[Alegas] Mes Critiques en 2020

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar lvri » Dim 09 Aoû 2020, 18:38

Alegas a écrit:Donc non, ne t'en fais pas, je n'ai toujours pas l'intention d'utiliser cette expression quand ça ne le mérite pas.


Honnêtement, j'ai jamais vu Riddick, donc je sais même pas ce qu'il vaut :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar Jed_Trigado » Dim 09 Aoû 2020, 19:54

Sérieux Scalp, tu défends ce truc ? Le premier Riddick tuait le game dans son genre, économe mais efficace dans tous ses aspects, du Carpenter 00's en somme. La suite en est la négation absolue.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar Mark Chopper » Dim 09 Aoû 2020, 20:07

Une suite qui est le contraire même d'une photocopie... Rien que pour ça, le film mérite d'être défendu malgré son côté un peu cheap.

Riddick est toujours badass (nan puis Vin Diesel qui joue bien, ça paraît miraculeux aujourd'hui, on sent qu'il aime le perso), les persos ont évolué, l'univers est étendu, toute la partie dans la prison est mortelle et j'adore la fin.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar Scalp » Lun 10 Aoû 2020, 07:16

Best space opera all time et basta, je laisse Star Trek et SW au bouffeur de steak de soja
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Quatrième Dimension, Le film (La) - 6,5/10

Messagepar Alegas » Mer 12 Aoû 2020, 14:40

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Twilight Zone : The Movie de John Landis, Steven Spielberg, Joe Dante & George Miller
(1983)


Sur le papier, le projet laisse rêveur : une adaptation de la Quatrième Dimension sous la forme d’un film à sketches, avec à la réal quatre réalisateurs alors au sommet de leur succès. Malheureusement, le sort voudra que la production du métrage soit des plus chaotiques, notamment avec un accident qui provoquera la mort d’un des acteurs principaux, au point que ces mêmes réalisateurs décident depuis de ne plus aborder le sujet. Le résultat n’est pourtant pas honteux, loin de là, et même si des défauts évidents sont à pointer, ça reste un film à sketches recommandable qui mériterait de sortir de l’oublie relatif dans lequel il est plongé.

1er segment : John Landis.

Passée l’introduction anecdotique, on entre dans le vif du sujet avec le segment de Landis qui s’avère assez décevant dans son genre. Pourtant, le pitch (le seul qui ne soit pas tiré d’un épisode du show original) est prometteur : un raciste notoire se retrouve sans prévenir plongé dans des époques de l’histoire où il devient traqué soit par des nazis soit par des membres du KKK. Malheureusement, le segment est hyper pauvre en terme de réal, Landis y montrant clairement ses limites (très peu d’idées de mise en scène, une gestion un peu foireuse des décors en studio) et le rythme est complètement inégal, la faute très certainement à l’accident de tournage qui a bousculé tout ce qui était prévu à la base. La plus grande qualité de ce sketche au final, c’est d’être le moins bon du lot, et à partir de là le film va en s’améliorant jusqu’à la fin.

2nd segment : Steven Spielberg.

Segment assez décrié et on peut comprendre pourquoi : le film sortant entre E.T. et Indiana Jones and the temple of doom, on est en droit d’espérer un truc de folie de la part de Spielberg. Au final, ce dernier décide de prendre le contre-pied total, en faisant de son segment le plus sage du film. Une maison de retraite, des vieux qui regrettent leur jeunesse, un inconnu qui va leur permettre de de retomber en enfance le temps d’une nuit, et basta. Le segment a beau être joli à partir du moment où on accepte sa mièvrerie, on sent que Spielberg ne se foule pas des masses (possiblement parce qu’après l’accident chez Landis, il avait envie de se débarrasser au plus vite de cette tâche), même sur la mise en scène ça reste un peu trop sage. Ca aura été surtout l’occasion pour Spielberg de prouver une première fois l’amour qu’il porte au Shining de Kubrick en engageant Scatman Crothers, il recommencera par la suite avec Philip Stone dans le second Indiana Jones, et évidemment bien plus tard avec la seconde épreuve de Ready Player One.

