J'avais pas été autant transporté au cinéma depuis pas mal d'années
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Et au final je rapprocherais ça bien plus du Carnahan pour son récit/sa structure et également d'un Requiem pour un massacre pour un jusqu'au-boutisme dans la violence que du cinéma chiant/léthargique de Tarkovski ou de la poésie amoureuse d'un Malick mais si ça va piocher quelques plans furtifs/semblables chez les deux.
Rien de plus normal quand toute l'équipe technique de Malick est derrière la caméra de ce projet.
Même si j'y vois des faiblesses apparente comme les flash sur la femme placé de manière un peu tâtonnante et que Di Caprio qui n'a que deux lignes de texte à defendre se fait manger par Tom Hardy voir même le cast secondaire mais pendant + 2h j'ai souffert tout le long avec Di Caprio. L'empathie fonctionne à 100% pour son personnage.
Après ça n'aura probablement pas le même effet à la revoyure.
Mais à chaud j'ai trouvé ça aussi dur et éprouvant que terriblement beau. Tous des sauvages ça résume parfaitement le film ultra basique dans son propos mais ça m'a plus que les plus sauvages au final ça soit des français
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