[Milkshake] Mes critiques en 2015

[Alegas]

The King of New York de Abel Ferrara

Totale redécouverte du film souvent cité comme la plus grande réussite de son auteur et certainement son film le plus populaire, je l’ai certainement vu dans de mauvaise conditions il y a longtemps, là je dois avouer j’ai été accroché jusqu’au bout par l’ambiance concocté par Ferrara pourtant j’avais un vague souvenir d’un film ultra basique à l’attitude caricaturale dans son approche gangster.

Alors oui niveau écrite, c’est loin d’être scotchant, le scénario de Nicholas St. John (qui a écrit tous les Ferrara de ses débuts jusqu’à Nos Funerailles) est même le gros point faible du film (par exemple la mafia chinoise torché en 2 scènes), comme cela a toujours été le cas dans la filmo de Ferrara qui fait essentiellement de la petite série B d’à peine 1h30 qui coute pas chère du coup liberté totale ou il peut assouvir ses envies souvent lourdingues de parabole christique et de soirées de débauche.

Là on n’échappe pas aux filles en petites tenu et aux plans sur un ange (la vierge marie ?) mais cet érotisme religieux reste bien dosé vu que c’est une commande, Ferrara se doit d’être efficace (pas de longue séquence qui traine pour rien comme dans ces derniers films) on a la certainement film le mieux rythmé de sa carrière, le plus généreux en action, étonné de voir un body count aussi élevé et une longue course poursuite savamment orchestré . Ferrara n’a plus jamais fait cela par la suite de sa carrière dommage. La composition des plans est vraiment travaillée ici, peut être son travail formel le plus abouti, on a des plans de grues, des gros plan sur les regards bien pensé.

Le film vaut essentiellement pour son ambiance crasseuse porté par les looks fin 80’s et une bande son hip-hop, tous les murs du film sont en décomposition magnifié par le superbe travail photo de Bojan Bazelli et surtout un Christopher Walken toujours aussi magnétique parfaitement à l’aise dans son rôle de gangster, il faut le voir nous faire un pas de danse à la Michael Jackson alors qu’il vient à peine de sortir de prison (séquence d’intro muette inspiré) sans que ça semble ridicule, les plans ou il scrute de loin l’horizon New-Yorkais sont à tomber, ses 2/3 scènes de discours sur le temps perdu et son éthique sont délivré avec une telle intensité touchante qu’on voudrait que tout le film ne tourne qu’autour de lui. Un immense d’acteur qui aurait mérité d’être de tous les plans.

Du mal à comprendre l’intérêt de toutes les scènes autour des flics qui n’apporte pas grand-chose à l’exception de ce superbe duel final dans le métro final rappelle forcément Collateral. A noter aussi un Laurence Fishburne on fire, la prestation la plus impliqué de sa carrière alors que son personnage comme tous les seconds couteaux sont écrit de manière un peu caricaturale mais ça passe, on y retrouve plein de tête connu tout jeune : Wesley Snipes, Steve Buscemi, David Caruso, Gustavo de Breaking Bad....

On attendra peut être toujours un bluray digne de ce nom pour le petit chef d'oeuvre de Ferrara, Nos Funerailles autre collabo gangster marquante Ferrara/Walken.

7.5/10

[Milkshake]

edit

[Milkshake]

Lindelof : Ils nous ont donné 200 millions j'y crois pas, ils ont vraiment lu notre scénario qu'on a torché en deux jours ?
Bird : T'inquiete pas Disney ne dira rien tant qu'on fait de la pub pour leur marchandising et qu'on redore leur image de parc d'attraction durant tout le film. Smile mec, le tournage va être fun on va rien glander et on est plein aux as.

Tommorowland de Brad Bird

Oulà Lindelof a encore frappé, après Cowboy & Alien, Prometheus, World War Z (il a réécrit le dernier acte), Star Trek 2, la série The Leftover et maintenant Tomorrowland.

Si le mec devient pas blacklisté à Hollywood ça devient incomprehensible déjà qu'il ai pu avoir entre les mains autant de gros projets à la suite ça semble improbable... Il y a un moment faut ouvrir les yeux le mec est incapable de pondre un script correct. Là il y a zéro cohérence, on passe d'un truc à l'autre sans savoir pourquoi. Brad Bird est aussi crédité à ce scénario si on peut appeler ça un scénario ou plutot une pub géante à la gloire de Disney.

