DRAGGED ACROSS CONCRETE de S. Craig Zahler

[Alegas]

Titre: Dragged across concrete
Réalisation: S. Craig Zahler
Distribution: Mel Gibson, Vince Vaughn, Jennifer Carpenter, Don Johnson, Michael Jai White, Udo Kier, ...
Genre: Polar
Origine: Canada

Sortie: 2018

Synopsis: Les méthodes de deux policiers sont dénoncées et les deux hommes se retrouvent suspendus. Sans argent et sans autre solution, ils rejoignent le monde des gangsters, mais réalisent que ce qui les y attendait dépasse largement ce qu’ils pensaient y trouver.

Troisième film de Zahler, après Bone Tomahawk et Brawl in cell block 99.

[Mr Jack]

Ca va péter des tronches sur du bitume crade

[padri18]

[Alegas]

La grosse attente pour celui là.

[Alegas]

[Jimmy Two Times]

Une sortie cinéma cette fois?

[Alegas]

On a toujours pas de date de sortie US donc difficile de prévoir.
Ceci dit, avec Gibson en lead ça peut peut-être donner plus envie à un distributeur de tenter le ciné chez nous.

[Tony Danza]

Yo!

Il y a belle lurette que c'est chez Metropolitan pour une sortie ciné.
mais pas encore daté.

[Alegas]

Merci pour la bonne nouvelle.

[Val]

Welcome back Tony !

[Alegas]

Le film dure 2H40.

[Mark Chopper]

Comme tous les films contemporains à peu près

[logan]

Pas étonanant le mec fait 2h15 sur ses deux premiers films avec un script digne d'un post-it.

[Alegas]

Les premières reviews sont tombées, elles s'accordent sur le fait que la durée du film est un poil abusée, que ça met du temps à démarrer, mais dès que le récit est bien lancé ça se tient bien, le duo pète des culs, et visuellement c'est le film le plus abouti de Zahler.
On trouve aussi quelques critiques qui se plaignent du fait qu'il y ait trop de violences et de répliques racistes.

Like Brawl in Cell Block 99 and Bone Tomahawk before it, Dragged Across Concrete starts off deliberately slow. The great stage chemistry between Gibson and Vaughn notwithstanding (an endless source of gags between the two, with Vaughn’s leitmotif exclamation anchovies a standout), the preliminaries do feel long, and one wonders whether why Greg D’Auria should have allowed the film’s whooping 159 minutes to sprawl so far beyond the two-hour mark. That proviso aside, by the time the action kicks in with a run after the thugs and the heist’s treasure Dragged Across Concrete hits a nail-biting pace, culminating in a tour de force of car chases and gun fights, its visual impact amplified by director of photography Benji Bakshi’s ability to work with a dark palette.

[Scalp]

C'est quoi le problème avec les répliques racistes ? ça commence à être fatiguant tout ces manges merdes, bientot on se retrouvera avec des héros vegan non binaire qui boivent du pulco et sauvent des poules