par Heatmann » Mar 24 Jan 2017, 20:12
je comprend l'engouement des critiques , et meme d'une certaine partie de spectateur , c'est vraiment le The Artist de 2017 .
Un film qui cause de cinema , qui n'est fait que de references a l'age d'or de celui ci , qui se deroule dans un L.A fantasmer carte postal , qui a un message pseudo meta sur le buisness , Hollywood ne pouvait qu'elever sa propre vitrine
Gosling est tres bon , et c'est le seul role un peut interressant et qui sort du lot , les autres c'est des cliches servant la fable ,... techniquement c'est tres maitriser , le rythme et montage sont clairement la et la fin est bien .
a part ca baaah Les effet stylistiques prennent le pas sur tout. ca devient trop charger ... Code couleur over saturer entre bonbons regalad et telletubies , les références continuel a l age d’or d hollywood et ces musical finissent par des gros coup de coude dans les cote matuvu ( en plus y a qu une seul chanson de bien , les autres putain les lyrics pour teuber qui on pas compris la scene ) . Le récit lui meme est finalement aussi superficiel que ce qu’il “dénonce” et ca lui revient dans la gueule .
Y a un gros détachement par rapport a ce couple et leur destine encore plus marquer par la forme jtrouve bien boursoufler et omnipresente , a force de composer chaque plan par du fluo , des green screen , des cables, c'est dure de donner de la vie et chaleur a ces pantins , manque de réel chaleur humaine , et la sincérité a beau être pressente musicalement , le coter meta L.A me semble opportun et surtout vole pas haut , c’est gentiment neuneu cul cul .
donc voila niveau implication emotion c'est le zero pointer a moins de vivre dans une boite a musique . originalites on repassera c'est un hommage constant , ou quand le retro fetishisme cache mal le referentiel abondant