Ici le flop est autant mérité que les 4 fantastiques tellement ça raconte rien, les deux gamines (dont une qui a 25 piges qu'on essaye de rendre bien plus jeune, il faut arrêter ça) qui doivent porter le film sont inssuportable. Dès la scène d'intro ou l'on coupe sans cesse le discours de Clooney, qui est le seul à être professionnel et faire le taff ici , on sait déjà que ça va être bancal et poussif. Que Bird et Lindelof n'ont aucune idée de ce qu'ils veulent raconter.

Là Brad Bird il vend ses fesses à Disney avec son film de Parc d'attraction et de placement de produit. C'est l'unique but du projet, du coup le resultat est ignoble, il n'y a aucune envie de cinéma derriere et devant la caméra. Disney n'aurait pas Marvel et Star Wars dans leur catalogue, le studio serait déjà en faillite depuis des années. A côté Pirates des Caraibes sur le même principe de film d'attraction, c'est un chef d'oeuvre de divertissement

Car il y avait un minimum d'action, d'aventure... ici à l'exception de la propulsion de la baignoire, il n'y a rien et ça a couté 200 millions Là encore il faut se demander qui s'en ai mis plein les poches, l'argent ne se voit pas à l'écran. Les mec ils ont lu le scénario avant de lancer la production ? le climax digne d'une parodie stargate, les méchant inexistant, la menace zéro, l'introduction de l'univers qui prend + 1 heure.... Je comprend pas comment on peut financer ça et pas se poser de questions.

Je met 1 car dans l'ensemble c'est jolie niveau imagerie si on excepte les fringues futuriste ringarde, on voit que Bird a passer plus de temps à peaufiner ses fond d'écran vert/bleu qu'autre chose durant toute la production. Une belle idée du cinéma en somme.

1/10

[Alegas]

La seule scène potable du final à l'image de ce qu'aurait du être le film.

The Keep de Michael Mann

Par pure curiosité, il fallait découvrir le film maudit et rejeté de son réalisateur Michael Mann et lorsqu’on voit le rendu final on comprend d’autant plus pourquoi le réalisateur veut absolument que l’on oubli à jamais ce long métrage à tel point il fait tache dans l’immense filmo de ce réalisateur connu pour sa rigueur qui ici ne transparaît jamais enfouie dans une nappe de brouillard synthétique pas suffisamment épais pour cacher un enchainement de scènes ridicules.

Alors oui durant son intro qui tente de poser une ambiance, si on arrive à faire abstraction d’une bande son à base de synthé de Tangerine Dream totalement à côté de la plaque, on commence à rêver d’une confrontation fiévreuse entre une entité maléfique confronté au mal de la WW2, il y a avait de quoi sur le papier, le pitch de départ, faire un véritable survival horrifique tendu à la Alien. Ou les hommes vont tenter d'échapper aux griffes de la bête qui va les poursuivre dans un forteresse veritable labyrinthe de la mort. Cela semble être la note d’intention jamais concrétisé, Mann veut faire son film d’horreur mais c’est totalement raté dans les grandes largeurs.

Avec un duo d’acteur impliqué et charismatique en commandant officier Jürgen Prochnow et l’excellent Gabriel Byrne , on se dit que c’est bien partie malgré le côté cheap et cloisonné des décors sauf qu’on ne les revoit plus du tout. Au bout de 25 min, le film change totalement son fusil d’épaule, le cœur du film est en réalité Ian McKellen et sa fille deux perso tête à claque au possible, dès le premier plan sur Ian que je n’aurais jamais cru capable de jouer aussi mal en petit vieux avec un maquillage hideux et là tout s’enchaine, c’est la catastrophe…

Montage charcuté, scène de cul et perso qui sorte de nulle part (Scott Glenn quel est l’intérêt de ce personnage ??? ), une flopé de plan aux fx digne d’un épisode des Power Rangers, une bête maléfique qui tape la discute ce qui enlève tout potentiel horrifique alors que son design à base de fumé et de muscle est pas trop mal et surtout un final ridicule qui vient achever le métrage dont le seul passage à sauver est les deux scènes ou Gabriel Byrne réapparait comme par magie.