3ème segment : Joe Dante.

Clairement le segment le plus dérangeant et sombre des quatre. Dante oblige, l’influence des cartoons est absolument évidente, au point d’être montrée directement à l’écran à plusieurs reprises. Ca démarre doucement mais dès qu’on arrive dans la maison le segment est complètement lancé et va dévoiler crescendo son mystère et ses moments très marquants. Ca a beau être la partie la plus colorée du métrage (superbe photographie tout en surréalisme), c’est aussi celle qui effraie le plus à mon sens, avec notamment un shot qui figure parmi les plus choquants de ma vie de cinéphile (celui où l’on découvre le destin de la soeur, on nage ici dans le film d’horreur pur :shock: ). Le seul gros défaut de ce segment au final, c’est de s’essoufler un peu trop avant son final, mais rien de bien méchant.

4ème segment : George Miller.

Le meilleur segment du film. C’était alors seulement le troisième film de Miller, qui sortait de sa zone de confort post-apocalyptique pour raconter l’histoire d’un homme que tout le monde va prendre pour un fou alors qu’il tente d’empêcher un monstre de crasher l’avion dans lequel il se trouve. Pas grand chose à redire sur ce segment : la lente tombée dans la paranoïa est très bien accentuée par la mise en scène de Miller qui ressort quelques gimmicks savoureux (notamment l’insert des yeux révulsés qu’on retrouve dans les Mad Max), et surtout John Lithgow livre la meilleure prestation du film entier, le mec donne clairement l’impression d’être possédé et j’ai pas souvenir de l’avoir vu aussi bon par la suite.


6,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar francesco34 » Mer 12 Aoû 2020, 22:24

Et sans oublier la brillante partition de Goldsmith sur l'ensemble du film, avec de superbes mélodies sur le segment Spielberg, et un passage incroyable aux cordes sur celui de Miller qui fait monter la tension de façon hallucinante (le passage où il hésite à regarder derrière le hublot dont le volet est fermé)!
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar Mr Jack » Dim 16 Aoû 2020, 21:22

T'as regardé la série ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar francesco34 » Dim 16 Aoû 2020, 21:30

De mon côté je viens tout juste d'acheter le coffret de l'intégrale et j'ai commencé à mater quelques épisodes. J'en avais déjà vu bien sûr, mais de façon éparpillée. Je trouve le début de première saison pas super convainquant pour l'instant.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar Mr Jack » Dim 16 Aoû 2020, 22:17

Le premier grand épisode c'est le 8, Time Enough at Last même si mon préféré (de la série -j'en suis à la saison 3) reste le 9, écrit par Charles Beaumont (un gars sûr).
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Côtelettes (Les) - 5/10

Messagepar Alegas » Ven 28 Aoû 2020, 10:21

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Les Côtelettes de Bertrand Blier
(2003)


Un Blier assez dispensable qui inaugure une fin de carrière thématiquement intéressante, mais qui peine à convaincre tout de même dans sa globalité. Ici, Blier adapte sa propre pièce qui a été un joli succès sur les planches, et le résultat est quand même pas spécialement captivant. Ca démarre pourtant de façon rigolote avec un Philippe Noiret qui va avoir la rencontre d’un vieil inconnu qui vient le faire chier de façon complètement gratuite. Plus le film avance, plus il va être question d’un triangle amoureux avec la femme de ménage des deux hommes, mais aussi de la mort, personnifiée sous les traits d’une femme qui va faire un plaisir de hanter les deux hommes. Ce n’est clairement pas le premier Blier qui suit une histoire pas mal déconstruite, notamment dans la linéarité, mais là on sent que Blier se cogne aux limites de l’exercice. Il en résulte un petit film qui fait assez vain, un peu concon sur les bords (le final où on baise littéralement la Mort, mouais…) et qui donne trop souvent l’impression de ne pas savoir où aller. Il vaut surtout pour son duo principal (excellents Noiret et Bouquet) et quelques répliques dont Blier a le secret (la tirade sur les gros cons de droite et de gauche, je la ressortais déjà IRL quelques jours après avoir vu le film :mrgreen: ). Même côté mise en scène c’est un peu décevant : c’est assez plan plan et peu inspiré. A partir de là, la carrière de Blier sera clairement au ralenti artistiquement parlant, on sent que le bonhomme a encore des choses à dire mais qu’il n’a plus le mojo pour en tirer des films de la qualité d’antan.


