[Alegas] Mes Critiques en 2016

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar osorojo » Lun 01 Aoû 2016, 19:16

Dis comme ça :eheh:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar lvri » Lun 01 Aoû 2016, 20:15

Je vais chercher ça ! :super:
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Sang pour sang - 8,5/10

Messagepar Alegas » Lun 08 Aoû 2016, 16:21

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Blood Simple (Sang pour Sang) de Joel & Ethan Coen
(1984)


Dans la longue liste des premiers longs-métrages de grands réalisateurs, peu de films peuvent prétendre à être non seulement des films majeurs de leur auteur respectif, mais aussi d'être des leçons de mise en scène qui annonçaient une carrière florissante. Parmi ces quelques élus se trouve Blood Simple, petit film noir des plus modestes qui arrivait pourtant en l'espace d'une heure et demie à annoncer la venue d'un duo capable de marquer son empreinte dans l'histoire du cinéma américain. Une idée de base simple (un trio amoureux sur lequel va s'engager des envies de meurtres), des personnages clichés mais indiscutablement bien écrits, une succession de quiproquos ayant pour base un détective privé qui tente de faire le crime parfait, voilà la recette efficace d'un film qui va vite se révéler comme un des meilleurs films des Coen encore aujourd'hui, et qui pourrait être une réponse à la question "comment faire un film marquant avec peu de moyen ?". Nul besoin de spectaculaire, ni même de dialogues spécialement bien écrits : toute la machinerie des Coen repose sur une succession d’événements implacables où le spectateur a une longueur d'avance sur la totalité des personnages, ce qui lui permet de prendre conscience de la gravité des situations, le tout sur une ambiance texane ultra pessimiste (le final est loin d'être un happy-end) que les Coen ne retrouveront pas forcément par la suite (le seul y arrivant pleinement étant No country for old men, qui offre énormément de similitudes avec ce premier film, même l'introduction est la même avec la succession de paysages sur une voix-off).

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Les Coen signent même quelques scènes les plus marquantes de leur filmographie (avec une mise en scène très classe qui emprunte par moment au style de Sam Raimi, qui les a poussé à faire ce film), en particulier une longue scène où un personnage cherche à se débarrasser d'un cadavre. Là où beaucoup auraient signés une scène classique, le duo renouvelle totalement des situations classiques de cinéma en leur donnant une véracité totale (ça vaut aussi pour le climax final, qui fait très mal à la main), et posent ainsi la base de leur cinéma, l'humour omniprésent en moins (par contre, ils prouvent déjà leur bon goût musical avec le titre des Four Tops, supers placements du morceau). Seul défaut qui empêche le film d'atteindre le rang de chef-d’œuvre incontestable : comme beaucoup de machines très bien huilées, il manque à Blood Simple une certaine spontanéité pour lui donner de l'émotion, du coup ce premier film donne un peu l'impression d'être une œuvre froide en comparaison de ce que feront les Coen par la suite. Rien de grave cependant, pour un premier film cela reste un sacré tour de force, le genre que beaucoup aimeraient avoir dans leur filmographie.


8,5/10
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Miller's Crossing - 8/10

Messagepar Alegas » Mar 09 Aoû 2016, 16:25

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Miller's Crossing de Joel & Ethan Coen
(1990)


Après un passage hyper cartoon avec Arizona Junior, dans lequel les Coen ont commencé à déclarer leur amour profond pour les abrutis au grand cœur, voilà que le duo se tourne pour leur troisième réalisation vers le film d'époque, et plus précisément vers le film noir qui sent bon la période de Prohibition. Un choix étonnant mais qui témoigne de la part des Coen d'un véritable amour pour le passé américain (amour qui se confirmera encore plus par la suite) et qui les permet de se diversifier en terme de proposition. Contrairement à mes souvenirs, c'est loin d'être un pur film de gangster, on se trouve plus devant un film de manipulation qu'autre chose, une sorte de réadaptation de Yojimbo avec un personnage malin qui va mentir et changer de camps au péril de sa vie juste pour avoir le dernier mot, et accessoirement régler une dette qui est un véritable mac-guffin au sein du récit. Du coup, Miller's Crossing peut surprendre de par son côté très verbeux, c'est un film qui ne cède que très peu au spectaculaire (au final, hormis la séquence de l'attaque de la maison de Finney, il y a très peu d'action) et qui va surtout avancer par le dialogue. Avec l'écriture des Coen, cela donne forcément quelque chose de très bon, encore que j'ai tendance à trouver que la rythmique du film n'est pas parfaite, ça aurait mérité d'être un poil moins long tant le jeu du personnage de Byrne se voit venir à l'avance sur le dernier acte à force de le connaître.

