[Alegas] Mes Critiques en 2017

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Alegas » Jeu 30 Nov 2017, 20:08

Malheureusement. :|

J'étais pas spécialement tenté par Albino Alligator à la base, mais si tu dis que t'as aimé je lui donnerais peut-être sa chance un de ces jours.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Jed_Trigado » Jeu 30 Nov 2017, 20:29

Albino Alligator était bien meilleur que ce biopic a un peu fadasse a mon goût je trouve. :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Alegas » Ven 01 Déc 2017, 14:46

BILAN NOVEMBRE 2017


Films vus :

Moyenne générale : 6,16

USA : 17
France : 5
Espagne : 1
Belgique : 1
UK : 1


220 : La Comunidad, Álex de la Iglesia, 2000, DVD VOST : 7/10
221 : Logan Lucky, Steven Soderbergh, 2017, Ciné VOST : 6,5/10
222 : The Killing of a Sacred Deer, Yórgos Lánthimos, 2017, Ciné VOST : 1/10
223 : The Lincoln Lawyer, Brad Furman, 2011, Blu-Ray VOST : 6,5/10
224 : Au revoir là-haut, Albert Dupontel, 2017, Ciné VF : 8/10
225 : You were never really here, Lynne Ramsay, 2017, Ciné VOST : 6/10
226 : Beyond the sea, Kevin Spacey, 2004, DVD VOST : 7,5/10
227 : Le fidèle, Michaël R. Roskam, 2017, Ciné VF : 4,5/10
228 : The Guns of Navarone, John Lee Thompson, 1961, DVD VOST : 5/10
229 : Thor : Ragnarok, Taika Waititi, 2017, Ciné VOST : 3/10
230 : Ghost Dog : The Way of the Samurai, Jim Jarmusch, 1999, Blu-Ray VOST : 5/10
231 : Jim & Andy : The Great Beyond - Featuring a very special, contractually obligated mention of Tony Clifton, Chris Smith, 2017, TV VOST : 7/10
232 : Au revoir là-haut, Albert Dupontel, 2017, Ciné VF : 8/10
233 : The Hill, Sidney Lumet, 1965, DVD VOST : 9/10
234 : The Foreigner, Martin Campbell, 2017, Ciné VOST : 2,5/10
235 : Chronos, Ron Fricke, 1985, Blu-Ray VO : 8/10
236 : Wonderstruck, Todd Haynes, 2017, Ciné VOST : 4,5/10
237 : Murder on the Orient Express, Sidney Lumet, 1974, Truc VOST : 5/10
238 : Star Wars : The Force Awakens, J.J. Abrams, 2015, Truc VOST : 6,5/10
239 : L'Exercice de l’État, Piere Schoeller, 2011, Truc VF : 6/10
240 : Sherlock Jr., Buster Keaton & John G. Blystone, 1924, Truc VO : 7/10
241 : Carbone, Olivier Marchal, 2017, Ciné VF : 7/10
242 : Le Salaire de la peur, Henri-Georges Clouzot, 1953, Ciné VF : 7,5/10
243 : Sorcerer, William Friedkin, 1977, Ciné VOST : 8/10
244 : The Incredibles, Brad Bird, 2004, Truc VO : 8/10


Découverte du mois :

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Autres découvertes marquantes :

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar angel.heart » Ven 01 Déc 2017, 15:32

Alegas a écrit:Découverte du mois :

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:super:

Dans mon top 5 Lumet, celui-là.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Alegas » Sam 02 Déc 2017, 11:48

Perso c'est mon Lumet préféré avec 12 hommes en colère. Je suis très étonné qu'il soit globalement peu cité quand il s'agit de parler de ses meilleurs films.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Jeff Buckley » Sam 02 Déc 2017, 11:50

Salut !
Je regardais tes critiques après avoir parcouru celle de La passion Van Gogh et j'observe que tu comptabilises Blade Runner 2049 à deux reprises (positions 204 et 214) : peut-être est-ce une coquille ou un double visionnage. Rien de très important. Merci pour tes contributions.
dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Alegas » Sam 02 Déc 2017, 11:57

C'est bien un double visionnage. :wink:
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Fidèle (Le) - 4,5/10