5/10
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Train sifflera 3 fois (Le) - 7,5/10

Messagepar Alegas » Sam 29 Aoû 2020, 22:36

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High noon (Le train sifflera trois fois) de Fred Zinnemann
(1952)


Un classique du western qui ne fait pas mentir sa réputation. Globalement, j’ai été pas mal étonné par le film, ne sachant absolument rien de ce dernier, et découvrant donc un métrage qui se veut mine de rien radicalement différent de ce qui avait pu se faire dans le genre. Le western est ici une toile de fond dont on réutilise certains codes, mais c’est finalement toute une histoire et des thématiques qui auraient pu se dérouler dans un paquet d’époques et lieux différents. On va donc suivre l’histoire d’un shérif d’une petite bourgade qui va tout juste rendre son étoile après son mariage, mais qui va devoir rester en service quelques heures supplémentaires en apprenant qu’un brigand qui avait juré de le tuer va revenir en ville. Du coup, tout le film va se baser sur la simple quête du shérif, à la recherche d’une aide quelconque pour venir à bout du malfrat. Un postulat de départ simple, mais singulièrement différent de ce qui a pu se faire jusqu’ici.

Le western avait toujours été auparavant un genre assez manichéen, et là on remet en question ni plus ni moins que les braves âmes qu’on protège de films en films, et notamment sur leurs positions vis à vis de la question de la responsabilité : la plupart sont d’accord avec l’idée qu’un shérif doit les protéger, mais dès qu’il faut aider ce dernier à rétablir l’ordre, il n’y a plus personne. Et autant certains revirement de la part des citoyens font clairement d’eux des lâches, autant on se surprend à comprendre la position de certains au point d’y établir une certaine empathie, et c’est clairement là l’une des grandes forces du film. On désacralise la communauté américaine typique, on n’hésite pas à mettre en avant le personnage d’une femme forte mexicaine, on traite le shérif comme un homme normal qui a peur de perdre la vie dans un duel (et qui a même besoin de l’aide de sa femme lors d’une scène d’action !), bref c’est clairement un film qui prend à contre-pied le genre, très moderne dans l’esprit, et ça fait vraiment plaisir à voir. En plus, il y a tout le traitement temporel qui vient apporter une couche d’originalité supplémentaire, avec cette volonté de faire l’histoire en quasi temps réel. Nul doute que l’influence du The Set-up de Wise, sorti trois ans auparavant, peut être sérieusement considérée.

Il y a bien quelques petits défauts à mes yeux, comme cette chanson qui ressort un peu trop souvent à des moments où le silence aurait été préférable, mais rien de bien méchant non plus. Gary Cooper est plutôt bon dans le rôle, pas une grande performance non plus mais il convient au rôle, Grace Kelly, pour son second rôle, est comme d’habitude belle à s’en damner :love: , et puis il y a quelques surprises au casting, entre un jeune Lee Van Cleef mutique et Llyod Bridges que je ne peux décemment plus regarder sérieusement depuis les Hot Shots :eheh: . La vision de film me conforte dans l’idée qu’il faudrait que je me penche plus sur la carrière de Zinnemann, dont c’est déjà le second film que j’apprécie beaucoup. Un western que je conseillerais aisément à quiconque, même à ceux pas spécialement friand du genre.