Au lieu de voir une armée se faire décimer et les voir tenter de contenir ce démon, on a à la base du projet un roman qui ne sait pas traiter son sujet, une base tellement bancale qu’il faudrait remanier l’histoire complètement pour en faire un film potable, un véritable cut plus long ne viendrait pas sauver ce naufrage complet.

2/10

[Jimmy Two Times]

Heureusement qu'il y a des âmes charitables comme Jed et Angel pour aimer ce film

[Alegas]

Une des nombreuses scène d'action digne d'un téléfilm.

Terminator Genysis de Alan Taylor

Un point pour les 10 premières minutes qui tiennent la route après c'est du grand n'importe quoi. 40 minutes des plagiat copier/coller de terminator 1/2 puis un reboot au milieu du film avec twist bidon, power up incompréhensible et cohérence des timelines inexistante qui arrange juste les scénariste pour que le film ne coute pas trop chère. Le coup du terminator qui fait un saut dans le temps avant son premier voyage et arrive à créer une machine à voyager dans le temps dans les 80's avec deux bouts plastic , ça c'est encore du script à la Macgyver du niveau de Chappie.

La saga ne s'est jamais remis du T1000 voulant désespérément dépasser cette menace sans jamais y arriver, les robots upgradé qu'on nous a sorti sont ridicule et se font battre 2 secondes après qu'on leur ai vider 10 000 chargeurs pendant 30 minutes (maintenant grande surprise le T800 on peut le tuer avec une seule balle mais il met la fessé à tous les autre robots ), Terminator 3 inclus qui lui au moins plagiait Terminator 2 de façon un poil plus convaincante et avec surtout une scène d'action potable au compteur, fait à l'ancienne. Ici c'est le festival d'enchainement d'action générique au possible qu'on a l'impression d'avoir vu 1000 fois avant. La scène sur le pont de San Franscico en tête. Il y a aucune idée dans ce film.

Que dire de l'humour navrant et des scènes de ménage (c'est là le métrage coule définitivement dans le pathétique, ou l'on est plus préoccupé à montrer sa tablette de chocolat qu'autre chose) entre Jai Courtney qui fait ce qu'il peut ici sa filmo devenant un véritable detecteur de nanar, attention à Suicide Squad et Emilia Clarke jamais crédible une seconde en chick badass, il faudrait déjà qu'elle tienne un flingue correctement. Et le pauvre Jason Clarke super acteur de la série Brotherhood qui ne fait qu'enchaîner les rôles grostesque totalement désincarné dans les blockbuster. Ah oui il y a JK Simmons qui est là aussi, on ne sait pas pourquoi, ni à quoi il sert dans cette histoire, lui aussi est perdu dans le film. Le seul crédible Byung-hun Lee qui vient cachetonner. Il faut qu'il reviennent vite en corée sinon il va finir dans du DTV avec 50 cent sous peu.

Du beau travail bien baclé dans l'ensemble, quoique pour du blockbuster 2015 (un très grand cru cette année en médiocrité à gros budget) bourré de CGI ça reste correct visuellement (c'est pas Avengers ou Jurassic) mais bon Alan Taylor entre ce flop au box office et Thor 2 c'est pas demain qu'un studio va lui redonner un gros budget. Pourtant il n'a fait que suivre les directives du studio comme un bon Yes man. En face de lui il a des producteurs juste desespérer de perdre les droits d'une franchise (comme la Fox et son 4 Fantastique) pour mettre 150 millions sur un script même pas digne du premier fanboy nerd de la saga qui aurait au moins proposé une idée qui fonctionne un peu fun. Là tout est précipité dans les étapes de la production et on voit le resultat.

Le film refait même voir à la hausse le terminator avec Bale totalement oubliable qui au moins tentait quelque chose un poil différent et se coltinait aussi du Schwarzenegger jeune en CGI . A un moment il faut peut être se rendre à l'évidence que Schwarzy est trop vieux pour ces conneries (ce qui donne de belles scènes pitoyable ou l'on tente de justifier son age de robot) et rebooter la saga totalement sans lui. Et dire que Cameron qui devrait être fou qu'on ne fasse que plagier ses 2 films au lieu de raconter une véritable nouvelle histoire, non il fait de la bonne promo pour le film en espérant toucher des royalties sans rien faire et reprendre les droits de la saga dans 2/3 ans, il serait même capable de nous faire un 3ème reboot juste comme producteur avec Swarzy en chaise roulante.

