[Alegas] Mes Critiques en 2015

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar comICS-soon » Ven 27 Nov 2015, 18:06

Putain toujours les mêmes méchants qui veulent voler des technologies pour régner sur le monde et se faire de la thune. Et en face le gentil looser qu'on choisit pour être l'élu et qui se retrouve accompagné par ses potes teubés. Sérieux ça me gonfle, j'en peux plus de ces films. Et pourtant comme tu le dis y a un côté plaisant, ça sort un peu du cadre habituel, l'humour potache fonctionne un peu. Mais rien à faire, je ne supporte plus ces trucs prévisibles à outrance, cette narration balisée et insignifiante. Je me fais chier et pourtant je les mates quasi tous ces trucs c'est dingue.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Ven 27 Nov 2015, 19:03

Tu es devenu aigri 8)
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Ven 27 Nov 2015, 19:05

Quand même demander au clone de Yannick Dahan de jouer le bad guy, ça mérite d'être souligné. :chut:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Ven 27 Nov 2015, 20:05

Je n'étais donc pas le seul à y avoir pensé. :chut:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Peter Ibbetson - 7,5/10

Messagepar Alegas » Ven 27 Nov 2015, 22:52

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Peter Ibbetson de Henry Hathaway
(1935)


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Très surpris par ce film dont j'ignorais encore totalement l'existence il y a quelques semaines. Il aura fallu un tweet de Rafik Djoumi expliquant que ce film est l'un des films préférés de Peter Jackson, en plus d'être une influence visible, pour titiller ma curiosité, et à l'arrivée je ne peux que m'incliner : non seulement le lien avec un certain pan sentimental du cinéma de Jackson me paraît indéniable, mais c'est aussi l'un des films les plus brillants de la décennie 30's qu'il m'ait été donné de voir. Pourtant, dès le début du métrage, ça ne paye pas forcément de mine : on se retrouve devant une histoire d'amour sur deux être séparés au cours de leur tendre enfance, un récit dont on devine plutôt bien la conclusion mais c'est là où Peter Ibbetson se révèle brillant, puisqu'il est l'un des rares films du genre à brouiller constamment les pistes. Que ce soit dans l'identité de la jeune femme à retrouver, dans la façon dont il vont se reconnaître, ou encore tout simplement dans la conclusion ultime qui leur permettra peut-être d'être ensemble à jamais, le film d'Hathaway est une œuvre unique en son genre qui transcende les codes du film romantique pour mieux les retrouver au cours d'un dernier acte lorgnant vers la tragédie.

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Certains reprocheront sûrement au métrage son manque d'enjeux (il est simplement question de savoir si l'homme et la femme finiront ensemble et si oui, comment) mais cette simplicité fait justement toute la force d'un film qui se nourrit davantage de son duo (charismatique Gary Cooper) et de sa puissance évocatrice, la preuve ultime étant la dernière demi-heure qui fait preuve d'un savoir-faire visuel éblouissant (ça doit être formellement le plus beau film pré-40's avec L'Aurore de Murneau) pour mieux passer l'idée d'un certain mysticisme (qui m'a un poil gêné, mais je pense que ça passera mieux à la seconde vision) qui a certainement été l'une des influences principales pour le Lovely Bones de Jackson. Forcément, vu la nature presque fantastique dans laquelle tend la dernière partie du métrage, on pense évidemment au futur L'aventure de Mme Muir de Mankiewicz avec lequel il partage grosso modo la même finalité, et c'est là encore que Peter Ibbetson surprend : se rendre compte qu'un film romantique des 30's arrive à exploser ce qui a pu se faire depuis dans le genre en terme d'originalité, ça fait tout drôle. Un très beau film trop méconnu, qui mérite clairement le coup d’œil.


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"- Cric
- Crac"


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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Val » Sam 28 Nov 2015, 00:26

Cool de mettre ce film en avant, j'avais beaucoup aimé moi aussi cette oeuvre surprenante pour l'époque. :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Milkshake » Sam 28 Nov 2015, 16:06

Clair je connaissais pas ce film, ça donne envie de le voir. :super:

Me rend compte que j'ai pas vu grand chose de la longue filmo de Henry Hathaway.
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Funambule (Le) - 7,5/10

Messagepar Alegas » Lun 30 Nov 2015, 00:02

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Man on wire (Le Funambule) de James Marsh
(2008)


