[Alegas] Mes Critiques en 2016

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Mark Chopper » Mar 15 Nov 2016, 09:10

trouve à chaque fois son public pour créer une dynamique économique positive et donc rendre les investisseurs/producteurs moins frileux ou propice à nous resservir/recycler tout le temps la même recette.


Il ne faut pas oublier que la Corée du Sud impose un quota qui limite fortement la présence de films étrangers dans les salles. Même si ce quota a été revu récemment dans le cadre d'accords de libre-échange, il explique en partie la prédominance de succès domestiques.

On voit l'avantage, mais si c'est au prix de la diversité, je ne voudrais pas de ce système en France.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar pabelbaba » Mar 15 Nov 2016, 09:16

Ces quotas existent chez nous à la radio et la TV.
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Mark Chopper » Mar 15 Nov 2016, 09:23

Résultat à la radio : on subit de la variété et du rap de merde 8)
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar pabelbaba » Mar 15 Nov 2016, 09:23

Et oué. :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Milkshake » Mar 15 Nov 2016, 09:30

Ce système est bien dans un sens ou les chiffres de ses dernières années sont un bon signe pour une petite poigné de réal talentueux qui cartonne aux box Office à la maison en Corée et potentiellement ça peut aussi faciliter l'émergence de nouveau talent/réal même si pour l'instant il y a que Na Hong-jin qui a confirmé sur plusieurs films dans la nouvelle vague de réal coréen.

Ce quota il est de combien en pourcentage ?

Par contre oui ce système de restriction c'est pas forcément optimal pour le spectateur qui est quand même privilgégié en France ou on est le seul pays à proposer une telle diversité de film sur les écrans (quitte à froler l'overdose avec parfois + 20 films qui sorte en 1 semaine donc 95% qui vont se planter financièrement) venant de tous les pays même si c'est dans peu de salles et que certain disparaise au bout d'une semaine ou deux. Dans tous les autres pays le choix de films est bcp plus limité.

Cela rapelle aussi le système protectioniste en Chine qui n'autorise qu'un nombre limité de film étranger constitué uniquement de blockbuster US qui sont autorisé seulement si ils sont copain avec le gouverment en leur faisant toucher une partie des recettes ou que le film est une co prod chinoise, d'ou la présence de storyline forcé lié à la Chine ou se déroulant en chine dans plein de blockbuster US ces dernières années.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Mark Chopper » Mar 15 Nov 2016, 09:36

Le système est complexe en fait. Il s'agit d'un quota de jours par an pendant lesquels on peut ou pas projeter des films étrangers.

Choi Min-sik avait même cessé de tourner pendant plusieurs années pour protester contre cette réduction.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Milkshake » Mar 15 Nov 2016, 09:58

C'est un bon Choi Min-sik :super:

En tout perso j'ai hate de voir le prochaine vague (pour 2018/2019) de film de Park Chan Wook, Na Hong-jin, Kim Jee Woon voir même Choi Dong-hoon et Sang-ho Yeon même si ces réal traitent un sujet qui m'interresse peu sur le papier je sais que ce sont des films qui tenteront des choses et qui resteront intéressant à regarder.

Par contre sur le papier et vu les retours pas terrible, des films comme Tunnel/Inside Men/Asura me tentent pas des masses même si ça a fait de bon score en Corée c'est pas forcément synonyme de qualité.
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Assassin(s) - 7/10

Messagepar Alegas » Mer 16 Nov 2016, 13:35

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Assassin(s) de Mathieu Kassovitz
(1997)