I'm old not obsolete. La punchline du film citer au moins 3 fois qui pose le niveau.

1/10

[Dionycos]

Un autre truc navrant dans ce film, ce sont les vieilles allusions "kikoolol on se met tout nu pour rentrer dans la machine à voyager dans le temps, c'est trop hot !!".
En fait, tout est bidon dans ce film, je vois rien à sauver, si ce n'est que c'est pas chiant à regarder.

[Milkshake]

Clairement à partir du moment ou le réal passe 3 minutes à cadrer les pieds et le haut du corps de ces acteurs avant un voyage dans le temps.... dans une veine tentative de rendre son film sexy.

Tu as compris que ça va brasser du vide pendant 2 heures.

Le pire c'est cette scène là :




Il y a aussi les plans sur des dessins de gamin de 3 ans dans ce superbe flashback, ça devrait être interdit au cinéma ça , je croyais que c'était un tic de film indé sundance mais là on se le coltine aussi dans un blockbuster.

[Milkshake]

Underworld USA de Samuel Fuller

Bonne suprise ce Fuller, je dirais même que c'est le film le plus abouti du réal avec Shock Corridor et Forty Guns, je suis pas fan de la multitude de film de guerre du réal et en film noir je trouve ça bien au dessus de son Port de la Drogue, sa collabo avec Richard Widmark.

Dans Underworld USA, il y a une véritable intensité tout du long, clairement un des meilleurs films noir que j'ai pu voir , rarement vu dans ce genre bref et concis, ici ça dure 1h30 comme souvent, un scénario qui arrive à être aussi ambitieux dans son fond et noir tout en collant aux basques de son héros car le côté pègre et institutions pourris reste en filigrane au détour d'une scène ou deux mais ça permet d'éveler le film au dessus de son postulat de base une classique histoire de vengeance.

Formellement cet exercice de style est du très haut niveau, dès le trauma/meurtre originel filmé en ombre chinoise à tomber, on sent que Fuller est en forme et élève une multite de scène qui aurait pu être banale dans les mains d'un autre réal en y ajoutant une multitude de petit détail, des perso fiévreux, lunette et clope au bec, il faut le dire Fuller a concocté un scénario très habile prenant jusqu'au bout allant vers un final mémorable en plus c'est bourré de dialogues marquant.

Il y a pas mal de scène qui surprène comme la demande de mariage avorté ou qui grave la rétine comme la voiture en flamme. Il y a constamment pendant 1h30 des idées de cadre (des gros plan notamment) et de placement d'acteur dans l'espace vraiment inspiré qui élève des scènes qui aurait pu être oubliable sur le papier. En parlant d'acteur Cliff Robertson est excellent (c'est le père Parker des Spiderman ) même l'acteur jeune au début qui joue le même perso est excellent. Pareil pour les deux perso féminin avec des scènes pas facile à jouer.

8/10

[padri18]

Pour une fois j'aurais préféré que Johnny Depp en face des tonnes comme cela au moins ça aurait donné un peu de vie au film.

Black Mass (Strickly Criminal) de Scott Cooper

Comme prévu c’est mauvais. Pire que ça c’est totalement oubliable. La réal de Scott Cooper est une nouvelle fois totalement anonyme et plate. Crazy Heart et Out of Furnace j'avais déjà trouvé ça totalement anecdotique sans personnalité comme la musique de ce nouveau film.

Pour une fois que Depp tente de se la jouer sobre mais ça semble tellement maniéré et forcé en plus il faut qu’il gâche ça une nouvelle fois avec 3 tonnes de maquillage, véritable gimmick de l'acteur à bout de souffle depuis 15 ans. Et ce cast de second rôles All Star quel gachis de talent (sauf Dakota Johnson qui c’est juste pas joué), ils ont rien à jouer, la pauvre juno temple qui a juste une pauvre scène. J’ai jamais vu Cumberbatch aussi mauvais , lui qui est toujours excellent là il tente un accent de Boston improbable ou il est pas du tout à l’aise.

