[Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Modérateur: Dunandan

Re: [Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Messagepar Val » Mer 27 Jan 2016, 12:49

Tu as maté les Ettore Scola passés ces derniers jours du coup ?
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Re: [Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Messagepar Jed_Trigado » Mer 27 Jan 2016, 13:33

Pour Le bal, j'ai zappé au bout de 30 minutes pour mater Les Intouchables qui passait plus tard dans la nuit sur M6, j'ai pas gagné au change. :chut:

Et pour Une Journée Particulière, j'étais pas devant mon poste a ce moment-là.
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Re: [Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 27 Jan 2016, 16:47

Je viens de découvrir ta critique de Révélations. Content qu'il t'ai plu. Ça a longtemps été mon Mann préféré. Depuis que j'ai revu Heat, il est descendu d'un cran mais ça reste dans mon top 50 all time. Je l'aime d'amour celui là :love:
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Re: [Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Messagepar Val » Mer 27 Jan 2016, 16:58

Ouais, j'avoue que Le Bal ne me tentait pas trop.

Dommage pour Une Journée particulière, un vrai coup de coeur de 2015 perso.
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Re: [Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Messagepar Mr Jack » Mer 27 Jan 2016, 22:02

Dommage pour Une Journée particulière, un vrai coup de coeur de 2015 perso.


Je l'ai enregistré, celui là :super:
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I'm Gonna Git You Sucka - 7,5/10

Messagepar Jed_Trigado » Sam 30 Jan 2016, 14:24

I'm Gonna Git You Sucka - Keenen Ivory Wayans (1988)


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Ah ça c'est autre chose niveau poilade que Black Dynamite. :mrgreen:

Juxtaposant la parodie, l'hommage et le revival, I'm Gonna Git You Sucka est ce genre de film qui pue l'amour sincère d'un genre et de toute une culture par extension avec une touche 80's bien marrante. Loin de n'être qu'un enquillage de gags a la ZAZ (le concours de maqueraux avec Antonio Fargas est magique, on voit que c'est le type de Scary Movie derrière tout ça), il y a plein de citations a différents films (le clin d'oeil a Shaft a se pisser dessus :eheh:) et même une tentative intéressante de remettre le film dans le contexte de son époque, frôlant parfois le méta avec des anciennes gloires du ghetto, qui sont comme par hasard incarnés par des gueules légendaires de la blax' comme Isaac Hayes ou Jim Brown qui vont devoir reprendre les armes dans une société 80's où la notion du "cool 70's" et les causes de l'époque ont disparu (j'adore le passage chez le Black Panther avec ses deux gamins blancs racistes). C'est simple, jamais chiant, avec toujours des petites idées bien senties et ça le mérite de se tenir de bout en bout et mieux, de ne pas prendre de haut le genre qu'il se plait a moquer. Puis bon, un film où Steve James en clone raté de Bruce Lee corrige du flic sur fond de Kung-Fu Fighting, ça vaut le détour. :chut:

7,5/10


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Re: [Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Messagepar pabelbaba » Sam 30 Jan 2016, 14:49

:bluespit:

Ça se trouve où?
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: [Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Messagepar Jed_Trigado » Sam 30 Jan 2016, 14:51

Il me semble qu'il existe un z1 avec des sous-titres français.
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Re: I'm Gonna Git You Sucka - 7,5/10

Messagepar Jack Spret » Sam 30 Jan 2016, 15:15

Jed_Trigado a écrit:Ah ça c'est autre chose niveau poilade que Black Dynamite.


Oh ça va hein !!! :mrgreen:
Bien envie de le mater celui là, je connaissais pas du tout !