Adaptation en long-métrage d'un de ses courts, Assassin(s) est surtout pour Kassovitz le film qui suit son plus gros succès, à savoir La Haine, et donc en quelque sorte le film qui doit confirmer toutes les qualités qu'on pouvait penser de lui en tant que réalisateur. Bien décidé à régler ses comptes avec la société, Kassovitz signe donc un métrage qui n'est pas, comme on peut s'y attendre, une simple histoire de passage de relais entre assassins professionnels, mais bien un pamphlet sur la société qui les met au monde et qui les éduque. Un film ambitieux donc, plus que La Haine qui s'intéressait à une partie limitée de la population française, alors qu'ici c'est clairement tout le monde qui est visé, du plus vieux au plus jeune. Malheureusement, cette ambition est à la fois la plus grande qualité du film ainsi que son plus grand défaut. L'intention est là, et elle est clairement louable, mais on sent un défaut de rigueur d'écriture qui fait que Assassin(s) donne parfois l'impression d'être un premier film : Kassovitz tente de placer un maximum de choses dans son propos, beaucoup trop même, et du coup la plupart des sujets donnent soit l'impression d'être inaboutis, soient trop surlignés (je pense notamment à la question des médias, qui donne lieu à plusieurs scènes identiques alors qu'une seule convenait parfaitement pour comprendre ce que le film a à dire).

Heureusement, le film se rattrape sur bien d'autres points. Déjà en terme de propos c'est autrement plus ambitieux que ce qu'on a l'habitude de voir dans le cinéma français (et plus trash aussi, le coup de la sitcom qui vire en snuff-movie :shock: ), et surtout Assassin(s) arrive de façon surprenante à capter un sentiment de ras-le-bol propre aux années 90 en France, et ce autant d'un point de vue scénaristique que visuel. A côté de ça, et malgré ses défauts, le script est quand même bien culotté dans l'ensemble, avec un passage de relais entre trois générations différentes qui repose sur un retournement de situation inattendu (impossible de le voir venir celui là), et autant j'ai tendance à trouver que Serrault est parfois un peu trop en roue libre, autant globalement le trio fonctionne à merveille avec des relations assez ambiguës. Puis bon, à revoir ce film aujourd'hui, on se rend compte que Kassovitz mettait le doigt là où ça fait mal, et difficile de ne pas penser aux horreurs qu'on a pu voir ces dernières années quand on voit le final du métrage, et pour le coup la tagline du film, "Toute société a les crimes qu'elle mérite", prend tout son sens.

Côté mise en scène, un poil déçu en revanche, autant c'est bien filmé, pas de doutes là-dessus, autant je trouve ça moins réfléchi que La Haine, tout en conservant le côté un peu racoleur quand il s'agit de faire des plans compliqués sans réelle justification derrière. D'ailleurs, il s'autocite même en reprenant carrément le plan du miroir de La Haine. Enfin, surpris de voir Carter Burwell à la bande-son d'un film français, et ça fonctionne vraiment (faut voir le niveau en France aussi). Œuvre inégale, Assassin(s) est surtout pour moi un film sincère d'un homme qui n'avait peut-être pas encore les épaules pour signer le grand film qu'une telle histoire méritait (ça me pousse encore plus à penser que L'Ordre et la Morale est son film de la maturité), mais en l'état ça reste un film très sympathique, ne serait-ce que pour sa capacité à être un véritable reflet de son époque.


7/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Mark Chopper » Mer 16 Nov 2016, 13:40

J'ai souvenir d'un film qui laisse à penser que les émissions de Nagui rendent violent. J'ai trouvé le propos et son traitement maladroits, voire ridicules.

Et le film aurait pu être plus court et plus efficace avec un seul passage de témoin, pas deux.
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Bleeder - 6/10

Messagepar Alegas » Jeu 17 Nov 2016, 21:25

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Bleeder de Nicolas Winding Refn
(1999)