Dès que le film démarre en gros plan avec Jesse Plesmon, la tête à claque de Breaking Bad, on sait déjà que c’est mal parti et mal raconté, ça se disperse dans tous les sens. Le film a le syndrome wikipédia véritable cancer de tous les biopic qui inonde les salles depuis pas mal d'années, ça veut tout raconter sur son perso en mode biopic mais ne raconte rien, ne faisant qu'aligner les faits qui se sont dérouler sur plusieurs années comme une checklist qui aurait pu être généré par un ordi, il y a aucune narration cinématographique. A aucun moment on ressent le côté fou, l'ampleur du personnage.

Je donne un point pour Joel Edgerton qui est le seul à se démener et semble croire au film, il aurait du être le centre de l’histoire.

N'importe quel épisode de Narcos est 10 fois plus intéressant que ce film. A côté Departed qui s'inspire aussi de ce personnage et se passe aussi à Boston est un putain de chef d'oeuvre de mise en scène pourtant c'est du Scorsese en mode mineur. Même l'oubliable The Iceman un film à la limite du DTV avec Michael Shannon en tueur à la gachette facile était plus intéressant que ce film.

1/10

[Milkshake]

Un western qui flatte la rétine

The Dark Valley de Andreas Prochaska

En voilà un film qui aurait mérité une sortie en salle pour être vu sur un grand écran, un western chiadé et efficace dans un décor enneigé plutôt rare pour le genre, les sommets Alpins qui donne un véritable cachet à cette histoire relativement classique sur le papier.

Un héros mutique dans un genre qui préfère de longs regards, dès l’intro sauvage et le premier meurtre, on sent que le réal Autrichien a fait quelques slasher auparavant car niveau violence plein cadre ça y va. Ce qui m’a le plus surpris est la longue introduction du récit qui prend vraiment son temps et laisse un flou sur les motivations des personnages ce qui fait qu’on reste intrigué puis on a droit à un bon flashback en plein milieu et là tout s’éclaire. La vengeance peut démarrer. C’est de l’ultra classique mais ça fonctionne comme la voix off procédé casse gueule mais là cela s'imbrique bien au récit.

La réalisation est vraiment soignée, il y a plein de plans qui ont de la gueule sur les lentilles des appareils photo d’époque, métronome et glace pilée, le tout englober dans toute une imagerie christique qui rappelle les westerns Italien. En plus de cela le lead Sam Riley est vraiment bon sachant qu’il doit s’exprimer en allemand qui n’est pas sa langue natale et il y a aussi un perso féminin qui a pas beaucoup de scène mais qui est interprété avec conviction par une jeune actrice Paula Beer, cela offre deux trois scènes de tendresse dans ce monde de brute.

En défaut mineur on pourra noter 4/5 ralenti pas forcément utile ou ni bien placé et surtout l’utilisation par 2 fois d’une musique pop/rock qui ne colle pas aux images. Après les critiques pointent du doigt la toute fin, perso j’ai trouvé cela cohérent voir presque touchante. Après oui on pourra trouver que la confrontation finale aurait pu durer un peu plus longtemps pour avoir un vrai gros morceau d’action mémorable. La c'est juste sec et efficace.

Par bride le film m’a rappelé Black Death en moins marquant et ambitieux, une autre surprise sortie de nulle part, film d’époque aussi mis en scène par un réal qui était plus dans la veine horrifique.

7.5/10

[Alegas]

Dès que le film démarre en gros plan avec Jesse Plesmon, la tête à claque de Breaking Bad, on sait déjà que c’est mal parti et mal raconté

T'es fort pour déterminer ça d'un simple gros plan sur un mec.

[Heatmann]

Dark valley moi j ai trouver ca bien chiant et insipide , ok la neige , en plus c est un truc qui me fait bien triquer moi , mais alors le script m a pas passioner du tout , le ton est trot interioriser a mon gout , surtout vue le trauma eculer , le trailer m avais fait baver et j ai tout oublier le lendemaine dla vision , totalement anecdotique . j ai du mettre 5

[Milkshake]

Je pense tout l'inverse de Heat sur ce coup. Pour Dark Valley ma critique suffit.

Pour Black Mass, Plessmon le peu de temps d'écran qu'il a il est mauvais. Autant dans Breaking Bad ça passait car il avait un perso un peu écrit mais là non.

[Mr Jack]

Alors c'est Jesse Plemons et c'est pas une tête à claque c'est une sacré gueule qui était bon dans FNL, bon dans Breaking Bad et dans toutes ses apparitions ciné.