Après la déception que fut The Walk, j'avais envie de me refaire ce documentaire ma foi plutôt réussi. Cette vision m'a appris non seulement que je n'avais jamais vu ce documentaire en entier, mais surtout que Zemeckis a bel et bien voulu faire une adaptation quasi-totale de ce film, en y incorporant des bonnes idées certes, mais en ratant le propos même de son film, puisque le documentaire de James Marsh, lui, ne cherche jamais à trouver une raison aux fantasmes funambules de Petit. Alors clairement, ce documentaire n'est pas ce qui peut se trouver de mieux formellement, on sent que c'est un petit budget et surtout que ça fonctionne avec le peu d'images d'archives existantes sur le sujet. Néanmoins, Marsh arrive à transcender ce défaut pour proposer un film très intimiste qui parle bien plus de la préparation que de ce qui a précédé dans la tête de Petit. Man on wire me confirme bien que là où Zemeckis échouait en partie, c'était clairement dans sa quête de trouver un sens logique aux fameux acte, alors que Marsh sait très bien qu'il n'y a aucune façon de correctement justifier ça auprès du public. On entre donc dans le vif du sujet, et même si certains intervenants sont difficilement objectifs (il suffit de voir la façon dont sa compagne de l'époque le décrit durant la traversée) la plupart sont sacrément intéressants, Petit en tête qui communique un état d'esprit unique à l'ensemble du métrage (et qui prouve par ailleurs que Gordon-Levitt est loin de surjouer le rôle). Difficile de dire que les deux œuvres sont complémentaires au final, puisque Man on wire se révèle clairement le plus intéressant tout en choisissant l'angle de traitement le plus pertinent, à savoir celui de l'intimiste au profit du spectacle.


7,5/10
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Hobbit : Un voyage inattendu (Le) - 8/10

Messagepar Alegas » Lun 30 Nov 2015, 22:59

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The Hobbit : An Unexpected Journey (Le Hobbit : Un Voyage inattendu) de Peter Jackson
(2012)


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"-Good morning.

-What do you mean? Do you mean to wish me a good morning or do you mean that it is a good morning whether I want it or not? Or perhaps you mean to say that you feel good on this particular morning. Or are you simply stating that this is a morning to be good on?

-All of them at once, I suppose."



Presque dix ans après la trilogie The Lord of the Rings, Peter Jackson se retrouve à la barre de l'adaptation du Hobbit de Tolkien, préquelle contant les aventures de Bilbon dans un récit qui pose plus ou moins les bases de la fameuse trilogie. Une préquelle que Jackson ne souhaitait surtout pas réaliser, il suffit de lire certaines interviews de fin de tournage de Lord of the Rings où le réalisateur énonçait clairement son refus, de peur de tomber dans une nouvelle entreprise aussi grande que celle qu'il venait de terminer. Un choix compréhensible de la part d'un réalisateur venant initialement du petit budget, mais un choix qui se verra finalement contredit par une suite de situations d'urgence. Problèmes de droits empêchant le lancement en production, départ de Sam Raimi (ami de Jackson qui l'avait aidé à boucler certaines scènes de la trilogie) puis de Guillermo Del Toro du poste de réalisateur, problèmes financiers du côté de la MGM, autant de situations qui feront que Jackson, scénariste et producteur du film, devra prendre le poste de réalisateur sans avoir réel d'autre choix, afin de sauver le projet. Obligé de repenser tout le film afin de ne pas faire des films du Del Toro réalisé par Jackson, ce dernier n'aura finalement qu'une année de pré-production avant de se lancer dans le tournage, là où il avait eu trois ans pour la précédente trilogie. Une précipitation compréhensible (le projet coûtait déjà assez cher et se devait d'être lancé au plus vite tout en étant rentable) mais qui finira par aboutir à la trilogie du Hobbit, qui sera une réussite financière, mais qui ne convaincra pas autant qu'avait pu le faire The Lord of the Rings à son époque.