"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ?
- Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
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Plaisir (et ses petits tracas) (Le) - 3,5/10

Messagepar Jed_Trigado » Dim 31 Jan 2016, 16:09

Le Plaisir (et ses petits tracas) - Nicolas Boukhrief (1998)


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Second film de Nicolas Boukhrief, Le Plaisir (et ses petit tracas) fait figure d'oeuvre méconnue dans sa filmographie, pour cause il en parle souvent comme d'un truc passé inaperçu a sa sortie et dont il est pas spécialement fier, après on connait bien le monsieur pour avoir un regard très critique sur son travail du coup, j'ai eu envie de voir par moi-même le résultat final, j'en ai tiré la conclusion suivante : il est vraiment lucide et honnête. :mrgreen:

Pourtant, l'idée de départ est amusante et un vrai défi pour un scénariste talentueux comme lui avec une variation de la Ronde (que Meirelles avait aussi tenté avec bien plus de mérite avec 360 ou même le Slacker de Linklater), en gros, on suit un personnage qui va rencontrer un autre, cet autre qui va rencontrer encore une personne, jusqu’à former une chaine de personnages indirectement liés les uns aux autres. La chose marrante, c'est qu'ici tout tourne autour de l'acte sexuel et se voulait au final comme une allégorie du SIDA, si l'idée sur le papier se tient, elle est très mal explicitée et pire on sent la peine de Boukhrief a conclure son film de manière convenable (avec un emploi récurrent de Cassel en séducteur tueur de femmes qui fait figure de deus ex machina dès que le récit patauge), la faute a un très mauvais dosage des saynètes, les plus intéressantes sont finalement les plus courtes (en gros, toute la première demi-heure) et les moins bonnes sont paradoxalement les plus longues (mention spéciale pour toute la partie avec Michele Placido qui est d'une lourdeur). De plus, a trop vouloir s'éparpiller avec une galerie de personnages plus ou moins barrés, le caractère spontané et modeste qui fait la force de ce réalisateur se dissipe se cachant derrière la pancarte rassurante du "film générationnel", grâce notamment a un casting bien connoté (la doublette Kasso/Cassel est sympa ceci dit) et une ambiance techno-dance-machine qui touchera les nostalgiques. Pour le reste, il faudra se contenter de ça, néanmoins, ça me donne toujours envie de voir Va Mourire qui m'a l'air d'être un projet très personnel pour le coup.

3,5/10
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Comfort Women - 6/10

Messagepar Jed_Trigado » Dim 07 Fév 2016, 14:00

Comfort Women - Bruce Le (1992)


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Un ex-clone de Bruce Lee qui se reconvertit dans le cinoche d'exploitation qui dénonce, il y a de quoi être étonné, surtout quand il est le premier a évoquer un sujet très fort : celui des femmes de réconfort. Alors petit topo historique pour ceux qui ne sauraient pas de quoi il s'agit, c’était le terme hypocrite employé pour évoquer le système d'esclavage sexuel mis en place et encouragé par le Gouvernement Japonais suite au tollé du Massacre de Nankin en 1937 où les viols s'enchainaient et avaient choqué la communauté internationale, dès lors pendant 10 ans de nombreuses femmes kidnappées (essentiellement coréennes et japonaises) ou dupées par divers stratagèmes, vont assouvir les besoins sexuels des militaires au front dans le plus grand secret, un crime de guerre houleux qui n'a été reconnu que très récemment par le Japon suite a des pressions intempestives. Mieux vaut tard que jamais.

Derrière, Comfort Women fait partie du giron de la Category III, ce qui veut dire que le film ira franco sur les détails graphiques qu'ils soient violents ou sexuels, ce qui amenuise d'emblée la volonté de faire un film plus objectif et sérieux sur la question, car comme un film comme Camp 731, on sent le désir de revanche face a l'envahisseur japonais et du coup, il prend un malin plaisir a charger la mule avec plus ou moins de bonheur (bien que contrairement a Camp 731, j'ai trouvé le film moins malhonnête et haineux dans son approche car la majorité des persos présentés sont japonais) pour monter en épingle dans un climax vengeur jouissif que n'aurait pas renié le Tarantino de Django Unchained et Inglourious Basterds. Derrière la partie exploitation qui est bien menée (quoi que l'idée de la journaliste infiltrée comme fil conducteur de l'histoire, c'est pas tip-top) et son pathos qui est inévitable, Comfort Women perd des points parce que justement le sujet méritait mieux que ça, il y a tellement a dire sur la mise en place de cette pratique, les détails de leur fonctionnement (on parle très peu des normes sanitaires pointilleuses afin de ne pas contaminer les soldats) et surtout son démantèlement qui s'est fait bien après la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Au final, je serais de l'avis de Julien Sévéon, c'est un film historique médiocre mais un bis sympathique.

