Klaus : 8.5/10
Peu de réserves, j'ai quasi tout aimé, merci Alegas d'en avoir dit du bien, ça m'a donné envie de le mater, j'ai passé un super moment.
Ça fait plaisir de voir un film d'animation qui range la niaiserie au placard. Certes, elle se fait un peu plus présente en fin de bobine quand la morale revient sur le devant de la scène, mais c'est bref et vite expédié. La poésie visuelle et narrative reprend d'emblée ses droits, dans Klaus il n'est jamais vraiment question de donner des réponses, mais plutôt de jouer avec la nature humaine et la mythologie qui entoure le père noël pour laisser exprimer une créativité qui ne essouffle aucunement jusqu'au générique de fin.
Et pourtant, je suis loin d'être un gros fana de noël, c'est même tout l'inverse.