7,5/10
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Couleur Pourpre (La) - 6/10

Messagepar Alegas » Mar 01 Sep 2020, 13:32

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The Color Purple (La Couleur Pourpre) de Steven Spielberg
(1985)


Je vais revoir ma copie sur ce film que je revois à la hausse. Il y a encore peu, je le considérais comme un des plus mauvais Spielberg, moi qui l’avais découvert à une époque adolescente où je m’enchaînais ses films, mais là autant je serais le premier à dire que c’est un film mineur dans la carrière de son réal, autant tout l’aspect grand mélodrame purement américain m’a bien plus parlé qu’à la première vision. Spielberg se lançait avec ce film dans un pari assez osé : à ce stade de sa carrière, nul doute qu’il recherchait une certaine crédibilité auprès d’un cinéma plus sérieux et moins penché vers le divertissement, mais là où le bonhomme aurait pu choisir un projet facile pour y arriver, il décide plutôt de faire un métrage entièrement centré sur la communauté noire, au point d’éclipser quasiment tout visage blanc de son film.

Un pari financier et critique pas gagné d’avance donc (la preuve étant que certaines personnes de la communauté noire en ont voulu à Spielberg de faire un tel film, jugeant sûrement qu’il aurait été plus légitime entre les mains d’un noir) et qui donne un film certes inégal, assez lourd dans son propos et surtout beaucoup trop long, mais qui a tout de même quelques moments de grâce et surtout qui annoncent plusieurs aspects futurs de l’oeuvre spielbergienne. Pas de surprise : il faut apprécier un minimum le mélodrame pour accrocher à ce film qui paraîtra sûrement bien mièvre et prévisible aux plus cyniques, mais le fait est que le métrage transpire d’une véritable sincérité de la part de Spielberg, qui se donne à fond pour à la fois livrer un film impeccable sur le plan formel tout en se limitant dans les effets de style afin que sa mise en scène doit au service du récit, et non le contraire. Du coup, tout le talent de Spielberg et de son équipe technique va surtout se ressentir sur des petits aspects formels, comme les jeux d’ombres, la photo entièrement pensée pour éclairer des personnes de couleur, ou le montage où on trouve un paquet de raccords hyper ingénieux, qui prouvent bien que Spielberg se sort les doigts même lorsqu’il réalise un film a priori hyper conventionnel.

Côté script, le film est à mon sens moins intéressant de par son manichéisme assez forcé, et l’émotion a du mal à marcher me concernant. Étrangement, la partie que j’ai trouvé la plus captivante est la storyline d’un personnage joué par Oprah Winfrey (que je déteste d’habitude) et qui annonce à bien des égards la froideur et la cruauté de certaines scènes de Schindler’s List. Sinon côté casting, Whoopi Goldberg vole le film, et ça reste clairement la meilleure prestation de sa carrière. Un petit Spielberg inégal, mais qui a tout de même plein de choses intéressantes à proposer.


6/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar Alegas » Mar 01 Sep 2020, 13:42

BILAN AOÛT 2020


Films vus :

249 : Rain Man, Barry Levinson, 1988, Blu-Ray VOST : 8/10
250 : Combien tu m'aimes ?, Bertrand Blier, 2005, Truc VF : 5,5/10
251 : Kuroi ame, Shōhei Imamura, 1989, Ciné VOST : 5/10
252 : Light of my life, Casey Affleck, 2019, Ciné VOST : 6/10
253 : Take Shelter, Jeff Nichols, 2011, Ciné VOST : 8,5/10
254 : Felicità, Bruno Merle, 2020, Ciné VF : 7,5/10
255 : Le bruit des glaçons, Bertrand Blier, 2010, TV VF : 5/10
256 : Greenland, Ric Roman Waugh, 2020, Ciné VOST : 5,5/10
257 : The Chronicles of Riddick, David Twohy, 2004, TV VOST : 4/10
258 : Mad Max : Fury Road, George Miller, 2015, Ciné VOST : 10/10
259 : Greyhound, Aaron Schneider, 2020, Truc VOST : 7/10
260 : Children of Men, Alfonso Cuarón, 2006, Ciné VOST : 10/10
261 : Hotel Rwanda, Terry George, 2004, Truc VOST : 5,5/10
262 : Bugsy Malone, Alan Parker, 1976, Truc VOST : 6/10
263 : Lascars, Emmanuel Klotz & Albert Pereira-Lazaro, 2009, Truc VF : 7/10
264 : Kakushi toride no san akunin, Akira Kurosawa, 1958, TV VOST : 5/10
265 : Die Mörder sind unter uns, Wolfgang Staudte, 1946, TV VOST : 6/10
266 : Les jeunes loups, Marcel Carné, 1968, Truc VF : 2/10
267 : Les assassins de l'ordre, Marcel Carné, 1971, Truc VF : 6,5/10
268 : Shallow Hal, Bobby & Peter Farrelly, 2001, Truc VOSTA : 7/10
269 : Love & Mercy, Bill Pohlad, 2014, Truc VOSTA : 7,5/10
270 : Threads, Mick Jackson, 1984, Truc VOSTA : 8,5/10
271 : Métisse, Mathieu Kassovitz, 1993, Truc VF : 5,5/10
272 : Snowpiercer, Bong Joon-ho, 2013, Blu-Ray VOST : 8/10
273 : Convoi exceptionnel, Bertrand Blier, 2019, Truc VF : 5,5/10
274 : Tenet, Christopher Nolan, 2020, Ciné VOST : 6/10
275 : The last of the Mohicans, Michael Mann, 1992, Blu-Ray VOST : 7,5/10
276 : Moulin Rouge !, Baz Luhrmann, 2001, Blu-Ray VOST : 10/10
277 : Indiana Jones and the last crusade, Steven Spielberg, 1989, Blu-Ray VOST : 7,5/10
278 : The spy in black, Michael Powell, 1939, Blu-Ray VOST : 5,5/10
279 : The invisible man, James Whale, 1933, Ciné VOST : 5,5/10


