Et sinon on peut parler de Godzilla sans avoir le coup de la fumée à chaque fois ?
Non.
j'aime quand on ne me montre pas toujours une bête....come Jaws, alien etc....
Le point de vue dans le Spielberg est celui des humains, logique par conséquent de ne pas voir ce qui est sous l'eau. Et la logique de l'Alien, dans le Scott, c'est de se faufiler inaperçu avant d'attaquer.
La mise en scène fait donc sens.
Par contre, cacher un dinosaure géant qui marche entre deux immeubles, c'est débile. Et ce le serait tout autant pour un gorille géant sur son île où il est chez lui.
le ton et Samuel Lee Jackson ne sont pas débiles, John C reilly et la fin mon dieu.
Le ton est léger, pas débile. Jackson joue un archétype classique dans ce type de récit : un émule du capitaine Achab et, comme chez Melville, ses réactions n'ont pas de sens d'un point de vue rationnel, mais sont les conséquences de son obstination (née de sa frustration d'avoir vu
sa guerre avortée). Et Reilly, il est un peu neuneu, mais bon... Un être humain coincé sur une île pareille pendant trente ans, on comprend qu'il soit pété du casque.