C'était l'un des derniers films de Refn qu'il me restait à voir (désormais, il ne reste plus que Fear X), et j'ai donc profité de la restauration du film dirigée par le réalisateur lui-même pour découvrir cet étrange métrage qui peut être aisément défini comme le chaînon manquant entre la trilogie Pusher et le reste de la filmographie de Refn. N'importe qui ayant exploré la carrière du cinéaste a été confronté à cet énorme décalage entre une trilogie tournée sur le vif et ayant pour référence le Mean Streets de Scorsese, et les films suivants du bonhomme qui partent plus dans quelque chose de très maniéré, extrêmement léché, bref deux opposés que certains n'ont pas appréciés. Pourtant, dans Bleeder, on trouve en partie la rencontre de ces deux façons de penser le cinéma, pour un résultat forcément inégal (après tout, c'est un second film) mais qui s'avère très pertinent pour quiconque s'intéresse un minimum à Refn en tant qu'auteur. Dès le début du film, on retrouve une envie de faire comme Pusher, avec une approche très brut de décoffrage, et une envie de coller à un réalisme de tout les jours, à travers une bande de potes dont les liens vont peu à peu s'effondrer, mais clairement on s'éloigne de l'aspect pris sur le vif du premier film de Refn, pour arriver vers quelque chose de plus pensé, de plus réfléchi.

Que ce soit à travers un plan-séquence où la caméra, sur un air de Bach qui renvoie à Casino, tourne dans tout les sens à l'intérieur d'un vidéo-club, une omniprésence du rouge sang, la présentation des personnages avec des mouvements de caméra fluides, le travail de l'éclairage, ou encore la façon d'isoler les personnages dans des plans fixes, la matrice formelle des futurs films de Refn est bien là, un peu hésitante certes, mais on sent déjà le réalisateur prêt à passer à la vitesse supérieure (chose qu'il ne fera finalement que plus tard suite aux mésaventures qui le reconduiront à faire du Pusher). Pour un fan de Refn donc, et malgré les défauts évidents du métrage (certains personnages sont laissés sur le bas côté par rapport à d'autres), c'est forcément du caviar à découvrir et analyser, d'autant plus que Bleeder s'avère être l'un des films les plus personnels de Refn, avec une introduction de la romance dans son cinéma. A travers le personnage de Mads Mikkelsen, Refn se met clairement en scène (parfois de façon trop appuyée, voir la scène où Mads énonce la totalité des réalisateurs qu'il aime), lui qui a toujours eu peur de s'ouvrir au monde pour faire ce qu'il souhaite, et forcément le fait que la femme que courtise le personnage s'avère être la future femme de Refn appuie bien ce côté là. Alors certes, Bleeder est un film inégal, un essai de réalisateur qui hésite encore un peu trop sur la direction que doit prendre sa façon de créer le cinéma, mais ça reste néanmoins un beau petit film, sincère et intéressant.


6/10
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800 Balles - 7,5/10

Messagepar Alegas » Lun 21 Nov 2016, 12:59

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800 Balas (800 Balles) de Álex de la Iglesia
(2002)


S'il y a bien un réalisateur qui m'étonne de par la quasi-constante qualité de ses films, c'est bien Álex de la Iglesia qui, quel que soit le sujet ou l'orientation, livre à peu près toujours des métrages recommandables qui ressemblent rarement au précédent. Avec 800 Balas, le réalisateur s'intéresse à un genre qu'il affectionne visiblement, à savoir le western, et là où beaucoup auraient tourné un film assez classique, De la Iglesia prend le sujet de façon assez inattendue en plaçant son récit dans l'Espagne de notre époque, pour se concentrer sur une bande de parias souhaitant revivre jusqu'à leur mort la glorieuse époque de conception des westerns spaghettis. Du coup, le film se transforme rapidement en un hommage particulièrement prononcé, et ce notamment à travers un personnage de cascadeur se vantant d'un passé glorieux (véridique ou non, le doute est conservé jusqu'au très beau final) et qui doit se contenter de faire fonctionner une attraction vieillotte pour entretenir le souvenir de cette époque.