Messagepar Alegas » Sam 02 Déc 2017, 12:09

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Le Fidèle de Michaël R. Roskam
(2017)


“Certainement l'une des plus jolies surprises de l'année, en espérant que le film annonce la naissance combinée de deux grands talents.”
C’est ainsi que je concluais ma critique à l’époque de Bullhead, en évoquant à la fois l’acteur Matthias Schoenaerts et le réalisateur Michaël R. Roskam. Malheureusement, mes espoirs ne se sont pas concrétisés : Schoenaerts est toujours un très bon acteur mais peine dans ses choix de carrière, quand à Roskam, après une aventure américaine clairement oubliable, il signe désormais un film qui ne me donne jamais l’impression de voir le travail du réalisateur de Bullhead. Pourtant, j’y croyais, entre les deux têtes d’affiches, le sujet et l’aspect formel bien travaillé, mais pour le coup ce film c’est un peu la preuve qu’avec un script tout naze de base, c’est bien difficile de rattraper avec le reste. Le Fidèle est clairement un film divisé en deux grosses parties, la première fonctionnant pas trop mal avec la naissance d’une relation amoureuse qui va devoir évoluer avec la double vie du personnage de Schoenaerts. A défaut d’être réellement captivante et irréprochable en terme d’écriture (tout le monde dans la famille d’Adèle a l’air de se douter du fait que le mec soit braqueur, sans réellement dire quoi que ce soit), cette moitié a le mérite d’avoir des personnages qui se tiennent plutôt bien, et des séquences un minimum bien pensées formellement (le plan-séquence du braquage, rien de dingue mais ça marche).

Malheureusement, ça se gâte par la suite. Impossible de comprendre ce qui a pu passer par la tête de Roskam quand il a écrit le script, on se doute qu’il a voulu orienter son film vers la pure tragédie, mais en faisant ça il laisse sa subtilité sur le bas-côté et livre donc une descente aux enfers tout ce qu’il y a de plus ridicule et mal écrit. C’est bien simple : dès que quelque chose peut mal tourner ça y va à fond les ballons, et on passe donc par tout plein de conneries qui vont emmener le personnage de Schoenaerts en prison, une fausse-couche suivi d’un cancer pour Adèle, et cerise sur le gâteau un passage final où Schoenaerts en est réduit à évoluer parmi les chiens, animaux dont il a peur depuis le début du film. Que de subtilité, j’avais prévenu :eheh: . Pour le coup, cette dernière partie de film décrédibilise totalement le reste du métrage qui cherche à faire quelque chose de très premier degré, et les moments facepalmesques s’enchaînent jusqu’à ce que l’on ait plus rien à faire de ce qui arrive aux personnages. Même le duo d’acteurs finit par en faire les frais, car si les deux s’avèrent respectivement bons dans leur rôle, ils finissent par n’avoir plus rien à défendre en fin de compte. Du coup, hormi le pitch de départ, quelques scènes et une Adèle Exarchopoulos toujours aussi sublime, même en combinaison de pilote :love: , il ne reste pas grand chose à se mettre sous la dent. Reste à voir comment Roskam rebondira après cette déception.


4,5/10
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Canons de Navarone (Les) - 5/10

Messagepar Alegas » Dim 03 Déc 2017, 15:53

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The Guns of Navarone (Les Canons de Navarone) de John Lee Thompson
(1961)


Vu la réputation du film, je m'attendais à beaucoup mieux. On parle quand même d'un film très souvent cité quand il s'agit de parler des meilleurs de films de commando jamais réalisés, mais là en l’occurrence si je ne dénigrerais pas le statut de classique du film, ça n'en fera pas pour autant une grande pièce filmique. Alors déjà ce qui fait plaisir c'est de voir à quel point le film a un côté matriciel très fort, dans le sens où ça saute aux yeux qu'il a eu un fort pouvoir de fascination sur des artistes après sa sortie, et du coup impossible en le voyant de ne pas penser à Rogue One, la trilogie originale Star Wars ou encore à la saga Metal Gear Solid. Malheureusement, ça ne fait pas tout un film, et déjà le premier défaut que je vais pointer du doigt est la longueur du métrage.

Car plus qu'un film de guerre, The Guns of Navarone est surtout un film d'aventure, et le genre est connu pour nécessiter généralement un rythme efficace. Sur ce coup là, le film de Thompson se plante pas mal, et autant le début est efficace (au bout d'une demi-heure, on aboutit déjà sur des grosses scènes comme celle de la tempête puis celle de l'escalade de la falaise) autant dès qu'il s'agit de faire évoluer les personnages sur l'île avec les résistants ça prend beaucoup trop son temps pour pas grand chose. Surtout que le film dure au total presque deux heures et demie, et cette durée n'est jamais réellement justifiée, les péripéties n'étant pas nombreuses et surtout les personnages du commando n'étant pas super développés côté écriture (il n'y a bien que le personnage de David Niven qui existe humainement). Il y a quand même des bons passages à sauver comme le coup du traître découvert au dernier moment qui donne lieu à une scène d'exécution cash et froide, mais à côté de ça faut aussi se taper des trucs assez inutiles comme le long montage parallèle final qui se base sur un suspense factice puisqu'on sait très bien que la mission va réussir.

Formellement, c'est carré mais ça n'ose pas grand chose (je trouve que Thompson s'en sort bien mieux avec un budget beaucoup plus serré sur ses épisodes de Planet of the Apes), et surtout ça vieillit pas toujours très bien. Genre la séquence de l'escalade ça devait sûrement bien marcher à l'époque mais aujourd'hui on voit très vite les limites visuelles. Enfin, un mot sur le casting plutôt prestigieux, David Niven s'en sort très bien avec le personnage le mieux écrit et le mieux interprété, Anthony Quinn est pas mal non plus dans un registre qu'il maîtrise bien, par contre Gregory Peck je ne m'y ferais jamais : j'ai beaucoup de mal à comprendre sa notoriété et pour moi c'est clairement un acteur des plus limités en terme de jeu. Une nouvelle fois, je vois bien en quoi le film a obtenu son statut, mais je n'y vois pas plus qu'un divertissement pas super bien géré, et qui vaut surtout pour son pitch de départ.


5/10
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Thor : Ragnarok - 3/10

Messagepar Alegas » Dim 03 Déc 2017, 23:08

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Thor : Ragnarok de Taika Waititi
(2017)


Pour être tout à fait honnête, c'est pas le Marvel récent que je rechignais le plus à voir, les différents trailers montrant quelque chose de certes complètement décalé, comme si le succès de l'humour des Gardiens de la Galaxie faisait des émules, mais à côté de ça on pouvait sentir sur certains plans une volonté de faire quelque chose de joli et épique. Malheureusement, comme souvent chez Marvel, les promesses ne sont souvent pas tenues, et c'est encore une fois ici le cas. Alors tout d'abord, notons quand même qu'il y a un vrai chemin parcouru du côté du héros Thor, protagoniste de l'écurie Marvel dont le ton était vraiment pas bien géré, entre l'humour à deux balles et la volonté de retranscrire une part de mythologie, et là pour le coup on sent qu'il y a un revirement total sur la façon de gérer le personnage.

Le problème, c'est que du côté de chez Marvel il y a eu certainement une réflexion dont la conclusion aboutissait sur le fait que l'humour prévaloir sur tout le reste, et du coup on se retrouve plus devant une comédie qu'un film de super-héros, une habitude de plus en plus gênante pour un univers qui veut, à côté de ça, livrer quelque chose de sérieux et épique. Ce Thor : Ragnarok, c'est donc un peu la quintessence de tout ce qui ne va pas chez Marvel : derrière l'image cool/impulsif que ça tente de se donner, il y a le même produit préfabriqué qui donne des coups de coude au fan de comics, espérant recevoir sa gratitude, et qui au final se contrefout de ses personnages. Oui, Thor est moins tête à claque qu'auparavant, mais pour ça faut se taper une centaine de blagues pas drôles (il semblerait que le réal souhaitait couper la plupart à la base, avant qu'on lui demande de les mettre suite à des projections tests... :roll: ) qui arrivent systématiquement pour contrebalancer quelque chose de sérieux arrivé juste avant. Impossible dans ces conditions d'avoir un minimum d'implication dans les enjeux du film, et impossible d'avoir ne serait-ce qu'une petite frayeur pour l'avenir d'un personnage. A trop déconstruire le mythe du héros, le film ne fait finalement que le détruire.

