[Alegas] Mes Critiques en 2015

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar osorojo » Mar 26 Mai 2015, 15:08

DJ Fest a écrit:Ah mais moi vu que je me complais à observer la souffrance d'autrui (surtout quand ça fait CRRRACK) je trouve ça passionnant, oui.


T'es donc un salaud poli ! :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar DJ Fest » Mar 26 Mai 2015, 15:09

Souffrance fictive je précise. :mrgreen:

(non je ne mate ni snuff ni vidéos de skaters qui se blessent)
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Sorcières d'Eastwick (Les) - 3/10

Messagepar Alegas » Mar 26 Mai 2015, 18:55

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The Witches of Eastwick (Les Sorcières d'Eastwick) de George Miller
(1987)


Autant j'aime beaucoup le cinéma de George Miller, autant je ne peux que m'accorder sur le fait qu'il a quelques mauvais films à son actif, celui-ci étant, avec Mad Max 3, le meilleur exemple. Si la comédie fantastique n'est pas spécialement un genre que j'apprécie à la base, j’espérais au moins que Miller, a défaut de le rendre captivant, réussirait à en faire quelque chose de potable. Malheureusement, passée l'introduction plutôt pas mal, le film se révèle être une succession de séquences qui se ressemblent avant d'accéder à une finalité que l'on voit venir bien à l'avance. Si on peut accorder au film de posséder quelques fulgurances, ainsi qu'un propos assez étonnant pour un film familial (ça ne parle quasiment que d'attirance purement sexuelle), la construction répétitive, l'humour bas du front et le surjeu constant du casting, Nicholson en tête, font de cette comédie un spectacle franchement agaçant. Pas grand chose à sauver de ce désastre donc, si ce n'est le score plutôt joli de John Williams et surtout la capacité de Miller à proposer une mise en scène élégante même sur ses films les plus anecdotiques. Le reste est pour le moins oubliable.


3/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar DJ Fest » Mar 26 Mai 2015, 19:11

Tiens pour une fois on sera pas d'accord.

Bon pour vraiment argumenter faudrait que je revoie le film, ça fait longtemps, mais j'ai usé ma VHS à l'époque tant ce film pour moi n'était que pure jouissance.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Mar 26 Mai 2015, 19:12

Ce truc est indéfendable.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar angel.heart » Mar 26 Mai 2015, 19:14

Il est bien ce film ! 8)
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Mar 26 Mai 2015, 19:15

Je l'ai découvert il y a deux ans, j'ai trouvé ça insupportable de bout en bout, ça ferait passer pour sobre les comédies cantonaises nawak.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar DJ Fest » Mar 26 Mai 2015, 19:56

Ah ça c'est pas sobre, c'est sûr, ça cabotine à tout va, mais j'ai toujours trouvé ça fun.
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Lorenzo - 8/10

Messagepar Alegas » Jeu 28 Mai 2015, 14:49

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Lorenzo's Oil (Lorenzo) de George Miller
(1992)


J'aurais donc complété la filmographie de George Miller sur son film le plus méconnu (si on excepte, bien entendu, son documentaire quasi-impossible à trouver). Il faut dire qu'avec son affiche ringarde et son pitch, Lorenzo's Oil peut faire peur même au cinéphile le plus averti, persuadé qu'il y verra un énième mélodrame poussif cherchant à provoquer les larmes avec une absence totale de subtilité. Pourtant, la force de ce film tient justement dans la capacité de George Miller, qui n'avait jusqu'ici jamais touché à un tel genre, à éviter la redite et les facilités dans lesquelles nombre de réalisateurs seraient tombés. Exit donc le drame autour d'un malade qui se résoudra via un deus ex machina, ici Miller propose un beau récit sur l'espoir qui naît à travers la force d'une famille qui va chercher à lutter contre sa propre décomposition. Le résultat est pour le moins très étonnant, car si le film, dans sa structure globale, épouse les codes d'un genre vu et revu, il les dynamite néanmoins via un pessimisme ambiant qui pointe toujours le bout de son nez pour placer les personnages en équilibre entre l'obsession et la démence.

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Rarement le rôle d'un parent n'a été, à mon sens, aussi bien dépeint que dans ce film, et toute l'intelligence du film repose justement sur le fait de faire douter à quasiment chaque scène du succès de l'entreprise, ce qui donne non seulement lieu à des personnages avec laquelle l'empathie marche totalement (notamment la situation de Nick Nolte qui voit son couple se désagréger pour maintenir en vie son enfant), mais aussi à des séquences bouleversantes, à l'image de celle où le personnage de Susan Sarandon (qui trouve là son meilleur rôle, de très loin) parle à son fils, croyant que personne d'autre ne l'écoute. Une scène de confession qui met tout simplement le spectateur à genoux au milieu d'un récit qui suscite énormément de questions morales (jusqu'où l'espoir est permis ? Doit-on prendre le risque de se détruire soi-même pour une cause perdue d'avance ?). Une force émotionnelle qui doit beaucoup à la gestion totale du récit par Miller qui profite de ses acquis de son ancienne profession pour faciliter la compréhension du spectateur vis à vis des détails médicaux sans pour autant les banaliser. Un coup réussi pour le réalisateur australien donc, qui confirme définitivement avec ce film sa capacité à s'approprier n'importe quel genre. Un très beau film qui mériterait vraiment d'être plus connu.


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8/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Alegas » Lun 01 Juin 2015, 00:42

BILAN MAI 2015


Films vus :

Moyenne générale : 6,66

USA : 12
France : 6
UK : 5
Australie : 2
Italie : 2
Thaïlande : 1
Norvège : 1


120 : Les Enfants Terribles, Jean-Pierre Melville, 1950, DVD VF : 3/10
121 : 21 Grams, Alejandro González Iñárritu, 2003, DVD VOST : 7/10
122 : Un Témoin dans la ville, Édouard Molinaro, 1959, Blu-Ray VF : 8/10
123 : Cloudy with a Chance of Meatballs, Phil Lord & Chris Miller, 2009, TV VF : 7,5/10
124 : Shaun The Sheep Movie, Mark Burton & Richard Starzak, 2015, Ciné VO : 8/10
125 : Babe, Chris Noonan, 1995, Truc VOST : 8/10
126 : Babe : Pig in the City, George Miller, 1998, Truc VOST : 4/10
127 : Léon Morin, prêtre, Jean-Pierre Melville, 1961, Truc VF : 5/10
128 : Tom-Yum-Goong, Prachya Pinkaew, 2005, Truc VOSTA : 3/10
129 : The Witches of Eastwick, George Miller, 1987, Blu-Ray VOST : 3/10
130 : Lorenzo's Oil, George Miller, 1992, Truc VOST : 8/10
131 : Mad Max : Fury Road, George Miller, 2015, Ciné VOST : 8,5/10
132 : Babel, Alejandro González Iñárritu, 2006, Blu-Ray VOST : 7/10
133 : A fish called Wanda, Charles Crichton & John Cleese, 1988, