[Versus] Mes critiques 2016

[versus]

Me pose la

[Alegas]

The revenant ou le mix parfait de tout ce que j aime au cinéma, véritable ode a la nature sur fond de vengeance, de survie , de renaissance, de bestialité ....Inratu livre avec ce film un morceau de bravoure comme on en voit très peu le metrage est violent mais atteint des moments de grâce avec ses plans fixes et ses paysages , ça m a fait penser a dû Malick avec ce côté contemplatif mais jamais ennuyant bien au contraire il y a un côté mystique complètement intégré et nécessaire pour comprendre la motivation du perso.
la réalisation est magique des plans séquences immersifs , en 2 ou 3 plans le réal arrive a nous attacher aux perso et a leurs relations ( fils , femme , indien)Di Caprio habité par son rôle, Hardy est tout aussi bon.
The Revenant, plus j y pense et plus je trouve qu' il est en tout point parfait.

[Alegas]

Il y a des oeuvres qui marquent une vie et Rocky en fait partie pour ma part j'ai grandi avec ces films en suivant l'évolution des personnages de la gloire de Rocky , sa rivalité contre Creed , son amour avec Adrian ( l'un des plus beaux couple de l histoire du cinéma )....
Je pensais que la boucle avait été bouclée avec ROCKY BALBOA ou Sly nous avait livré un véritable film venant des tripes, avec l'annonce de Creed je me demandais ce qu 'allait apporté de plus ce nouvel opus.
Et quelle bonne surprise veritable hommage à toute la saga ,Creed en plus de nous raconter l'histoire du fils caché d' Appolo décrit un Rocky Balboa vieillissant la perfomance de Sly donne des frissons, c'est bien plus qu'un film de boxe c'est un film sur la vie.
On reste toujours sur la base des anciens films à savoir des longues seances d'entrainement avec une musique qui donne envie faire un footing à la fin de la scene et bien entendu le combat final tant attendu...la recette fonctionne à chaque fois .
La mise en scene est impressionnante avec des plans sequences incroyable le premier vrai match de Creed est un modele de mise en scene.
Tout y est , rien à jeter et j'ai deja envie de le revoir,.

[Alegas]

Double

[Alegas]

Déception pour Triple 9 pourtant je l attendais ce film surtout pour le réalisateur et ses 3 précédents films.
Le film ne décolle jamais , les persos sont tous effleurés et ont peu d épaisseur du coup on a dû mal a s identifier et a être réellement impliqué, on est donc très très loin du chef d oeuvre qu' est HEAT.
Le début part bien pourtant la premiere scène de braquage est efficace mais après les minutes défilent et l ennui arrive.
La réalisation est anecdotique et même les acteurs ont pas l air d être impliqué, sauf harrelson qui tire son épingle du jeu ( expression de merde) , Winslet avait été très bonne dans Jobs la ca ressemble a de la caricature , je l ai vu en VF ca aide pas non plus mais l accent russe est a vomir.
En conclusion c est dommage le film avait un réel potentiel mais qui n est pas exploité la c est juste un polar de base et ne rivalise absolument pas avec HEAT .

6/10

[Mark Chopper]

Voilà, totalement d'accord.

[versus]

Soleil vert est un classique du film d'anticipation, le film date de 1973 et dresse une vision pessimiste du futur, ce qui fait la force de ce film c'est qu il n'a jamais etait autant d'actualité .
Le metrage se situe en 2022 et il est question de surpopulation, de rechauffement climatique, d'epuisement des ressources, lutte des classes...
La base du film est une enquete policiere suite à un meurtre dans la haute societé, Heston interprete un flic qui essaie de trouver le meurtrier ..j'ai trouvé l'enquete pas tres prenante, tout comme la fin assez expeditive.
Le fond du film par contre c est un sans faute et le perso d Heston nous ballade dans ce futur entre les pauvres qui sont entassés dans les rues, et les riches ou les femmes sont considerées comme des meubles a part entiere.
Cette vision tres noir surtout a cette epoque est tres en avance sur son temps , on est dans le anti spectaculaire mais le film frappe juste et fait reflechir.
Malgre quelques petits defaults , Soleil Vert merite largement son statut.