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Pour le reste, peu de choses à redire sur ce Miller's Crossing qui, de façon surprenante, est rarement cité parmi les grandes réussites des Coen, alors que le duo signe quelques très belles scènes, et en particulier le face à face Byrne/Turturro dans les bois. La grande force du métrage se trouvera notamment dans son casting pour le moins inspiré, quasiment que des gueules que l'on retrouvera plus tard dans d'autres films des Coen, et surtout la première collaboration avec Turturro qui en impose bien ici. Mention spéciale à Byrne qui trouve là facilement l'un des meilleurs rôles de sa carrière, voire son meilleur, il colle parfaitement au rôle et à un charisme de dingue. Seule faute de goût : Marcia Gay Harden en femme fatale fait vraiment figure de miscast total, impossible de croire que tant d'hommes veulent se taper un laideron pareil. Enfin, le score de Burwell, comme à son habitude, est très inspiré. Un Coen très clairement recommandable.


8/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar maltese » Mar 09 Aoû 2016, 16:51

Pour le reste, peu de choses à redire sur ce Miller's Crossing qui, de façon surprenante, est rarement cité parmi les grandes réussites des Coen


Hmmm, pas trop d'accord là, je trouve qu'il est souvent cité comme un de leurs plus grand films (bon, derrière Fargo et No Country For Old Men, c'est vrai). D'ailleurs, j'avais plutôt été étonné du coup la première fois que je l'ai vu et que j'avais été déçu (heureusement, j'ai vu la Lumière depuis :love: ).
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Alegas » Mer 10 Aoû 2016, 10:11

Dans les cercles cinéphiles, oui, mais du côté plus grand public, Miller's Crossing est quand même relativement oublié. C'est pas un film que les gens citent automatiquement quand ils pensent aux Coen quoi, c'est autant cité qu'un Arizona Junior par exemple.
C'est d'autant plus dommage que c'est nettement meilleur que certains de leurs films plus populaires comme O'Brother.
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Big Lebowski (The) - 7,5/10

Messagepar Alegas » Mer 10 Aoû 2016, 13:04

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The Big Lebowski de Joel & Ethan Coen
(1996)


Second visionnage et je reste globalement sur la même impression que la première fois, quand bien même je le revois un poil à la hausse (faut dire que voir ce film au collège, c'est peut-être pas la meilleure période pour piger le gros délire du récit). Alors c'est clairement pas à mes yeux la meilleure comédie des frangins, et je dois même avouer que toute l'aura culte autour du film me passe un peu par dessus, néanmoins je dois bien avouer que c'est un film à part dans la filmographie des Coen, c'est leur seul film qui donne l'impression d'être un gros trip comique du début jusqu'à la fin (je pourrais inclure Arizona Junior, mais là on atteint des proportions encore plus grandes que ce dernier) à tel point qu'à la fin, il est difficile de dire précisément de quoi parle le métrage. Il est évident qu'il y a un constat sur l'Amérique des années 90, que ce soit dans les références à la Guerre du Golfe, ou tout simplement dans le duo Bridges (qui trouve là le rôle de sa vie)/Goodman qui pourrait être vu comme une représentation de l'américain moyen, mais au delà de ça le film est une succession de séquences comiques où le Dude tente tant bien que mal d'y trouver une logique et un moyen de revenir à sa vie normale. Du coup, difficile d'appréhender The Big Lebowski comme un récit classique et essayer de rationaliser l'ensemble serait un peu aller à l'encontre de ce que les Coen tentent de faire, tant tout pourra paraître gratuit (un exemple parmi tant d'autres : le personnage de Sam Elliott, qui ne sert strictement à rien si ce n'est apporter du cool).

Côté comédie pure, c'est peut-être bien le film le plus drôle des Coen, celui qui possède le plus de scènes marquantes, et autant le Dude y contribue beaucoup, autant il faut reconnaître que le personnage de Walter est clairement l'attraction du film, volant chaque scène où il apparaît en les transformant en de véritables crises de fou rires (en témoigne la séquence de l'échange, ou encore celle des cendres). Néanmoins, je dois avouer que quelque chose me gêne avec ce film, et notamment dans son background. Nombreux sont les personnages secondaires présentés qui, finalement, n'existent que le temps d'une scène, à tel point que cela donne un sentiment de trop peu une fois arrivé au générique de fin. Par exemple, le personnage de Turturro, Jesus, possède une scène clairement marquante, mais à côté de ça il ne sert concrètement à rien au sein du métrage, alors qu'on a qu'une seule envie : le revoir. J'ai bien conscience que cela fait partie du trip Coennien, mais il y a là un vrai potentiel qui me paraît seulement effleuré, alors que le film se concentre parfois sur des intrigues moins intéressantes (je suis franchement pas fan de tout ce qui concerne Jackie Treehorn, ça apporte un gros ventre mou en plein milieu du film). Je chipote mais c'est assurément un film dont le statut me laisse un peu coi, malgré toutes les qualités évidentes que je peux lui trouver, je lui préfère un film comme A Serious Man, quand bien même ce dernier paraît plus mineur pour beaucoup.


