[Alegas] Mes Critiques en 2019

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Alegas » Lun 25 Fév 2019, 14:42

Pour Dragons 3 je pense que tu te poses beaucoup trop de questions pour un récit qui se veut assez simple. :mrgreen:
Finalement le coup du monde caché que tout le monde peut trouver, c'est à peu près aussi vrai que l'île des dragons dans le premier film, dont les environs sont juste enveloppés d'une brume. A partir de là, je rappelle que Hiccup accède au monde caché en y volant, et il n'y a l'air d'y avoir aucun moyen d'y accéder par bateau, donc aucune possibilité pour les vikings du film d'y entrer, ou alors justement en faisant ami-ami avec les dragons.
Perso j'ai vraiment compris le final comme le fait qu'effectivement les dragons n'en sortiraient plus tant que les hommes ne seraient pas près, c'est toute la base du discours d'adieu prononcé par le héros lorsqu'ils se quittent.

(et non, j'ai raison pour le Leone :mrgreen: )
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50077
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Lame de fond (1996) - 6/10

Messagepar Alegas » Lun 25 Fév 2019, 21:42

Image


White Squall (Lame de fond) de Ridley Scott
(1996)


Agréable surprise : c’était un film que j’avais découvert dans des conditions pas géniales au lycée, et j’avais copieusement détesté, et là je revois clairement le film à la hausse. Alors entendons-nous bien : c’est l’évidence même que White Squall fait partie des films les plus mineurs de la filmographie de Ridley Scott, mais au contraire d’un Someone to watch over me ou d’un Legend par exemple ça fait le job sans qu’on trouve à s’ennuyer, et ce malgré le fait que ce soit réalisé en mode automatique. Après Conquest of Paradise, Scott retourne sur un projet qui va nécessiter de tourner sur un bateau, et s’intéresse au naufrage d’un navire dans les années 60 qui fut coulé un grain blanc (white squall en anglais), tempête particulièrement violente et impossible à anticiper. Ce qui surprend pour le coup, c’est vraiment de voir vers quoi se dirige Scott avec un tel postulat de base, et là où beaucoup auraient sûrement attendu un film d’aventure (moi le premier lorsque je l’ai découvert), Scott préfère filmer un coming of age maritime, avec comme héros plusieurs jeunes d’horizons différents qui cherchent, avec la moitié d’un tour du monde, à devenir des hommes. Encore une fois, ça casse pas des briques, mais il faut avouer que le récit se tient plutôt bien. Chaque personne a son évolution, les têtes à claques du début deviennent au fur et à mesure des personnages qui prennent de l’épaisseur, et même du côté de Jeff Bridges et de l’équipage il y a une volonté de proposer autre chose que des clichés ambulants.

Au final, côté écriture, le seul personnage qui m’a gêné est celui de Ryan Philippe avec son trauma qui est amené n’importe comment (et vas-y que je te montre une photo de mon frère sans aucune raison valable), mais là aussi ça s’améliore sur la durée. Après, c’est clairement pas un film que je conseillerais aux cyniques : entre l’ambiance limite gay-friendly par moment et le final qui en fait des tonnes, je peux comprendre que ça puisse ne pas passer auprès de certaines personnes. Pour le reste, on dirait souvent une sorte de Dead Poets Society sur l’eau, avec Jeff Bridges qui incarnerait un Robin Williams aux méthodes plus brutales. Formellement, comme dit plus haut, c’est du Scott en mode automatique. Ça n’empêche pas le film d’avoir des beaux plans et un passage assez intense (la tempête) mais au final la forme s’efface énormément derrière son sujet. Côté casting, la troupe de jeunes et John Savage font le job, mais c’est véritablement Jeff Bridges qui vole le film avec une sacrée présence à l’écran. Clairement pas un grand Scott, mais ça reste quand même un coming of age recommandable.


6/10
Critiques similaires
Film: Lame de fond (1996)
Note: 5/10
Auteur: Scalp

"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50077
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Jed_Trigado » Lun 25 Fév 2019, 21:49

Le seul Ridley Scott 90's que je sauve pour ma part, pas nul, mais pas mémorable non plus.
"Je mets les pieds où je veux Littlejohn et c'est souvent dans la gueule." Chuck Norris

Image
Avatar de l’utilisateur
Jed_Trigado
Godzilla
Godzilla
 
Messages: 14453
Inscription: Sam 18 Oct 2014, 22:41
Localisation: On the fury road...

