[Pathfinder] Mes critiques en 2015

[Scalp]

La vache, la note au Clint...

C'est le seul film inscrit à mon rattrapage du premier semestre, j'ai hâte

J'ai déjà ta note.

[Mark Chopper]

Envoie.

(Je ne pense pas le mater avant la sortie du blu-ray français.)

[Scalp]

Entre 0 et 3, selon ton humeur.

[Pathfinder]

3 étant bien trop généreux...

[angel.heart]

Mouais, faut quand-même pas pousser. Qu'on trouve le discours puant, ok, mais c'est pas non plus le néant en terme de mise en scène, d'écriture ou d'interprétation.

Et je précise que je suis assez mitigé sur ce film. Je n'approuve pas forcement les valeurs que, de prime abord, semble véhiculer le film, mais c'est quand-même loin d'être honteux (AMHA).

[maltese]

Oui, 1/10, c'est tout de même très forcé là

[Pathfinder]

Concernant la mise en scène, ce n'est pas le néant bien évidemment. Mais, c'est quand même d'une platitude désarmante... Mon 1 sanctionne surtout l'agacement que génère le film, son propos et son personnage principal.

[maltese]

Jersey Boys était bien meilleur

[Pathfinder]

Horns 6/10

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Quand Alexandre Aja ne se met pas à la disposition des studios pour faire des remakes, il adapte des bouquins à ses heures perdues. Dans le cas de Horns, il délaisse la chair fraichement déchiquetée pour livrer un conte moderne sur le deuil de l'amour perdu. Dis comme ça, ça ferait fuir un paquet de prétendants mais c'était sans compter sur une belle dose d'humour noir finement distillée. Je ne connais pas le bouquin de Joe Hill mais je dois bien reconnaitre que j'ai beaucoup aimé la tonalité du film. J'aime également cet aspect "pot pourri" donné à l'ensemble. J'entends par là que Horns embrasse un paquet de thèmes en naviguant d'un genre à l'autre. On y retrouve donc pèle mèle du film de gosse, du drame, du thriller, du gore qui tache, du macabre et de bons instants WTF, le tout au service d'une "enquete" tout à fait intéressante. Le film fonctionne également sur sa soundtrack mais surtout sur tous les moments confessions en contact avec ce cornu de héros (le coup des journalistes reste une belle réussite). A ce titre, Daniel Radcliffe s'en sort bien, se délestant petit à petit (mais de la bonne façon) du fardeau Harry Potter. Coté réalisation, Aja fait le boulot tranchant avec les sempiternels trucs épileptiques du moment avec de très jolis cadres et un scope Carpenterien par moment.

Pour ceux qui était venu voir du gore qui tache façon Piranha ou Hills have eyes, passez votre chemin. Pour les autres, le dernier film du réalisateur français sonne comme une jolie balade poético-macabre aussi inoffensive que sympatoche.

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[puta madre]

J'avais bien aimé également, le film réussissant, comme tu le dis, à marier des tonalités différentes (humour en-dessous de la ceinture, romantisme, polar) en un tout cohérent. Je regrette juste les débordements graphiques du final, qui jurent avec la retenue dont Aja avait fait preuve jusque-là.

[Pathfinder]

Me dis pas que tu n'as pas apprécié le headshot de fin?

[puta madre]

Le headshot, ça allait. C'est le passage avec le serpent que j'ai trouvé inutile.

[Scalp]

C'est le film qui est inutile.

[puta madre]

...ou ton commentaire

[Scalp]

Ou la filmo d'Aja