Toujours sur le script, c'est du Marvel-shit as usual : tout est fait pour teaser un épisode à venir, on se contrefout de personnages importants (la mort d'Odin, traitée comme une discussion parmi tant d'autres :lol: ) et on en profite pour placer d'autres personnages de l'univers (en l’occurrence Docteur Strange, qui ne sert à rien évidemment). Formellement, rien à retenir si ce n'est un court flashback de quelques secondes qui se révèle plus inspiré visuellement que tout le reste du film, je ne parlerais pas de toutes les séquences hors action, d'une fadeur totale. Pour le casting, je ne retiendrais que le fait que Cate Blanchett soit en tenue moulante durant tout le film :bluespit: , le reste ne mérite même pas qu'on le mentionne. Du divertissement comme Marvel sait si bien les faire : anecdotique, oubliable et mal branlé. Et pendant ce temps, la horde de moutons continue à aimer ces trucs sans même se demander si leurs héros préférés ne mériteraient pas un meilleur traitement...


3/10
Critiques similaires
Film: Thor : Ragnarok
Note: 4,75/10
Auteur: caducia

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Ghost Dog : La Voie du Samouraï - 5/10

Messagepar Alegas » Mar 05 Déc 2017, 13:56

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Ghost Dog : The Way of the Samurai (Ghost Dog : La Voie du Samouraï) de Jim Jarmusch
(1999)


Le cinéma de Jarmush c’est quand même quelque chose auquel je reste plutôt hermétique et ça se vérifie aussi ici, alors que pourtant sur le papier c’est quand même un film moins auteuriste que la majorité de sa filmographie. C’est un film un peu difficile à décrire, tant ça se veut être un mélange de plusieurs influences (Le Samouraï, La Marque du tueur) mais dans une ambiance purement américaine où se rejoignent le film de ghetto (un peu) et le film de gangster (beaucoup), à l’arrivée ça donne quelque chose de très spécial et autant je peux saluer l’initiative, autant de mon côté ça n’a pas vraiment fonctionné. Déjà le rythme est hyper lent comme chez Melville, sauf que chez ce dernier c’est réellement maîtrisé alors qu’ici on a plus l’impression que c’est là pour se donner une posture et justifier un script minimaliste.

D’ailleurs côté script il y avait matière à faire bien mieux à mon sens, et j’aurais pas craché sur des relations de personnages plus mises en avant vu que ça donne les meilleures scènes du film, à savoir les interactions entre Whitaker et les amis qu’il se fait dans la rue. Car bon, toute la partie gangster au final c’est assez raté, les séquences d’assassinats sont jamais marquantes (la seule qui fonctionne un tant soit peu c’est celle calquée sur le Suzuki) et surtout on sent que Jarmusch n’est jamais à l’aise avec ça, le gunfight dans la maison sur la fin en est la preuve. Côté BO, histoire de ne pas être d’accord avec tout le monde, je trouve ça bof, c’est pas parce qu’il y a marqué RZA que c’est forcément génial (kassdédi à Scalp :mrgreen: ). Reste un film aux intentions intéressantes, porté par son interprète principal, mais de mon côté c’est déjà un film bien oublié.


5/10
Critiques similaires

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Mark Chopper » Mar 05 Déc 2017, 14:04

Côté BO, histoire de ne pas être d’accord avec tout le monde, je trouve ça bof, c’est pas parce qu’il y a marqué RZA que c’est forcément génial


Le rap, je m'en bats les couilles.

Mais cette B.O. elle tue.

(enfin c'est vrai que ça ne vaut pas du Jean-Jacques Goldman :chut: :mrgreen: )
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Alegas » Mar 05 Déc 2017, 14:06

Franchement, un remontage du film avec Goldman en BO ça peut se tenter. :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Dionycos » Mar 05 Déc 2017, 14:16

Tout comme toi sur le cinéma de Jarmush. Je n'y arrive pas, j'ai envie de m'endormir devant ses films. Qu'est-ce que je me fais chier devant Ghost Dog...
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2017

Messagepar Mark Chopper » Mar 05 Déc 2017, 14:18

Vous n'êtes pas zen.
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