Nos critiques et préférences

[lvri]

Tu n'es pas dans le bon topic Oso

[Waylander]

Du coup, le titre "The First" n'a pas vraiment de sens pour le moment. Mais je trouve intéressant qu'une série puisse mettre en avant l'humain, et qu'on ait une vision autre que les éternels "Houston, on a un problème", "Capcom, faites entrer un rond dans un carré" ... Au final, la série traite plus du "qu'est-ce que ce boulot implique et entraîne par rapport à ce qu'il rapporte.

Oui, enfin faut-il forcément être chiant pour ça ? Ca là the first c'est ultra ennuyant et inintéressant niveau personnages et backgrounds. Penn est mauvais, la même gueule de chien battu depuis 20 ans et l'ensemble est bien trop dépressif à mon sens. Surtout qu'à part Apollo 13, tous les autres films du genre proposaient de l'intimisme savamment dilué dans la grande histoire spatiale sans jamais être déprimant et chiant (Mission to mars, Interstellar, Gravity, Contact etc ...). Là c'est sous lexomill.

[lvri]

Tous les films dont tu parles traitent du voyage. Pas The First. Après, je comprends qu'on puisse trouver ça inintéressant, voire chiant. Ce n'est pas mon cas.

[padri18]

Studio 60 on the Sunset Strip
Alors que The West Wing, qu'il avait quitté à l'issue de la saison 4, se termina en Mai 2006, Aaron Soorkin revient en Septembre 2006 sur NBC avec Studio 60 on the Sunset Strip.
Fini la politique, ici, on est plongé dans les coulisses des créateurs et acteurs d'une émission humoristique à la Saturday Night Live.
Le moins qu'on puisse dire, c'est que Sorking sait écrire des personnages attachants. Dès le pilote, on accroche au duo principal qui doit reprendre les rennes de l'émission après le licenciement du producteur délégué suite à un pétage de plombs. Avec surprise, la série ne verse pas vraiment dans la comédie pure. A défaut d'assister aux sketchs de l'émission, on assiste aux coulisses, au compte à rebours permanent (représenté physiquement même) qui sépare une émission de la prochaine.
Néanmoins, si on assiste avec plaisir à toutes ces mésaventures, la saison prend une direction un peu trop mielleuse. On se concentre sur les amourettes de chacun (qui sont légions jusqu'à la fin de saison), et le jeu permanent entre Matt et sa muse Harriet en devient presque lourd. La dernière vague d'épisodes part clairement loin dans son trip avec une intrigue de prise d'otages. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la série ose clairement aller là où on ne l'attend pas.
Côté casting, Matthew Perry prouve clairement qu'il sait jouer autre chose que du Chandler et son duo avec Bradley Whitford est clairement efficace. Dommage que ce dernier n'ai pas autant de matériel que sur West Wing à jouer, mais on se conforte dans les échanges souvent marrant qu'il nous dessert.
Annulée au bout de sa seule et unique saison, la série n'est pas dénuée de défauts, et la deuxième moitié de saison est clairement la plus faible; mais on ne peut s'empêcher de regretter que la série n'est été reconduite. Avec ses personnages attachants et son écriture Sorkinienne alternant avec brio le drame et la comédie, la série en avait clairement sous le pied.

[lvri]

Petite question aux connaisseurs : j'aimerais commencer l'animé Fullmetal Alchemist, mais je ne sais pas quelle version privilégier ... La première ou Brotherhood ?
Si j'ai bien compris, le second suit le manga, là où le premier avait dû improviser car la production avait dépassé celle du manga.
Merci

[pabelbaba]

La première m'avait bien captivé mais finit en eau de boudin. Pas vu Brotherhood.

[francesco34]

J'ai commencé The first c'est un putain de somnifère. Moitié de l'épisode 4 ça me saoule déjà. Dois-je continuer? Francesco ?

désolé Way je tombe seulement aujourd'hui sur ton message! J'avais dû donner mon avis dans un autre topic.
donc effectivement de mon côté ça m'a pas passionné non plus, j'ai tenu jusqu'au bout mais tout juste.

[lvri]

La première m'avait bien captivé mais finit en eau de boudin. Pas vu Brotherhood.

C'est ce que j'avais cru comprendre sur la fin... Je pense que je vais tenter Brotherhood, rt peut-être découvrir la première plus tard.