6/10
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Léon Morin, prêtre - 8,5/10

Messagepar Jed_Trigado » Mer 10 Fév 2016, 19:43

Léon Morin, Prêtre - Jean Pierre Melville (1961)


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En explorant progressivement la filmo de Melville, je me rends compte non seulement qu'il a de la ressource mais que finalement les films que j'ai le plus apprécié chez lui ne sont pas nécessairement ceux que l'on vante le plus. Léon Morin ne déroge pas a la règle, mais en abordant un sujet ultra-casse gueule qui aurait pu facilement tomber des travers accusateurs ou grossiers (qu'ils soient envers la religion ou même les occupants nazis), Melville développe une sensibilité et une profondeur inouïe tant dans sa vision d'un contexte historique tendu que dans la peinture de personnages opposés au départ mais qui au contact de l'autre vont fatalement changer leur nature. Première qualité du film, non des moindres, son script verbeux mais jamais en dépit du bon sens, rend accrocheur le récit à la fois par son sens du détail et sa capacité a nous faire réfléchir sur notre propre rapport a la spiritualité sans tomber dans le prosélytisme pro-catho, seconde qualité, l'acting est globalement très convaincant, Belmondo en tête qui n'aura jamais été aussi bien exploité que chez Melville dans ce rôle pas facile qui évite les clichés inhérents a ce genre de profession, il est jeune, compréhensif mais également pourvu d'un sens de l'esprit aiguisé qui donne du fil a retordre a cette coco d'Emmanuelle Riva, elle aussi bonne, malgré quelques passages qui sonnent faux dans sa diction, elle m'a fait oublier le calvaire qu'elle m'avait fait subir devant Hiroshima mon Amour et enfin, dernier point a retenir, une reconstitution vraiment crédible même si on sent qu'il y a pas eu un travail de fou non plus, les lieux de tournage sont vraiment bien choisis pour la peine, du coup l'immersion n'en est que plus réussie.

Tout ça pour dire que la découverte de Léon Morin a été une révélation, quelque part le film que j'ai toujours voulu voir sur la question de la foi, même si n’étant pas un religieux au sens strict du terme, j'ai développé ces dernières années un vrai intérêt pour cette question louable a une époque où l'Humanité se déchire pour des guerres de chapelles absurdes, alors qu'en réalité si on regarde bien et c'est dans ce sens que va Leon Morin : tous les chemins mènent a Dieu, qu'ils soient conscients ou inconscients, qu'on soit catho, juif ou musulman. En tout cas, je souhaite bien du courage a Nicolas Boukhrief pour son remake a venir, a défaut d'égaler ou surpasser son modèle, de réussir au moins a aller dans cette conclusion tout en apportant quelque chose de nouveau, car là pour le coup, je trouve le propos du film de Melville assez intemporel.

8,5/10
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Re: [Jed_Trigado] Mes critiques en 2016

Messagepar pabelbaba » Mer 10 Fév 2016, 20:19

Chouette critique! :super:
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Hanna K. - 7/10

Messagepar Jed_Trigado » Ven 12 Fév 2016, 18:44

Hanna K - Costa-Gavras (1983)


