![Shocked :shock:](https://www.bekindreview.fr/forum/images/smilies/icon_eek.gif)
Mais WTF je pige rien !
Modérateur: padri18
Attentats de Paris : un vol qui inquiète à l'hôpital Necker
Des combinaisons de protection pour lutter contre des agents chimiques ont été dérobées, au moment où se précise la menace de ce type d'attaques.
Publié le 21/11/2015 à 14:24 - Modifié le 21/11/2015 à 15:16 | Le Point.fr
Des combinaisons de protection étanches, semblables à celles utilisées pour lutter contre le virus Ebola et permettant de se protéger contre des agents chimiques, ont été dérobées dans l'hôpital Necker, à Paris. Un vol qui inquiète les autorités. Des combinaisons de protection étanches, semblables à celles utilisées pour lutter contre le virus Ebola et permettant de se protéger contre des agents chimiques, ont été dérobées dans l'hôpital Necker, à Paris. Un vol qui inquiète les autorités.
C'est un vol qui provoque l'inquiétude. Une dizaine de tenues résistantes aux agents chimiques, une trentaine de bottes en polyéthylène, des gants et des masques antibactériens ont « disparu » cette semaine de l'hôpital pédiatrique Necker, situé dans le 15e arrondissement de Paris, révèle Le Parisien dans son édition du samedi 21 novembre. Des combinaisons semblables à celles utilisées pour traiter le virus Ebola.
Selon la direction de l'hôpital, elles étaient situées dans un local sécurisé, mais auquel aurait accès « beaucoup de monde pour l'approvisionnement en matériel courant ». La disparition a été constatée mercredi matin, et l'hôpital a déposé une plainte.
Le maire du 15e arrondissement, Philippe Goujon (Les Républicains), fait part de son inquiétude. « Après les déclarations alarmistes du Premier ministre sur d'éventuelles attaques chimiques, c'est forcément inquiétant. » Jeudi, devant l'Assemblée, Manuel Valls a fait part d'un nouveau risque. « Je le dis bien sûr avec toutes les précautions qui s'imposent, mais nous le savons, et nous l'avons à l'esprit, il peut aussi y avoir le risque d'armes chimiques ou bactériologiques. »
Une déclaration d'autant plus inquiétante que, selon les services de renseignements français, cités par plusieurs médias, Daesh est capable de fabriquer du gaz moutarde. Par le passé, le groupe terroriste État islamique a déjà utilisé des armes chimiques, en Syrie notamment.
Inquiétude avant la COP 21
Lundi 16 novembre, trois jours après les attentats de Paris, un décret a été publié au Journal officiel. Il permet au Service des armées d'approvisionner les services d'aide médicale urgente en sulfate d'atropine. Une substance qui est le seul antidote permettant de traiter les personnes au contact du gaz sarin notamment.
Le texte évoque la nécessité de « prendre toute mesure utile en cas d'exposition d'un nombre potentiellement important de victimes». La publication de ce décret, à quinze jours à peine du début de la COP21, illustre l'inquiétude des autorités autour de l'organisation de cet évènement mondial. Une mesure d'urgence, alors que le délai est trop court pour que les laboratoires aient le temps de fabriquer des quantités suffisantes d'antidote.
A propos de Jawad Bendaoud
Il a beau avoir follement amusé les internautes avec ses déclarations un brin surréalistes, Jawad Bendaoud n'a rien d'un boute-en-train. Comme le révèle lundi «Le Figaro», le jeune homme fait régner depuis plusieurs années un climat de terreur dans son quartier de Saint-Denis. Le caïd aurait d'ailleurs déjà fait l'objet de nombreuses plaintes déposées par le voisinage, notamment pour violences verbales. Un profil sombre, qui explique pourquoi sa garde à vue se prolonge autant.
En 2008, Bendaoud avait été condamné à huit ans de prison pour avoir tué à coups de hachoir un adolescent de 16 ans, «son meilleur ami» de l'époque. Le meurtre était survenu rue du Corbillon, où s'est également déroulé l'assaut le 18 novembre dernier. Les enquêteurs pensent qu'Abdelhamid Abaaoud, le cerveau présumé des attentats de Paris, avait négocié avec Bendaoud le mardi 18 novembre pour obtenir ce logement. «Il est à la fois bête, violent et dangereux», résume la maire de Saint-Denis dans «Le Figaro».
Un homme de main
Selon le quotidien français, Bendaoud est devenu un «chef de rue» dans son quartier depuis sa sortie de prison, en 2013. Il serait également devenu l'homme de main de trois frères, «marchands de sommeil notoires» et propriétaires de deux autres appartements dans l'immeuble où s'est déroulé l'assaut. Ces trois individus chargaient Bendaoud de leur trouver des locataires au noir et payant en liquide, parce qu'ils n'ont plus le droit de louer ces logements. L'homme sélectionnait alors des sans-papiers, des trafiquants, des toxicomanes ou des gens en détresse et les plaçait temporairement dans ces appartements.
A noter que les 70 occupants, dont 28 enfants, de l'immeuble où s'est déroulé l'assaut le 18 novembre ont été temporairement relogés dans une salle de gymnastique. La ville de Saint-Denis a demandé à l'Etat de se charger de leur relogement «le plus vite possible».
source BFMLa Turquie a abattu un avion militaire russe près de sa frontière avec la Syrie
Moscou a confirmé qu'un appareil Su-24 de l'armée russe a été abattu mais assure être en mesure de prouver que l'espace aérien n'a pas été violé. La Turquie a saisi l'Otan et l'ONU.
L'aviation turque a abattu mardi un avion militaire russe qui avait violé son espace aérien près de sa frontière avec la Syrie, a annoncé la Turquie. Moscou a confirmé qu'un appareil Su-24 de l'armée russe a été abattu mais assure être en mesure de prouver que son appareil "se trouvait exclusivement dans l'espace aérien syrien", selon le ministère de la Défense.
Les chaînes d'information NTV et CNN-Türk ont diffusé des images de la chute d'un avion militaire en feu s'écrasant dans les montagnes proches de la frontière turque, en face de la province de Hatay (sud). Les deux pilotes de l'avion se sont éjectés.
La Turquie a décidé de saisir l'Otan, dont elle est membre, et l'ONU, sur instruction du Premier ministre Ahmet Davutoglu.
Des incidents entre la Turquie et la Russie depuis le début de l'intervention russe
Depuis le début de l'intervention militaire russe aux côtés du régime du président Bachar al-Assad fin septembre, les incidents de frontière se sont multipliés entre Ankara et Moscou.
Le 3 octobre dernier, des chasseurs turcs avaient intercepté un avion militaire russe engagé en Syrie qui avait violé leur espace aérien et l'avaient forcé à faire demi-tour. Moscou avait alors mis en cause les "mauvaises conditions météo". L'armée turque avait également abattu le 16 octobre un drone de fabrication russe qui avait pénétré dans le ciel turc.
La tension entre les deux pays s'est encore accrue ces derniers jours, après une série de bombardements russes qui ont, selon Ankara, visé des villages de la minorité turcophone de Syrie. La Turquie a convoqué vendredi l'ambassadeur russe pour le mettre en garde contre les "sérieuses conséquences" de cette opération.
Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 49 invités