Voilà comment Gaspar traite ses actrices, un vrai gentleman, sisi c'est bien lui sur la jeune femme et il le fait pas que 1 fois durant le film. Il réalise son rêve.
Vous êtes prévenus.
Love de Gaspar Noé
Le truc le plus affligeant que j'ai vu cette année je dirais même l'un des pire films que j'ai jamais vu. Pourtant cette année j'ai vu American Ultra, 4 Fantastiques, Terminator.... mais là ce truc est indéfendable.
Déjà que j'ai toujours trouvé le fond des films du réal répugnant, raccoleur et provocateur à deux balle au possible digne d'un ado attardé qui n'a que cet argument pour faire parler de lui à Cannes et espérer vendre son film pour attirer 3 pèlerin, au moins le travail de son chef op Benoît Debie venait sauver le fond de ses précédent films avec qui il livrait parfois des moment d'éclat purement technique.
Là fini la caméra en mouvement certainement car ils ont eu la très mauvaise idée de shooter avec des grosse caméra en 3D alors que le filon 3D est mort depuis déjà depuis quelques années. Il y a plus aucune idée de mise en scène, il suffit pas de mettre une lumière/filtre rouge ou des flash stromboscopique pour faire un film, il faudrait déjà avoir quelque chose d'intéressant à filmer.
Sinon Noé a enfin réalisé son rêve qui l'obsède depuis des décennies faire un film de cul sur grand écran sauf que c'est plus mal écrit et interprété (faut voir la Miss lead s'exprimer durant le film) qu'un film de cul lambda et tout ça sans scène de sexe intéressante un comble d'autant plus qu'on en a droit toutes les 10 minutes. Il faut le faire et ne pas avoir honte de sortir ça au cinéma.
La voix off et ces dialogues on dirait que c'est écrit par un gamin de 10 ans qui étale ses trois références dans la vie : le cul, le sperme, la loi de murphy (le héro se nomme Murphy), 2001 l'odyssé (dialogue qui sort de nulle part "C'est quoi ton film préféré" Scary movie like), accessoirement plein de poster de film tordu en fond dont Salo et citation de ses propres films avec des plan à l'identique de Enter The Void une bite en CGI dans un vagin ou l'hotel de son précédent film en miniature. Le comble du narcissime le fils du héro forcément s'apelle Gaspar.
Le cas typique du réal qui ne fait un film que pour lui sans jamais penser au spectateur, de la pure branlette comme le plan d'intro du film. Encore plus fort que l'intro mastubatoire de Jauja avec Mortensen.
Et la relation amoureuse qui se résume à aller en club échangiste et voir un travelo
putain faut vraiment avoir pris trop de drogue dans sa jeunesse et fréquenter constamment les coin les plus glauque de Paris pour claquer plusieurs millions pour filmer ça à 50 piges. En plus ça touche des aides du CNC pour cela... ça en devient honteux.
Pour vous montrer à quel point le mec à touché le fond, déjà il faut être sacrément tordu pour inviter son propre producteur Vincent Maraval nous faire les louanges de l'échangisme face caméra mais en plus Noé lui même qui vient se ridiculiser avec une perruque en s'offrant un rôle encore plus pathétique que tout son film.
Plus jamais je m'infligue un film de ce type. Cela mérite juste une note négative afin de prévenir tout le monde de ne pas subir cette chose.
0/10