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Forcément, l'adaptation d'un livre comme The Hobbit allait forcément donner du fil à retordre. Après le succès de Lord of the Rings, comment adapter correctement ce qui est initialement un conte pour enfants tout en gardant une cohérence visuelle et thématique avec la-dite trilogie ? Cette question aura d'abord trouvé une réponse sous la forme d'un diptyque, puis d'une trilogie annoncée en cours de tournage. Un choix très surprenant vu l'épaisseur du livre original, qui fait plus penser à un coup des producteurs, soucieux de rentrer dans leurs frais, que d'un choix délibéré de Jackson, qui annonçait pourtant avoir assez de matériel scénaristique pour rendre cela possible. Il en découle une adaptation plutôt libre donc (on approfondit beaucoup sur le destin de Thorin, ce qui donne par ailleurs une storyline très réussie, sur le danger de Dog Guldur, mais aussi sur Azog, personnage absent du livre), mais néanmoins fidèle dans l'esprit de ce que Tolkien avait pu écrire. Jackson joue donc en permanence entre l'ambiance du conte et la noirceur que pouvait avoir The Lord of the Rings, pour un mélange plutôt réussi mais indéniablement différent de la première trilogie. Humour beaucoup plus présent, enjeux plus simples (surtout dans ce premier volet où il n'est quasiment question que de récupérer un royaume), personnages plus cartoonesques (cette chanson de gobelins qui renvoie directement à Meet the Feebles), un tout qui donne forcément sous la direction de Jackson un aspect de roller-coaster où le danger fait place au spectacle pour le spectacle.

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Ce qui aurait pu être raté chez un autre réalisateur devient génial chez Jackson, car s'il y a bien une chose de réussie dans ce film (ainsi que dans les opus suivants mais j'en parlerais en temps voulu) ce sont les séquences d'action. Jackson l'avait déjà prouvé avec son King Kong, il a peu d'équivalent quand il s'agit de signer une séquence d'action visuellement virtuose et ludique dans sa façon de jouer avec l'environnement. On a donc ici une heure entière en guise de climax où ça ne s'arrête quasiment jamais, avec notamment une course-poursuite dans les grottes des Monts Brumeux où l’œil du spectateur est sans cesse requis pour faire attention à une multitude de péripéties. Sur ce point, et malgré sa durée forcément too much (un défaut récurrent chez Jackson), le film fait son boulot de blockbuster et le fait très bien. On pourra toujours dire que le rythme est inégal (il est vrai qu'avant d'arriver à Rivendell, ça fonctionne en dent de scie) ou que Jackson loupe le coche de certaines séquences (les énigmes dans le noir, LA séquence la plus dure à retranscrire puisque duel verbal de plusieurs minutes avec deux personnages face à face), mais le fait est que An Unexpected Journey s'avère être un opus particulièrement plaisant, quand bien même il n'atteint que rarement la qualité de la trilogie Lord of the Rings (même les actes de fan-service n'améliorent pas ce point).

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Visuellement c'est magnifique, effets visuels éblouissants (Gollum et le Roi Gobelin sont aisément deux des personnages virtuels les plus réussis créés jusqu'ici), direction artistique à tomber (le prologue est un festin pour les yeux à ce niveau là, et chacun des nains se voit posséder une véritable identité visuelle, ce qui était loin d'être évident), mais néanmoins on pourra reprocher à Jackson sa volonté d'opter pour le numérique ainsi que pour le tournage presque entièrement en studio. Si l'un peut facilement s'expliquer (moins coûteux et permettant l'utilisation du HFR 3D : LA meilleure façon de voir cette trilogie), l'autre est sans doute l'un des effets de la rapide pré-production. Du coup, d'un point de vue purement visuel, le film marque clairement une rupture avec la première trilogie qui carburait énormément au décor naturel. Certes, on trouve quelques beaux paysages de la Nouvelle-Zélande par moment, mais pour le reste les décors, bien que réussis, ne donnent jamais l'impression d'évoluer dans le même univers. Volonté de Jackson de signer quelque chose de foncièrement différent ? Pourquoi pas, mais cela dénote forcément avec l'intention première de la trilogie : se lier aux films précédemment faits.

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Côté musique, Howard Shore rempile, et autant je n'avais absolument rien à redire sur chacune des compositions de Lord of the Rings, autant son travail est beaucoup plus passe-partout sur cet opus, moins mémorable, et ce malgré un super thème principal qui, hélas, pour des raisons que j'ignore, sera abandonné dans les deux films suivants. L'ambiance sonore est bien là, mais il suffit d'entendre le thème des Nazguls réutilisé sans aucune raison pour comprendre que même du côté de Shore, il y a dû avoir une certaine pression de temps. Enfin, côté casting, c'est une vraie surprise puisque la présence de Martin Freeman en Bilbo fonctionne à merveille alors que ce n'était pas forcément le choix le plus évident. Quand à Richard Armitage, c'est de loin LA révélation de la trilogie. Un personnage certes moins charismatique qu'un Aragorn, mais qui envahit toujours l'écran de sa présence. Ce début de trilogie (ou la trilogie tout court) qui sent bon l'aventure aura beau avoir ses détracteurs, reste que voir un film aussi reluisant et maîtrisé naître d'une production aussi chaotique force le respect envers Jackson, qui sait clairement porter de tels projets à bout de bras. Certes, le fossé avec The Lord of the Rings est là, mais Jackson n'oublie pas l'essentiel : conserver ce qui fait la force du livre original tout en livrant un pur spectacle où le budget se voit à chacun de plans.


