[lvri] Mes blabla en 2018

[lvri]

Je ne connais pas le bouquin. J'imagine que les personnages sont plus développés ?

[Dunandan]

Oui et pas seulement. Si t'as lu le bouquin, là t'en as «juste» un résumé. Pour moi, une adaptation sans prise de risque.

[lvri]

Découverte de La Maison du Docteur Edwardes hier. Après un excellent Rebecca, ce deuxième film du coffret Selznick est décevant.... J'essaierai d'écrire un petit blabla dessus. Dans tous les cas, je risque de modifier certaines notes des précédentes critiques...

[Alegas]

SPELLBOUND

LA MAISON DU DR EDWARDES

"Women make the best psychoanalysts until they fall in love. After that they make the best patients"

La Maison du Dr Edwardes partait sur de bons rails. Une thématique intéressante autour de la psychologie, des acteurs très bons ….. Mais hélas, ce ne sera pas suffisant. Le film s’avère trop long et ennuyeux

Lorsqu’un sujet comme la psychologie est abordé, on s’attend à avoir quelque chose de bien foutu, un sujet compliqué dans le bon sens du terme, avec des phases de réflexions. Tout n’est pas à jeter, et je ne me permettrai pas de dire que c’est mal traité, mais certains dialogues étonnent. Lorsque la psychologue détermine en deux secondes qu’un type est médecin parce qu’il donne trois organes situés à droite de son torse, on tombe dans de la psychologie facile (pour pas dire de comptoir), voire un jeu de devinettes accessibles à tous. Du coup, on a du mal à prendre au sérieux ces différents personnages censés être d’éminents psychologues. Dommage, car l’utilisation de l’interprétation des rêves étaient très intéressantes.

Heureusement, Hitchcock nous rappelle à son bon souvenir de temps à autres. Sa mise en scène est toujours efficace, et il nous offre de nouveau de très grands moments, comme le rêve du patient, la scène du rasoir et du verre de lait, ou encore le final (sans surprise mais efficace)

La Maison du Dr Edwardes avait toutes les cartes en main pour être une réussite, mais hélas, c’est une déception. Heureusement qu’Hitchcock nous offre quelques scènes bien pensées, sinon, l’ennui serait total.

3/10

[Olrik]

et il nous offre de nouveau de très grands moments, comme les souvenirs du patient, la scène du rasoir et du verre de lait, ou encore le final (sans surprise mais efficace)

Euh... peut-être aussi la scène du rêve réalisée en collaboration avec Salvador Dali.
Le film se mange deux 3/10 comme le dernier des nanars avec Steven Seagal, comment dire...

[angel.heart]

Bah il est quand-même bien chiant, ce film.

Contrairement aux nanars de Steven.

[Olrik]

Bah il est quand-même bien chiant, ce film.

Tu m'as convaincu !
Mais pour les nanars de Seagal...

C'est bin chiant.

[lvri]

Euh... peut-être aussi la scène du rêve réalisée en collaboration avec Salvador Dali.

Quand je parle de souvenirs, c'est au rêve que je pense. J'ai utilisé le mot souvenir à tort simplement parce qu'il raconte ce rêve. Je vais corriger ma critique. Dans tous les cas, c'est un des meilleurs moment du film sans aucun doute.

[Val]

Il mérite mieux que ce que ça réputation laisse croire.

[Olrik]

@ Ivri :
Sais-tu que visionner la séquence du rêve en coupant le son et en superposant Interstellar Overdrive de Pink Floyd, ça fonctionne tellement bien que c'en est troublant ?

Nan, inutile de te ruer sur ton DVD pour vérifier, je déconne !

Il mérite mieux que ce que ça réputation laisse croire.

Jamais entendu parler d'une mauvaise réputation pour ce film. Faudrait que je remette le nez dans le Hitchcock/Truffaut pour voir si la réception du film est évoquée.

[Mark Chopper]

Bah il est quand-même bien chiant, ce film.

Tu m'as convaincu !
Mais pour les nanars de Seagal...

C'est bin chiant.

Je vais demander à l'ami Paroissien de bloquer toutes tes demandes de ST tant que tu n'auras pas vu Un aller pour l'enfer.

[Jed_Trigado]

Saumon Agile qui se prend pour Marie Pierre Casey, c'est quelque chose.

[Olrik]

Je vais demander à l'ami Paroissien de bloquer toutes tes demandes de ST tant que tu n'auras pas vu Un aller pour l'enfer.

Réfléchis bien tout de même. Je lui ai soumis l'idée de traduire un film dans lequel Kokone Sasaki joue une AV idol (et il a accepté !). Ne me dis pas que tu peux faire sans.

Ne ?

Mais j'avoue que j'ai du mal avec Seagal. Je note ton titre mais les quelques films avec lui que j'ai vus m'ont tellement traumatisés tant c'était mauvais que ça risque d'être chaud pour apprécier.

[Mark Chopper]

Ne me dis pas que tu peux faire sans.

J'ai vu ta demande au moment où j'allais faire la mienne

[Olrik]

Quand j'ai vu que le film était dispo avec les s-t chinois, j'ai foncé à la vitesse de la lumière sur son site.