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Alegas » Lun 25 Fév 2019, 21:53

C'est vrai que de mémoire, toi et Thelma & Louise, c'est pas le grand amour. :mrgreen:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50077
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Bateau (Le) - 8/10

Messagepar Alegas » Mer 27 Fév 2019, 16:01

Image


Das Boot (Le Bateau) de Wolfgang Petersen
(1981)


J’avais longtemps repoussé la vision à cause de la durée, mais le fait est que Das Boot ne fait pas mentir sa réputation. On pourra toujours avoir une préférence pour un autre film de sous-marin, mais le métrage de Petersen est, et restera encore sûrement longtemps, LE classique incontestable de ce sous-genre. Dès le départ, on se doute qu’on va être devant un super film, ne serait-ce que par le point de vue adopté. Car bon, des films de guerre abordant le point de vue anglais, américain ou français, c’est chose courante, mais se retrouver plus de trois heures avec comme seule compagnie un équipage nazi c’est déjà nettement plus rare. D’autant que le récit ne cède pas aux clichés habituels, et à part deux-trois officiers rencontrés en cours de route, on est loin d’être face à des nazis tel qu’on aime bien les dépeindre habituellement. Ici donc, ce sont bien des soldats allemands, mais ce sont surtout des hommes fatigués par la guerre, agissant plus pour leur pays que pour une idéologie quelconque, et d’ailleurs la plupart, le commandant le premier, observent généralement un silence poli dès qu’il s’agit d’évoquer Hitler. Les motivations des personnages sont simples : réussir la mission (couler un maximum de convois anglais) et rentrer sain et sauf, et c’est vraiment ce qui fait la réussite du récit, puisqu’il est dénué de toute notion d’héroïsme qui pourrait rendre le spectacle factice.

A côté de ça, c’est la psychologie à l’intérieur du sous-marin qui est à saluer : j’ai beau avoir vu une quantité non négligeable de films sur le sujet, je n’ai jamais vu un seul qui abordait à ce point la difficulté de vivre à plusieurs dans un étroit habitacle de métal, avec la mort qui pourrait intervenir à n’importe quel moment. Pétages de plombs de certains protagonistes, rangements des vivres et des torpilles, l’ennui qui s’installe lorsqu’il ne se passe rien plusieurs jours d’affilée, la peur silencieuse lorsque les bombes arrivent, autant de détails qui font de Das Boot le meilleur film sur le sujet : on a réellement l’impression d’y être. A ce titre, le film doit aussi beaucoup à son ambiance claustrophobique à souhait, et pour le coup gros travail de mise en scène (les travellings en caméra portée qui vont d’un bout du sous-marin à l’autre :shock: :love: ) et sur le son (clairement le genre de film à voir dans de bonnes conditions de visionnage), au point qu’on se demande comment Petersen a pu flinguer sa carrière comme il a pu le faire ensuite.

A ma grande surprise, la durée de 3H30 passe toute seule. Alors oui, il faut être motivé, mais le fait est que le film gère à merveille son rythme, et je ne peux que conseiller de le voir d’une seule traite, sinon il y a vraiment le risque de perdre l’ambiance en cours de route. J’ai aussi été surpris par la qualité visuelle du film : hormis quelques plans où on sent un écran derrière les acteurs ou des maquettes, jamais on a l’impression de voir un film de 38 ans. Enfin, gros boulot d’interprétation de la totalité du casting (quasiment que des inconnus), c’est pas comme si on connaissait chaque membre de l’équipage mais presque, et ça rend le final d’autant plus déchirant (on le voit venir pourtant, mais pas de cette façon). Un classique que je conseille grandement, ceux qui auront le courage de braver la durée auront la chance de voir le meilleur représentant de son genre, et ça, ce n’est pas rien.


