Ça se passe comment au boulot de ton côté ? La demande s'est tassée ou c'est toujours tendu ?
Mais t'en fais pas trop sinon, dans les rues à côté de chez moi, les vendredi soirs redeviennent bruyants, j'imagine que pour certains, la menace n'est plus qu'un lointain souvenir
C'est un peu plus calme que les deux premières semaines mais ça reste chargé.
Honnêtement, je suis vraiment au bord de la dépression. Bipper des boites de conserves et du PQ pendant 7 heures d'affilées si ce n'est plus, c'est passionnant.
Je compatis, je crois que j'aurais du mal aussi à m'y faire. Espérons qu'en haut lieu, ils savent ce qu'ils font, et que tu ne vas pas avoir à subir ça encore trop longtemps.. Y a-t-il eu d'autres cas de personnes infectées par le Covid parmi tes collègues ?
Je développerais plus tard une fois que j'aurais digéré un peu mieux le show, mais à chaud voilà mon ordre de préférence pour les saisons : 3-5-1-2-4-6
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
maltese a écrit:Ah, la douche froide de la saison finale visiblement
Douche froide oui et non, y'a quand mêmes de très bonnes choses, mais ouais tout ça pour arriver sur un délire good vs evil symbolisé de façon simpliste (noir vs blanc, ouaaaaaah) à grands renforts de références religieuses, j'espérais mieux.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
Ça oui, ça marche. Mais est-ce qu'on avait vraiment besoin des références à l'Eden, yin yang, CaÏn et Abel, Vierge Marie, etc... ? Je pense qu'ils auraient pu faire sans. Le truc étant que c'est tout sauf subtil. Sérieux quand un personnage vient dire "eh mais le père de Jack il s'appelle Christian Shepard....... CHRISTIAN SHEPARD !!!!" j'étais en mode facepalm. Et je ne parle même pas du plan des bébés, l'un dans une couverture blanche, l'autre dans une couverture noire.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
Oui voilà, cette dualité blanc/noir, ça a toujours été là. Mais la série passe son temps à questionner cette dualité apparente, et à justement montrer que personne ne reste dans ces zones. On comprend bien que Jacob n'est pas tout "blanc", et que Man in Black est loin d'être le mal à l'état pur, comme on voit les destins de Jack et Locke se croiser, ou les failles montrées par Ben, par Widmore, etc...
Mark Chopper a écrit:Et ça ne te gênait pas avant ? Bizarre...
Dans les autres saisons, c'est mieux dilué. Dans la saison 6, c'est vraiment plusieurs fois par épisode.
Tout comme la symbolique des prénoms, qui n'est jamais réellement explicite pour les personnages, contrairement à l'exemple que j'ai cité.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
Les noms de John Locke, Desmond Hume, Daniel Faraday... Ils sont bien portés, très explicites. Sans parler des nombreuses symboliques littéraires (les bouquins que lit Sawyer ont souvent un écho dans les épisodes).
Pour moi, c'est du début à la fin. En fait, c'est le côté chrétien très appuyé qui semble te gêner je pense... Mais la foi contre la raison, c'est le cœur de la série (enfin, disons un de ces cœurs).