Alors oui, De la Iglesia oblige, on est forcément très ancré dans un registre humoristique, le film ne manque d'ailleurs pas de ressources de ce côté là avec un style assez corrosif, totalement cartoonesque par moment (du coup, ça fait forcément un peu penser à The Quick and the Dead), mais ça n'empêche pas le propos du film d'être assez sérieux, avec une vraie réflexion sur la façon de faire les films à une époque désormais révolue, sur les conglomérats cherchant à imposer leur vision des choses, sur la paternité, et surtout ça pose un regard très tendre sur ces gens qui ne souhaitent jamais grandir et vivre à fond dans leur passion (de là à dire que le film vise les cinéphiles, voire même les geeks en général, il n'y a qu'un pas qu'on franchira aisément). Et puis à côté de ça, De la Iglesia ne lésine pas sur les moyens en offrant à son film un cachet visuel forcément sympathique, et il se fait clairement plaisir avec le climax final qui est un vrai hommage à plein de ténors du genre. Et forcément, comme quasiment toujours chez le réalisateur, ça nous ravit les yeux côté casting féminin avec la présence de Yoima Valdés, notamment dans une scène qui donne envie d'être à la place du jeune héros :bluespit: . Bref, 800 Balas c'est du De la Iglesia pur jus comme n'importe quelle personne de goût se doit d'apprécier, et c'est un des plus sympathiques hommages au western faits ces dernières années.


7,5/10
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Peuple migrateur (Le) - 6,5/10

Messagepar Alegas » Ven 25 Nov 2016, 19:28

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Le Peuple migrateur de Jacques Perrin, Jacques Cluzaud & Michel Debats
(2001)


Si le documentaire est une forme cinématographique que j'affectionne parfois, je dois bien avouer que le documentaire animalier, lui, arrive rarement à provoquer le moindre enthousiasme de mon côté. D'une part parce que c'est un genre que j'ai souvent tendance, comme beaucoup, a ranger dans quelque chose de très télévisuel, mais aussi parce que ça m'agace de voir toujours la même recette réutilisée, à coup de jolies petites histoires scénarisées pour créer l'empathie envers des animaux vivant des situations pré-fabriquées. D'un autre côté, et sans être un amoureux de ses films, je dois bien avouer que les documentaires produits par Perrin arrivent déjà bien plus à me séduire avec leur note d'intention, à savoir un juste mélange entre quelque chose de scénarisé, de contemplatif et d'éducatif, mais sans jamais tomber dans l'extrême d'un des trois, le tout avec une volonté de filmer dans des décors naturels, avec des techniques inventées pour l'occasion.

Pour Le peuple migrateur, autant je suis pas toujours très intéressé par ce que raconte le film, grosso modo pendant 1H30 on voit un peu toujours la même chose, autant on sent une vraie sincérité derrière le projet, et surtout c'est filmé de manière franchement admirable avec une caméra au plus près des oiseaux (même en plein vol, c'est assez dingue) et des séquences dont on se demande comment ça a pu être filmé (le plan où la caméra tombe de la falaise alors que la totalité des oiseaux s'envolent, c'est le genre de truc dont j'aimerais bien comprendre la conception, ça a dû être un vrai casse-tête :shock: ). C'est le genre de film, quand on lit que ça a pris trois ans pour le faire, on comprend aisément pourquoi, et rien que pour ça, production française ou non, ça force quand même le respect. Bon par contre je suis bien moins fan de la musique de Coulais, qui en fait trop à mon sens, et je parle pas des rares tentatives d'incrustation sur des modèles Google Earth-style, du plus mauvais effet, surtout que ça apporte strictement rien au film. Clairement pas un film que je reverrais, mais si on me demande un bon documentaire animalier c'est clairement un de ceux qui me viendraient directement à l'esprit.


6,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Olrik » Ven 25 Nov 2016, 20:22

"mais si on me demande un bon documentaire animalier c'est clairement un de ceux qui me viendraient directement à l'esprit."

Essaye peut-être ceux de Frédéric Rossif, avec la musique de Vangélis.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Alegas » Ven 25 Nov 2016, 21:25

Je note, du bonhomme je connais seulement son dernier film, le reste, jamais entendu parler.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Olrik » Sam 26 Nov 2016, 14:09

"Nuremberg" est très bon mais avant lui, il y avait tous ses docus animaliers dans les années 70. "La Fête sauvage" est peut-être le meilleur.
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