8/10
Critiques similaires
Film: Bateau (Le)
Note: 7/10
Auteur: Jipi
Film: Bateau (Le)
Note: 10/10
Auteur: jean-michel

"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50077
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar lvri » Mer 27 Fév 2019, 16:28

J'y repense pas mal à ce film depuis sa découverte il y a quelques semaines. J'avais un doute sur son rythme, mais en relisant ta critique, je revis un peu mon visionnage (je confirme sur la partie son, le montage est efficace !) et mes légers doutes se dissipent. La tension est super bien gérée (l'écoute des allers et venues de navires américains notamment). Un excellent film :super:
"No fate but what we make"
Avatar de l’utilisateur
lvri
Spiderman
Spiderman
 
Messages: 12457
Inscription: Dim 03 Oct 2010, 09:39

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Mark Chopper » Mer 27 Fév 2019, 16:39

Meilleur film du genre (et pourtant je suis un gros vendu avec ce genre-là).
Avatar de l’utilisateur
Mark Chopper
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 44153
Inscription: Dim 12 Fév 2012, 13:14

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar lvri » Mer 27 Fév 2019, 17:49

Les Annees Laser avait fait il y a quelques mois un dossier sur les films de Sous-marins. Das Boot y était d'ailleurs considéré comme chef-d'œuvre incontesté. La liste contenait entre autre USS Alabama, U-571 (visiblement sous-estimé), A la poursuite d'Octobre rouge, K19-le piège des profondeurs, Torpilles sous l'Atlantique... Bref, 16 films plus ou moins spectaculaire, sérieux, voire drôle.
"No fate but what we make"
Avatar de l’utilisateur
lvri
Spiderman
Spiderman
 
Messages: 12457
Inscription: Dim 03 Oct 2010, 09:39

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Alegas » Mer 27 Fév 2019, 18:15

U-571 j'avais adoré à la découverte mais j'ai déchanté lorsque je l'ai revu.
Et là, après avoir vu Das Boot, j'ai réellement le sentiment que tout ce qu'il y a de bien dans le film de Mostow a été piqué à celui de Petersen (notamment l'intention de mettre en avant l'immersion sonore).

Dans les récents, il y a Black Sea que je trouve bien cool.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50077
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Mr Jack » Mer 27 Fév 2019, 19:35

Mark Chopper a écrit:Meilleur film du genre (et pourtant je suis un gros vendu avec ce genre-là).


T'as vu Le Chant du Loup ?
Image
You have to believe.
Avatar de l’utilisateur
Mr Jack
Spiderman
Spiderman
 
Messages: 10780
Inscription: Mar 20 Sep 2011, 22:43
Localisation: in my mind...

Parfum d'Yvonne (Le) - 3/10

Messagepar Alegas » Jeu 28 Fév 2019, 15:53

Image


Le Parfum d'Yvonne de Patrice Leconte
(1994)


Un film qui fait souvent penser au Mari de la coiffeuse auquel il emprunte son érotisme ambiant, mais la comparaison va vite s’arrêter là car pour le reste c’est quand même un même un bien mauvais Leconte. Je ne vais même pas essayer de raconter l’histoire vu que je ne suis même pas certain d’avoir compris : on assiste à la rencontre entre un jeune homme et une jeune femme qui vont être attiré l’un par l’autre et qui vont vivre une histoire d’amour, on va avoir Jean-Pierre Marielle qui va faire le zigoto sur quelques scènes (à moins d’avoir zappé un truc, j’ai même pas l’impression qu’il serve réellement à l’histoire), et puis...c’est tout. C’est affolant de se rendre compte à quel point le film ne raconte rien, et je ne sais pas si c’est fait exprès mais c’est complètement décousu dans la narration, avec plein d'ellipses et d'aspects inexpliqués, au point qu’on a l’impression de voir une succession de scènes qui n’avancent à rien. Peut-être que le bouquin adapté est comme ça, je n’en sais rien, mais drôle d’idée que de vouloir montrer ça à des spectateurs. Finalement, la seule chose qui m’a éveillé sont les quelques sursauts érotiques qui parsèment le métrage, à l’image d’une femme en porte-jarretelle dansant devant Marielle, ou encore la vision de l’héroïne sur le pont d’un bateau, sa robe légère se soulevant avec le vent, mais pour le reste on a un peu l’impression d’être devant un programme érotique RTL9 qui n’arriverait même pas à livrer le minimum syndical. Et puis autant Marielle et Bohringer sont bons, autant le couple principal est une horreur à voir jouer, avec une diction qui rappelle le pire de la Nouvelle Vague et une alchimie qui ne fonctionne jamais. A éviter donc.