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"-You'll have a tale or two to tell of your own when you come back.

-Can you promise that I will come back?

-No. And if you do... you will not be the same.


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8/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar lvri » Mar 01 Déc 2015, 07:08

Belle critique ! :super:
Version longue ou courte ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Mar 01 Déc 2015, 08:22

Version longue, j'attendais justement de tous les avoir vu dans cette version avant de m'atteler aux critiques. Autant celles du 1er et 2nd peuvent sembler anecdotiques (mais sympathiques), autant celle du 3ème est juste monstrueuse.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar lvri » Mar 01 Déc 2015, 08:28

J'hésite vraiment à prendre le coffret des 3 versions longues. Niveau bonus c'est intéressant ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Mar 01 Déc 2015, 08:33

Ah bah les bonus c'est du niveau du SDA : des heures et des heures d'explications sur le tournage et chaque étape de la production, et souvent sans langue de bois. Si en effet t'es du genre à mater les bonus, les versions longues sont à privilégier.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar lvri » Mar 01 Déc 2015, 08:45

Je vais peut être me laisser convaincre alors ! :super:
Merci !
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Mar 01 Déc 2015, 10:54

BILAN NOVEMBRE 2015


Films vus :

Moyenne générale : 7,21

USA : 20
UK : 4
France : 2
Espagne : 1
Italie : 1
Japon : 1

223 : Black Sea, Kevin Macdonald, 2014, Truc VOSTA : 7/10
224 : French Connection 2, John Frankenheimer, 1975, Truc VOST : 7/10
225 : The Walk, Robert Zemeckis, 2015, Ciné VOST 3D : 6,5/10
226 : Regression, Alejandro Amenábar, 2015, Ciné VOST : 7/10
227 : Ronin, John Frankenheimer, 1998, Truc VOST : 6,5/10
228 : Skyfall, Sam Mendes, 2012, Ciné VOST : 9/10
229 : Il Conformista, Bernardo Bertolucci, 1970, Ciné VOST : 6,5/10
230 : V for Vendetta, James McTeigue, 2006, Blu-Ray VOST : 8,5/10
231 : Spectre, Sam Mendes, 2015, Ciné VOST : 5/10
232 : The Blues Brothers, John Landis, 1980, Ciné VOST : 9/10
233 : Badlands, Terrence Malick, 1973, DVD VOST : 6,5/10
234 : Man of Steel, Zack Snyder, 2013, Blu-Ray VOST : 7,5/10
235 : Snow falling on cedars, Scott Hicks, 1999, Truc VOSTA : 5/10
236 : Hitchcock/Truffaut, Kent Jones, 2015, TV VOST : 4/10
237 : The Virgin Suicides, Sofia Coppola, 2000, Blu-Ray VOST : 6/10
238 : Blade Runner, Ridley Scott, 1982, Ciné VOST : 8/10
239 : Le Septième Juré, Georges Lautner, 1962, Truc VF : 8/10
240 : Fantastic Four, Josh Trank, 2015, Truc VOST : 4/10
241 : Ant-Man, Peyton Reed, 2015, Truc VOST : 6/10
242 : Peter Ibbetson, Henry Hathaway, 1935, Truc VOST : 7,5/10
243 : Man on wire, James Marsh, 2008, Truc VOST : 7,5/10
244 : The Hobbit : An Unexpected Journey, Peter Jackson, 2012, Blu-Ray VOST : 8/10
245 : The Boy and the Beast, Mamoru Hosoda, 2015, Ciné VOST : 7,5/10
246 : Duel, Steven Spielberg, 1971, Blu-Ray VOST : 8/10
247 : The Good Dinosaur, Peter Sohn, 2015, Ciné VOST : 7/10
248 : The Hobbit : The Desolation of Smaug, Peter Jackson, 2013, Blu-Ray VOST : 7/10
249 : The Hobbit : The Battle of the Five Armies, Peter Jackson, 2014, Blu-Ray VOST : 8/10
250 : Knight of Cups, Terrence Malick, 2015, Ciné VOST : 6/10
251 : The Village, M. Night Shyamalan, 2004, DVD VOST : 8,5/10


Découverte du mois :

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Autres découvertes marquantes :

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