#Réalisateur# Terrence MALICK

[Alegas]

L'influence du style visuel de Malick sur le cinéma contemporain :

[Alegas]

Christian Bale décrit l'expérience d'acting dans un film de Malick.

[maltese]

“Everyone else always got more material than I did. Terry called it ‘torpedoing’,” the actor continued. “I never got any pages at all. I would just arrive and he would say, ‘Deal with it and see what happens’.”

Ca correspond bien à ce que j'ai ressenti en voyant le film. Je comprends que l'on voulait faire passer l'idée que le personnage est assez perdu, ne sait pas trop quoi faire, mais moi, je ne voyais pas le personnage; je ne voyais que Christian Bale qui ne savait pas où il en était.

[Milkshake]

Le plus fort c'est ça : Malick qui ne dit pas à Bale que Teresa Palmer est une actrice.

Il croit avoir une véritable strip teaser devant lui, du coup ça donne le meilleur passage du film. Bon par contre on le sent durant tout le film le côté impro qui se cherche.

“Even when they were actors, Terry would still tell me they weren’t,” he said. “We were filming in a strip club, and Teresa Palmer’s there in her little silver hotpants and I’m asking her how long she’d been dancing for? Does she enjoy it? What got her into it? I had no idea that she was an actress until about a week after working with her. Suddenly I saw a billboard with her face on it and I went ‘What?’”

“I didn’t know where we were half the time,” Bale added. “Terry would go ‘That looks good, let’s stop. Go and talk to that bloke’. Sometimes the bloke was an actor; sometimes not.”

Sinon on peut aussi noter Joel Kinnaman (Robocop) a été coupé au montage alors qu'il a du apprendre 17 pages de texte et Malick qui a décide au dernier moment de filmer un chien

Un peu comme Jessica Chastain qui a été coupé de To The Wonder mais elle n'avait fait que 1/2 jour de tournage aussi.

"I shot one day on 'Knight Of Cups,' and I had a 17-page monologue. And Christian Bale, who I was playing opposite—who had a lot of lines that would lead me into the next three pages—he hadn't seen his pages. So when we started shooting, he'd just walk off, and I'd be chasing him saying all this stuff, when he was actually the one who was supposed to be interested, and that's the reason that I was talking," Kinnaman explained. "And then into page nine of my monologue, I'd turn around and see Terry like a 150 yards away shooting some pink dog running around. It was indeed a very interesting experience. I have no idea what that film is."

http://blogs.indiewire.com/theplaylist/ ... e-20140211

[Waylander]

Badlands: A revoir mais de mémoire 5/10
Days of Heaven: 8/10
The Thin Red Line: 10/10
The New World: 10/10
The Tree of Life: 10/10
To the Wonder: 7/10
Knight of cups : 5/10

[Dunandan]

Tu le revois bien à la baisse le To the Wonder... Perso c'est un film que je ne pourrais jamais revoir

[Waylander]

C'est un faux 7/10. J'essaye d'être objectif mais en tout cas oui je le revois à la baisse de toute façon. Et le 5 de Knight par contre c'est un vrai 5 malgré que la mise en scène, photo, ambiance etc...me fascinent toujours autant mais c'est le film qui me parle le moins de sa filmo et c'est le plus poussif dans son style, perso ça m'a saoulé. Et puis il se répète trop le bougre. Ca tourne en rond son trip. Par contre, lui et Emmanuel sont balèzes pour mettre en scène " la ville". Ca donne les plus plans que j'ai vu.

[logan]

Ah ouais t'es passé de 10 à 5 quand même

[Waylander]

J'ai jamais noté Knight of Cups je viens de le voir Le ouf. Par contre To the wonder je passe de 10 à 7 mais faux 7.

[logan]

Ah oui my bad je les ai confondus. (Les films de Mallick c'est un peu comme les asiatiques en fait.)

[Alegas]

Malick sur un nouveau projet : un film en pleine WWII.

[caducia]

Du 10 août au 6 septembre, Les Fauvettes diffusera une rétrospective intégrale de l'oeuvre de Terrence Malick.

[Jed_Trigado]

Chouette, mes places sont déjà prises.

[Jack Spret]

[Mark Chopper]

Terrence Malick assume son esthétique de publicitaire pour parfums :

(j'espère que c'est un fake parce que ça transpire l'autoparodie à chaque plan)