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S'il y a un débat qui fait couler encore beaucoup d'encre aujourd'hui, c'est bien la légitimité du conflit israélo-palestinien, qui dure maintenant depuis plus de 50 ans et pourtant rares sont les films qui ont abordés de front le sujet et ce par crainte de subir les foudres de la plupart des défenseurs d’Israël. Cela n'a pas empêché Costa-Gavras de se pencher sur la question en tournant son film sur les lieux du conflit tout en y imposant sa touche personnelle : si le cadre est politique, son propos lui est davantage centré sur l'humain avec une histoire de procès entouré d'un triangle amoureux qui constituer la majeure partie du film. Dès la première scène, le ton est donné, les Palestiniens sont bel et bien des victimes impuissantes qui se font lentement exproprier de leurs terres, pourtant derrière ça Hanna K ne tombe pas dans la diabolisation pure grâce a son personnage principal qui n'en garde pas moins des valeurs humaines et compréhensives envers le peuple de Palestine dont le sort s'apparente aux Indiens d'Amérique (il y a d'ailleurs, une scène assez forte où Hanna visite un pavillon de banlieue comme aux States où les gens ont carrément oublié le passé qui entoure l'endroit où ils vivent), derrière ça il est difficile d'ignorer le suprématisme latent de certains individus qui font froid dans le dos, mais étrangement la charge de Gavras est finalement plus modérée que je ne le pensais et moins impactante que d'habitude, sûrement a cause d'une caractérisation monolithique de ses personnages (Byrne est le gros salopard, Yanne le mari éconduit mais toujours sympa et le Palestinien est le bouc émissaire), qui sont pourtant le centre du film avec cette femme qui doit choisir entre son mari légitime ou son amant dont elle est enceinte, le problème c'est qu'elle donne jamais vraiment l'impression d'aimer le perso de Byrne et que derrière elle n'est pas insensibles aux avances de son mari qu'elle a pourtant lâché a plusieurs reprises sans raisons valables, c'est d'autant plus dommage car l'ami Franco Solinas a rempilé, c'est a croire que la partie politique l’intéresse davantage. De plus, pour la première fois, j'avoue avoir été déçu par une fin chez Gavras, celle-ci est non seulement précipitée, artificielle (en gros les quatre personnages principaux se réunissent pour régler leurs comptes comme si de rien n'était) et quand survient le plan final (excellent en soi), j'avais l'impression d'un film inachevé, qui n'a pas su aller au bout de son propos je trouve. Ceci dit, je suis dur, il fallait quand même des couilles pour aborder le sujet avec autant de franchise (d'ailleurs Gavras s’était bien fait taper sur les doigts a la sortie du film), les acteurs sont remarquables même Jean Yanne avec sa diction de beauf français s'en sort bien dans la langue de Shakespeare et il y a quelques scènes qui se démarquent du lot, notamment la longue scène de filature où Hanna arrive dans un village palestinien désert où on a droit a un bel échange avec son client palestinien sur le droit a revendiquer sa terre légitime.

Même si je pense que le film aurait pu aller plus loin dans la critique, au final Hanna K a choisi une approche mitoyenne qui aura le mérite d'objectivement incriticable de la part des deux camps, ce qui n'est déjà pas si mal.

7/10
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Haunted cop shop (The) - 7/10

Messagepar Jed_Trigado » Dim 14 Fév 2016, 20:11

The Haunted Cop Shop - Jeff Lau (1987)


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Encore un pitch bien golmon comme savent nous les pondre les Asiatiques : mélanger l'argument du Ghost Kung-fu avec celui du buddy movie, ça donne Haunted Cop Shop où un commissariat est le théâtre d'évenements surnaturels, le pourquoi et le comment ? On s'en fout car de toute façon, le scénar est sans queue ni tête et assure a fond sa débilité en enquillant les références a d'autres films comme Shining, Le Bal des Vampires ou même les ghost kung fu comedy de Sammo Hung, les gags absurdes qui débitent a une vitesse folle et un casting idéal pour ce genre de film (Ricky Hui, je le kiffe a fond avec sa tronche chelou :eheh:). Le résultat est d'autant plus surprenant que Jeff Lau est loin d'être un foudre de guerre, mais on est plus proche de son Treasure Hunt que du Roi Singe en termes d'inspiration mais c'est surtout la présence improbable d'un Wong Kar Wai (ici scénariste) qui n'était pas encore le cinéaste reconnu d'aujourd'hui, s’atteler au registre de la comédie et sans vouloir surinterpréter les choses, je trouve qu'on sent bien la patte du bonhomme ne serait-ce que dans son détachement a garder un fil conducteur bien défini, il écrit comme ça lui chante, au gré de ses idées et si le résultat déroutera le moins aguerri des spectateurs du ciné HK, je trouve que ça cela ajoute en profusion au résultat final, on a pas le temps de tout comprendre, mais on s'en fiche pour mieux enquiller les passages funs ou rigolo avec en morceau du roi, une scène de baston avec Chung Fat contre des vampires d'opérette qui finit de manière inattendue et brutale. En conclusion, c'est un bon petit film, bien con, bien fun et bien troussé, en plus j'ai vu qu'il y a une suite tournée l'année suivante avec la même équipe, je vais me faire ça sous peu ! :bluespit: :eheh:

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