Goldfinger
Do you expect me to talk ?
No, Mr. Bond, I expect you to die !
No, Mr. Bond, I expect you to die !
La saga s'améliore doucement, et nous offre un troisième film plutôt sympa, mais toujours bourré des mêmes défauts.
Sean Connery est de plus en plus à l'aise dans son costume d'agent secret, et l'arrivée de l'Aston Martin et de vrais "cadeaux" de la section Q fait plaisir à voir. Sans compter évidemment que Goldfinger est le premier James Bond qui nous offre un générique d'ouverture chanté !
Côté méchant, ça passe mieux que l'épisode précédent. Bon certes, on a toujours droit à quelques petites choses ridicules (Oddjob et son chapeau qui tue notamment), mais bon, ça passe quand même. Côté James Bond Girl, on retiendra surtout le plan iconique de la pauvre secrétaire de Goldfinger allongée nue sur son lit, le corps recouvert d'or. Les deux autres seront complètement opposées. La soeur de la secrétaire qui ne sait pas viser et qui ne sert à rien. Et l'autre, un peu trop énervée et qui tombera sous le charme de 007 après que celui-ci la jette dans le foin avant de la forcer légèrement à se soumettre. D'ailleurs, on remarque que le Bond des années 60 est un gros macho avec peu de considération pour les femmes au final. En début de film, le claquage de fesses accompagné d'un "laissez nous entre homme"(à peu de choses près) est assez évocateur de l'époque au final.
Goldfinger n'est pas trop différent de ces deux prédécesseurs sur beaucoup de points, notamment sur le rythme. Néanmoins, même si l'ennui vient nous cueillir de temps en temps, on réussit à suivre l'histoire sans trop bailler. On reste toujours proche d'un sourire ici ou là devant certaines scènes un peu ridicule, mais bon, le film passe bien, et reste meilleur que ces deux prédécesseurs.
Sean Connery est de plus en plus à l'aise dans son costume d'agent secret, et l'arrivée de l'Aston Martin et de vrais "cadeaux" de la section Q fait plaisir à voir. Sans compter évidemment que Goldfinger est le premier James Bond qui nous offre un générique d'ouverture chanté !
Côté méchant, ça passe mieux que l'épisode précédent. Bon certes, on a toujours droit à quelques petites choses ridicules (Oddjob et son chapeau qui tue notamment), mais bon, ça passe quand même. Côté James Bond Girl, on retiendra surtout le plan iconique de la pauvre secrétaire de Goldfinger allongée nue sur son lit, le corps recouvert d'or. Les deux autres seront complètement opposées. La soeur de la secrétaire qui ne sait pas viser et qui ne sert à rien. Et l'autre, un peu trop énervée et qui tombera sous le charme de 007 après que celui-ci la jette dans le foin avant de la forcer légèrement à se soumettre. D'ailleurs, on remarque que le Bond des années 60 est un gros macho avec peu de considération pour les femmes au final. En début de film, le claquage de fesses accompagné d'un "laissez nous entre homme"(à peu de choses près) est assez évocateur de l'époque au final.
Goldfinger n'est pas trop différent de ces deux prédécesseurs sur beaucoup de points, notamment sur le rythme. Néanmoins, même si l'ennui vient nous cueillir de temps en temps, on réussit à suivre l'histoire sans trop bailler. On reste toujours proche d'un sourire ici ou là devant certaines scènes un peu ridicule, mais bon, le film passe bien, et reste meilleur que ces deux prédécesseurs.
6.25/10