Cela devient un véritable plaisir coupable à regarder, ça devient fun tellement c’est du grand n’importe quoi cette saison 2, là on atteint un summum et cumul de scène mal joué, pas aidé par l’écriture inexistante, ultra forcé et improbable, Vince Vaughn doit se farcir le plus grand nombre de punchline pourri à la minute, qui parle comme cela ?
The enemy won’t reveal itself, Raymond. It stymies my retribution. It’s like blue balls…in your heart,
et toutes ces scènes de couple avec Kelly Reilly sont de plus en plus pénible à suivre tellement le duo d’acteur n’y croit pas une seconde.
Le meilleur reste Taylor Kitsch et sa mère un régal de jeu forcé , il y a un réalisateur derrière la caméra sur cette série ?, même Colin Farrell commence à en faire des tonnes, tremblotant comme dans le film miss Julie sortie l'année dernière comme pour compenser le niveau d’écriture, le tout filmé en gros plan.
Bien sûr on a toujours 3 couches de trauma par personnage, le plus drôle ça reste Rachel McAdams qui délivre la punchline de la série :
What can I say…I just really like big dicks…I want to have trouble handcuffing the thing
Hâte de voir Rachel s’infiltrer en prostitué, ça va donner de grandes scènes.
Sinon chapeau au scénariste qui va lancer véritablement son enquête à l’épisode 6 pour une saison de 8 épisodes, là on repart à zéro à l’épisode 5 tout le monde reprend l’enquête car ils n’ont rien de mieux à faire et qu’on leur force la main… Le reste ce n’est que du remplissage soap/cliché qui se voudrait être un drama fort et dérangeant avec sa musique bien lourde.