Modérateur: Dunandan
helldude a écrit:Nan mais on parle du hipster qu'est logan tu t'attendais à quoi ? C'est déjà bien qu'il n'ait pas mis zéro même si on sait que les 2 points sont pour Michael.
Milkshake a écrit:Oulà c'est pas rassurant tu mets combien au précédent Singer ?
Quand on tacle un aigri notoire c'est une attaque totalement gratuite. Mais l'inverse n'est pas vrai, "tant" bien même c'est on ne peut plus systématique. D'accord.Milkshake a écrit:Belle attaque totalement gratuite de Helldude
logan a écrit:helldude a écrit:Nan mais on parle du hipster qu'est logan tu t'attendais à quoi ? C'est déjà bien qu'il n'ait pas mis zéro même si on sait que les 2 points sont pour Michael.
Tant bien même je suis un hipster (ce qui n'est pas le cas) c'est quoi le rapport?
Le hipster français contemporain, fortement individualiste, tente de se démarquer du reste de la société par des habitus culturels (musiques, opinions, usages quotidiens, lieux de socialisation…), vestimentaires (marques de vêtement spécifiques, réemploi via le vintage…) et physiques (structures capillaires spécifiques comme le port de la barbe/moustache pour les hommes, l'abondance de tatouages, etc.). Le paradoxe étant, qu'avec les années, ils deviennent des prescripteurs de mode, et qu'une partie des traits les caractérisant se répand dans la société dont ils cherchent ostensiblement — voire vainement : s'agit-il au fond d'une simple mode, de passage ? d'une nouvelle façon de vivre et de penser ? —, à se démarquer. Ce point a servi de base à une étude mathématique sur la modélisation des phénomènes de mode
helldude a écrit:
Et ta note est finalement tellement minable (quand on compare à des films qui méritent vraiment pareilles notes) qu'effectivement, ça prends définitivement des allures de gag.
helldude a écrit:Le hipster français contemporain, fortement individualiste, tente de se démarquer du reste de la société par des habitus culturels (musiques, opinions, usages quotidiens, lieux de socialisation…), vestimentaires (marques de vêtement spécifiques, réemploi via le vintage…) et physiques (structures capillaires spécifiques comme le port de la barbe/moustache pour les hommes, l'abondance de tatouages, etc.). Le paradoxe étant, qu'avec les années, ils deviennent des prescripteurs de mode, et qu'une partie des traits les caractérisant se répand dans la société dont ils cherchent ostensiblement — voire vainement : s'agit-il au fond d'une simple mode, de passage ? d'une nouvelle façon de vivre et de penser ? —, à se démarquer. Ce point a servi de base à une étude mathématique sur la modélisation des phénomènes de mode
Scalp se branle dans chemises à carreaux en écoutant du Gainsbourg
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