[Dionycos]

J'ai regardé les 2 premiers épisodes d'Ad Vitam, nouvelle série d'ARTE. Eh ben c'est pas fameux...
Je partais pourtant confiant : le pitch ultra accrocheur, Thomas Cailley derrière le truc (j'aime beaucoup Les Combattants)... Mais au final, rien ou presque ne fonctionne.

Le monde futuriste dépeint n'est pas crédible à l'image. J'ai rien contre la SF au look contemporain, mais là c'est censé se passer quand même assez loin dans le futur (on fête les 160 ans de la doyenne de la Terre, qui a l'air d'en avoir 30. On se situe donc logiquement au minimum au 22ème siècle), et tout ressemble au monde actuel, hormis une ou deux babioles numériques en plus. Mouais. Sans verser dans du Blade Runner ou 5ème Elément, il y avait clairement plus de boulot à fournir (notamment du côté de la surpopulation décrite, mais jamais visible à l'image...)
Et puis paie tes clichés, ils se sont pas foulés pour trouver des idées. Sérieux, les pro-mort qui dansent sur une espèce de synthwave underground autour d'un cadavre surmonté d'une croix en néon... Sans oublier les symboliques en carton (l'héroïne, tiraillée entre la mortalité et la vie éternelle, s'appelle Christa. On en est là...)

Ensuite, la série fait un postulat complètement idiot sur le concept de mort qui n'est plus assimilé. Ok, on a accès à la vie éternelle via la régénération des cellules. Mais ça prévient uniquement des morts naturelles et maladives. On n'est pas pour autant à l'abri d'accidents, d'homicide etc. Or, la série nous montre des humains qui ne comprennent même plus le concept de mort. Pas tous hein, mais on en voit quand même, et c'est totalement stupide (la mère qui ne capte pas quand on lui apprend le suicide de son fils, du style "mort ? c'est quoi ça ? ")

Garance Marillier, qui s'en sortait très bien dans Grave, se contente ici de faire la moue avec nonchalance. Le genre de jeu mono-expressif typique de la caricature du film d'auteur français, que toute la presse en pleine hallu collective vient saluer. Toujours dans le genre talent gâché, Rod Paradot, catastrophique, gênant au possible tellement rien ne va dans sa diction. Et ce n'est pas le seul problème d'acting de la série. Hormis Yvan Attal, c'est pas foufou.

En bref, pas sûr de parvenir à regarder 4 épisodes de plus.

[ril]

Je préfère rester sur Altered Carbon

[padri18]

How to get away from murder - Saison 1
Oh la vache que c'était pas bon; On m'en avait pourtant dit beaucoup de bien, ben là je comprend pas. A croire (ou espérer) que c'est voulu tellement c'est mauvais.
L'enquête principale fil rouge de la saison traîne bien comme il faut, les persos sont clichés comme pas possible (ah elle est belle la diversité), agissent trop souvent comme des idiots (paye le coup d'avoir une photo de contact de ton amant presque à poil quand le mec t’appelle histoire que tout le monde le voit), et ça enchaîne les twists à la con en mode shocking. Sans parler bien sûr des conversations "secrètes" toujours grillées par des tiers dans une pièce voisine avec regard bien profond et mystérieux. Sinon, pour une équipe d'avocats, y'en a pas un seul honnête, tout le monde ment et trafique à droite à gauche pour obtenir ce qu'il veut et gagner des procès. Ah et bien sûr, bonus cul, ça couche 2 à 3 fois par épisodes.
Niveau cast y'a quasiment tout à jeter. Viola Davis alterne le bon avec le ridicule avec une aisance redoutable (c'est le perso qui veut ça mais quand même quel gâchis).
A priori la seconde saison s'améliore grandement. Je garde espoir. Ou alors c'est du masochisme parce que c'est tellement mauvais que s'en est marrant

[Val]

Certains ont déjà tenté la série Batman des années 60 ? C'est vraiment nul ou ça se regarde au second degré ? Le coffret BR est trouvable a Noz paraît-il...

[Mark Chopper]

Ça suffit, Val...

[lvri]

Tu es vraiment sérieux Val ?

[Val]

A ma grande surprise, il y a une grosse base de fan donc bon...