Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre
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Georges Miller et Georges Ogilvie (1985) | 3/10
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Georges Miller et Georges Ogilvie (1985) | 3/10
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Mel Gibson endosse une dernière fois son rôle emblématique de Max dans un monde post apocalyptique qui essaie de se reconstruire. Ce qui aura vraiment été intéressant à suivre dans les 3 films, c’est l’évolution du monde puisque chaque métrage rajoute une pierre à l’édifice et propose véritablement une évolution visible et cohérente de l’univers. Le premier montrait clairement la fin d’un cycle et le monde au bord de l’implosion. Dans le deuxième la bascule était faite et le chaos et l’anarchie régnaient. Dans ce troisième volet, le monde essaie de se reconstruire et des nouvelles villes voient le jour comme Baertertown dont l’économie est basé sur….. la merde de porc… (no comment). C’est que je retiens de plus sympathique dans ce troisième film, c’est qu’il complète bien l’univers Mad Max.
Après ça, le film est quand même très poussif. Passé l’introduction, Miller nous fait une présentation de la ville, plutôt sympa, avec le monde du dessus régi par Tina et le monde du dessous régi par un combo nain/géant. La plaisir de retrouver Max est là, mais après un combat dans la fameux dôme du tonnerre, le film se perd complètement pour ne jamais refaire vraiment surface. Toute la partie avec les enfants qui attendent le messie est inintéressante en enjeux, d’une niaiserie difficilement acceptable dans le monde de Mad Max tel que nous le connaissons et c’est très très long et ennuyeux.
Probablement pour des raisons de studios US, le film est complètement aseptisé en comparaison des deux premiers et on est vraiment devant un blockbuster familial ce qui enlève un partie de l’âme de l’unviers Mad Max selon moi.
Pas grand-chose donc à se mettre sous la dent dans cet opus dont je retiens peu de bonnes choses (le début, Bartertown) et beaucoup de mauvaises choses (aseptisation de l’univers, les deux derniers tiers trop enfantins) pour que je puisse vraiment y trouver mon compte.
Après ça, le film est quand même très poussif. Passé l’introduction, Miller nous fait une présentation de la ville, plutôt sympa, avec le monde du dessus régi par Tina et le monde du dessous régi par un combo nain/géant. La plaisir de retrouver Max est là, mais après un combat dans la fameux dôme du tonnerre, le film se perd complètement pour ne jamais refaire vraiment surface. Toute la partie avec les enfants qui attendent le messie est inintéressante en enjeux, d’une niaiserie difficilement acceptable dans le monde de Mad Max tel que nous le connaissons et c’est très très long et ennuyeux.
Probablement pour des raisons de studios US, le film est complètement aseptisé en comparaison des deux premiers et on est vraiment devant un blockbuster familial ce qui enlève un partie de l’âme de l’unviers Mad Max selon moi.
Pas grand-chose donc à se mettre sous la dent dans cet opus dont je retiens peu de bonnes choses (le début, Bartertown) et beaucoup de mauvaises choses (aseptisation de l’univers, les deux derniers tiers trop enfantins) pour que je puisse vraiment y trouver mon compte.