Sans transition,
La Dolce Vita / Fellini / 9/10
Pfiouuuu, sacré morceau, que j'aime autant que 8 1/2 je crois. Juste la dernière "soirée" que je trouve un peu moins réussie, mais sinon, j'adhère à tout ce que propose Fellini, de sa mise en scène de maître à sa manière de filmer les femmes en passant par sa facilité à émouvoir: le personnage de Steiner, et toute sa trame, est un exemple fort d'efficacité narrative. On le voit peu, mais sa construction en deux temps est d'une puissance rare. Tout est la conséquence de l'introduction troublante de l'homme, destinée à provoquer le coup de foudre avec un esprit mesuré au verbe sage. Les retrouvailles peuvent alors assécher les coeurs.
Grosse découverte, les 3H filent à toute allure <3