais lire ça quand le forum sera remis en marche. :mrgreen:
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Passeur d'hommes - 7/10

Messagepar Scalp » Sam 31 Oct 2020, 11:16

7/10

The Passage de J.Lee Thompson - 1979

Anthony Quinn, James Mason, Christopher Lee, Malcom McDowell, tu vois ce casting tu sais que tu as envie de voir ce film, même si le réalisateur c'est le plus qu'inégal Thompson, capable du meilleur comme (en fait j'ai commencé cette phrase avant de check sa filmo et son meilleur film c'est Navarone et ici franchement The Passage c'est kif-kif) mais surtout du pire (bon là pas besoin de check sa filmo, y a juste a dire tout après 1980).
Là on est clairement dans du film tombé dans l'oubli malgré ce casting all star. Donc l'histoire c'est Quinn en vieux paysan basque qui va aider une famille à passer la frontière espagnole et ils sont suivi par un chef SS psychopathe (merveilleux Malcom McDowell qui porte même un string avec une croix gammée, la classe à Dallas) qui viole, brule, torture (tout en cuisinant) et tue (tout en rigolant), un bon gars quoi. On suit donc cette expédition pas forcément folle en rebondissement mais rudement efficace. Entre la torture de Lonsdale (ouais y a aussi des acteur français), les 2 scènes avec Christoper Lee génial en gitan, le snipe en pleine montagne ou Quinn qui étrangle du nazi on a de quoi pas se faire chier. Et puis surtout on a ce casting impérial : Quinn qui avait encore et toujours une sacrée présence et qui ici joue sans forcer, juste être là suffit (et il écrase la petite expédition de son charisme, ça tranche avec le flegme de Mason), Mason qui a été un temps le meilleur acteur de sa génération (très belle scène après la mort de sa femme) trouve un chouette rôle avec ce personnage qui s'affirme au fil du récit, McDowell dont je suis pas vraiment fan et qui pour moi trouve ici son meilleur rôle (ouais Orange Mécanique c'est de la merde et sa seconde partie de carrière est pas flamboyante) on a clairement de quoi jamais se faire chier. Alors c'est pas forcément de la grande réal mais Thompson cherche toujours l'efficacité et on a des scènes plutôt réussies (le climax final j'y ai vraiment cru à ce que je voyais, bon avec cette fin j'aurai mis 8 dommage qu'on ait 2 minutes après) comme ce snipe dans la neige ou la petite attaque à la frontière.
Du bon petit film WW2 qui fait toujours plaisir.
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Scalp » Dim 01 Nov 2020, 17:13

8/10

Clive Barker's Nightbreed - 1990

Alors je me souviens pas vraiment de la version cinéma mais y avait plus 40 minutes d'amputées par les costards cravates qui avaient pris peur à la vision du film et au vu de la découverte de cette version Director's Cut j'imagine que c'est surtout la seconde partie du film qui a du être charcutée, enfin on a que 20 minutes de plus (on parle d'une version de 2h40 mais je suis pas sur que 2h40 soit une super idée). J'avais la mémoire d'un film foutraque et ici tout se tient et rien ne parait sortir de nul part.
Avant ce film Barker été présenté comme le futur du cinéma d'horreur, Hellraiser est un vrai classique comme on en fait plus (non les films de Ari Aster ou Jordan Peel ne sont pas des classiques) et ça lui avait ouvert les portes d'Hollywoord, portes qui se refermeront immédiatement après 2 films qui sont pourtant très bons. Barker c'est un style unique, on reconnaît immédiatement son univers, bien plus facilement qu'un Stephen King qui a tellement d'oeuvre qu'on peut l'associer avec beaucoup de choses, Barker c'est un univers gothique, érotique et violent mais aussi sensuel et onirique.
Ici on voit un vrai film ambitieux, Barker voulait faire le Star Wars du film de monstre et quand on voit le film on comprend ce qu'il voulait dire, la scène où on entre dans cette cité secrète c'est vraiment une scène d'un Star Wars, mais un Star Wars fuck-up. Et si le film ne dépasse jamais ce statut de bon film (ce qui est déjà pas mal) c'est car Barker accorde beaucoup plus d'importance à son bestiaire qu'à son intrigue, une intrigue à l'approche très mythologique on pourrait simplifier en disant que c'est Orphée qui va chercher Eurydice mais l'alchimie est pas folle à cause d'un acteur principal un peu terne (mais il plombe pas le film) alors que l'actrice est très bien et elle a vraiment beaucoup d'importance, limite c'est elle le premier rôle et le rôle va bien au delà de celui de petite amie du héros et c'est une vraie quête initiatique pour les 2 personnages. Et ici les rôles sont inversés, les monstres ne sont pas ceux qu'on voit habituellement, enfin pas tant que ça car on pense finalement pas mal à Total Recall. Et les monstres ont vraiment un rôle dans l'intrigue (ils sont pas juste là pour décorer) et ce sont eux les "gentils" et c'est le genre de truc dérangeant pour un studio car là c'est pas Edward aux mains d'argents ou un poisson dans un bocal, non ici c'est du vrais monstres qui ressemblent tous à des putains de méchants et qui ont un coté glauque même.
Les 2h passent toutes seules, par contre le long climax final aurait mérité d'être soit plus court soit plus rythmé, y a trop de pause dans cette scène mais bon y a quand même des supers moments et puis on a enfin l'opportunité de voir le film qui se rapproche le plus de la vision de Barker, un Barker qui se débrouille très bien quand il s'agit de dessouder l'armée de flic, on l'avait jamais vu dans une scène d'action et c'est efficace (super scène avec la femme pic).
Ici le méchant est en costard cravate (interprété par un impeccable David Cronenberg dans son seul bon film des 90's) et se paye finalement un look assez quelconque avec son sac sur la tronche, et le studio voulait recentrer l'intrigue sur ce personnage, les monstres c'étaient pas trop leur truc mais dans la nouvelle version même si le personnage de Cronenberg reste important à l'intrigue, il n'est plus au coeur de l'intrigue.
Le budget du film on sait exactement où il est passé, dans cette cité et ce bestiaire qui est clairement encore aujourd'hui reste du jamais vu, les corps sont difformes ou scarifiés (les visages aussi), et y en a de partout, certains ont juste 2 secondes de présence à l'écran mais on sent que Barker a vraiment soigné toute cette partie.
Alors que les freaks ont toujours été associé à Burton (filiation ici renforcé par la présence de Elfman à la musique) ou Del Toro, Barker signe ici une vraie ode à la différence. Nightbreed est de ces films dont on oublie aisément les défauts visibles (rythme pas toujours bien géré, réalisation pas toujours grandiose, acteur pas tous du même niveau) pour se dire que c'est un film important et que c'est le genre de film qu'on aimerait voir plus souvent, bon c'est pas aujourd'hui qu'on risque d'en voir un nouveau. En tout cas si je devais retenir qu'un seul nom du cinéma d'horreur ce serait sans aucune hésitation Clive Barker, loin, très loin devant King.
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Mark Chopper » Dim 01 Nov 2020, 17:22

Pas revu depuis 20 ans au moins... Je me souviens évidemment d'une version cinéma assez foutraque. Faudrait que je tente cette version. Et que je revois son troisième film tant que j'y suis.
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar osorojo » Dim 01 Nov 2020, 17:22

J'avais bien aimé la version ciné, là tu me rends curieux de découvrir cette DC.
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Re: [Scalp] Mes critiques en Quarantaine

Messagepar Scalp » Dim 01 Nov 2020, 17:27

Il est très bien aussi son 3ème
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