Découverte du mois :

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Autres découvertes marquantes :

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar Alegas » Jeu 01 Oct 2020, 10:09

BILAN SEPTEMBRE 2020


Films vus :

280 : Irréversible - Inversion intégrale, Gaspar Noé, 2020, Ciné VF : 8/10
281 : A time to love and a time to die, Douglas Sirk, 1958, Ciné VOST : 7,5/10
282 : The Elephant Man, David Lynch, 1980, Ciné VOST : 8/10
283 : Twin Peaks : Fire walk with me, David Lynch, 1992, Ciné VOST : 7,5/10
284 : La merveilleuse visite, Marcel Carné, 1974, Truc VF : 4/10
285 : M - Eine Stadt sucht einen Mörder, Fritz Lang, 1931, Truc VOSTA : 8/10
286 : The dressmaker, Jocelyn Moorhouse, 2015, TV VOST : 6/10
287 : Deliverance, John Boorman, 1972, Blu-Ray VOST : 9,5/10
288 : Bao, Domee Shi, 2018, Blu-Ray VOST : 8/10
289 : Incredibles 2, Brad Bird, 2018, Blu-Ray VOST : 7/10
290 : Auntie Edna, Ted Mathot, 2018, Blu-Ray VOST : 6/10
291 : Magnolia, Paul Thomas Anderson, 1999, Blu-Ray VOST : 10/10
292 : A personal journey with Martin Scorsese through american movies, Martin Scorsese & Michael Henry Wilson, 1995, DVD VOST : 7,5/10
293 : Black Mass, Scott Cooper, 2015, TV VOST : 4/10
294 : The remains of the day, James Ivory, 1993, TV VOST : 8/10
295 : Le Tempestaire, Jean Epstein, 1947, TV VF : 6,5/10
296 : The rain people, Francis Ford Coppola, 1969, Ciné VOST : 7/10
297 : Point Blank, John Boorman, 1967, Ciné VOST : 5,5/10
298 : Ataque de Pánico!, Fede Alvarez, 2009, Truc VO : 4/10
299 : Steamboat Willie, Walt Disney & Ub Iwerks, 1928, TV VOST : 6,5/10
300 : Peter Pan, P.J. Hogan, 2003, TV VOST : 6/10
301 : The Natural, Barry Levinson, 1984, TV VOST : 7/10
302 : Lux Æterna, Gaspar Noé, 2020, Ciné VOST : 6,5/10
303 : The President's barber, Lim Chan-sang, 2004, TV VOST : 6/10


Découverte du mois :

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Autres découvertes marquantes :

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2020

Messagepar pabelbaba » Jeu 01 Oct 2020, 10:10

5,5 à Point Blank?
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