7,5/10
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Showgirls - 7/10

Messagepar Alegas » Jeu 18 Aoû 2016, 16:40

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Showgirls de Paul Verhoeven
(1995)


S'il y a bien un réalisateur avec lequel j'entretiens un rapport de spectateur pour le moins étrange, c'est bien avec Paul Verhoeven. Sur la majorité de ces films encensés par quasiment tout le monde, je n'y vois rien de plus qu'un homme ayant eu la chance de tomber successivement sur des bonnes collaborations hollywoodiennes, ayant eu pour résultat des films dont le cynisme me laisse plus que perplexe et dont la popularité me laissera sûrement toujours songeur, comme s'il suffisait d'un peu de second degré et de violence pour transformer un divertissement moyen en grand film. Du coup, c'est à ma très grande surprise que je me surprend à aimer (et pire encore, à trouver que c'est son meilleur film haut la main) son œuvre la plus critiquée de sa carrière, celle qui était tellement choquante pour Hollywood qu'elle a instantanément été catégorisée par beaucoup comme le pire film de l'année 1995, comme si Showgirls était une bouse sans nom, sans aucune qualité d'aucune sorte. Pourtant, et comme souvent avec un film récompensé par un Razzie, il s'avère que c'est ni plus ni moins qu'une œuvre plus difficile d'accès que les autres et qui trouve sa force dans ce qui va déranger le public, que ce soit sur le propos ou la forme. Ainsi, Showgirls est certainement le plus verhoevenien des films du hollandais, avec un cynisme omniprésent qui, au contraire des précédents métrages du réalisateur, trouve ici une justification totale : Verhoeven évoque, à travers son film, sa vision du rêve américain qui, avec ses yeux européens, ne va clairement pas correspondre au cliché que l'on a l'habitude de nous servir dans des success-story hollywoodiennes.

Verhoeven filme donc Las Vegas de la façon la plus frontale possible (après tout, la ville est réputé pour être la capitale du vice), mais aussi les femmes, qui trouvent ici une place particulière en tant qu'héroïnes. Rares sont les hommes à qui l'on peut faire véritablement confiance dans Showgirls (le seul à peu près correct étant un directeur de club de strip-tease qui engueule dès que possible ses employées) pendant que les femmes deviennent maîtres de leur destinées avec leur corps, en laissant ce dernier s'exprimer par la danse. Verhoeven avait déjà affiché un attachement certain pour la chair, mais il ne l'a jamais aussi bien filmé qu'ici, avec sa mise en scène tout en mouvement fluide et en scope sublimant les chorégraphies inspirées. Clairement, Showgirls est visuellement le film le plus inspiré de la carrière de Verhoeven, à tel point qu'il est impensable d'imaginer que le film ait pu recevoir une récompense de pire réalisateur à l'époque de sa sortie. Beaucoup devaient attendre un Basic Instinct bis, et Verhoeven a clairement pris un risque en profitant de son succès pour livrer un brûlot aussi incisif sur l'Amérique et la façon de gravir les échelons (le film indique clairement que le seul moyen d'y arriver est de faire du mal aux autres et d'agir de la façon la plus égoïste possible), le tout dans une ambiance charnelle qui sert totalement le propos. A ma grande surprise, et contrairement à ce que j'ai pu lire sur le net ou ailleurs, Showgirls n'a rien d'un film gratuit, mal réalisé ou mal joué (oui, il y a de l’exagération, mais ce sont les personnages qui sont écrits comme ça, et encore une fois pour servir le propos de Verhoeven) : c'est tout simplement le film le plus abouti de son auteur, aussi bien d'un point de vue thématique que formel. Un film qui mérite clairement sa réhabilitation récente, ça ne sera pas la première et dernière fois que la daube d'hier devienne le chef-d’œuvre de demain.


7/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Mark Chopper » Jeu 18 Aoû 2016, 20:48

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Alegas » Jeu 18 Aoû 2016, 22:44

Tu l'aimes celui là ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Mark Chopper » Jeu 18 Aoû 2016, 22:46

A part Soldier of Orange, Le Quatrième homme, Hollow Man et Elle, je trouve toujours mon compte chez Paulo.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Alegas » Jeu 18 Aoû 2016, 22:50

Je sais pas pourquoi, je pensais que tu faisais partie des haters pour celui là.
Du coup, y'a moyen que je kiffe des films dans sa partie hollandaise ou c'est mort ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Mark Chopper » Jeu 18 Aoû 2016, 22:57

Si tu peux en aimer un, je pense que ce sera Katie Tippel, dont Showgirls est le film miroir.

Les autres, j'en doute.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Jimmy Two Times » Ven 19 Aoû 2016, 00:01

Pour comprendre l'aura culte de Big Lebowski, faut se mettre dans le même état que le Dude. Sympa tes critiques des Coen :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2016

Messagepar Dunandan » Sam 20 Aoû 2016, 02:35

Mark Chopper a écrit:Si tu peux en aimer un, je pense que ce sera Kattie Tippel, dont Showgirls est le film miroir.

Les autres, j'en doute.

Turkish Delices peut-être ?
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