3/10
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50077
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Mark Chopper » Jeu 28 Fév 2019, 16:07

C’est affolant de se rendre compte à quel point le film ne raconte rien, et je ne sais pas si c’est fait exprès mais c’est complètement décousu dans la narration, avec plein d'ellipses et d'aspects inexpliqués


Je reconnais bien là l'univers de Modiano.

(Mais le look de Marielle sur l'affiche est mortel :eheh: )
Avatar de l’utilisateur
Mark Chopper
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 44153
Inscription: Dim 12 Fév 2012, 13:14

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Alegas » Jeu 28 Fév 2019, 21:36

Tu me rassures, je me sentais vraiment con pendant le visionnage à rien comprendre. :eheh:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50077
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Vacances de monsieur Hulot (Les) - 5/10

Messagepar Alegas » Ven 01 Mar 2019, 21:13

Image


Les vacances de monsieur Hulot de Jacques Tati
(1953)


Première incursion dans la filmographie de Jacques Tati, qui débouche sur du 50/50. Je savais globalement à quoi m’attendre : ayant eu par le passé un professeur fan de Tati qui nous faisait analyser des extraits de Playtime et Mon Oncle, je n’ai pas été surpris par cet hommage constant au cinéma muet, qui est pour moi l’un des gros points forts du film. A l’heure où toutes les comédies françaises se voulaient généralement assez verbeuses, avec le choix du bon mot à travers la bouche d’un acteur qui le sublimerait, Tati, lui, choisit de faire l’opposé total en choisissant une voie quasiment expérimentale. Du son, il y en a bien chez Tati, mais il est toujours utilisé au compte-goutte, et souvent pour faire marcher un gag, rarement pour faire avancer l’histoire. C’est donc déstabilisant au début d’entendre le son d’un élément du décor anecdotique en apparence, pendant que, par exemple, une automobile à côté roule dans le silence le plus complet, mais on s’y fait bien vite puisque tout l’aspect comique réside justement dans ce parti-pris. J’apprécie donc la démarche, et j’apprécie d’autant plus la qualité de certains gags (le pneu qui se dégonfle à l’enterrement, le pot de peinture qui va et vient avec la marée), mais je dois me résoudre à un fait : le film ne m’a jamais réellement fait rire, au mieux sourire.

Pourtant, vu le début avec l’un des meilleurs gags du métrage (les vacanciers qui vont d’un quai à l’autre, de peur de rater leur train :mrgreen: ), je pensais réellement que le film allait prendre la direction de la satire autour des vacanciers français de l’époque, et s’il est effectivement question de ça par moment, le récit est surtout une succession de scénettes qui ne cherchent pas une cohérence entre elles (ou alors, si c’est le cas, pour faire du comique de répétition). Quasiment pas de fil rouge entre les scènes, pas de développement sur les personnages ou le propos, tout ça donne l’impression de voir juste une succession de gags. Et malheureusement, quelle que soit la qualité de ces mêmes gags, c’est finalement assez peu, même pour un film qui n’atteint pas les 1H30. Je ressors donc assez mitigé de cette découverte, charmé par la poésie du film et l’intention formelle à contre-courant de ce qui se faisait à l’époque qui définit une nouvelle forme d’humour burlesque, mais ennuyé par la proposition de l’ensemble qui se résume à peau de chagrin.


5/10
Critiques similaires

"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50077
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2019

Messagepar Mr Jack » Ven 01 Mar 2019, 21:45

Si tu t'attends à te fendre la poire devant Tati, tu vas effectivement être déçu. :chut:

(Si tu aimes sa poésie néanmoins, Mon Oncle et Playtime devraient te plaire -par contre je te conseille Mon Oncle, en premier).
Image
You have to believe.
Avatar de l’utilisateur
Mr Jack
Spiderman
Spiderman
 
Messages: 10780
Inscription: Mar 20 Sep 2011, 22:43
Localisation: in my mind...

PrécédenteSuivante

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 2 invités



Founded by Zack_
Powered by phpBB © phpBB Group.
Designed by CoSa NoStrA DeSiGn and edited by osorojo and Tyseah
Traduction par phpBB-fr.com
phpBB SEO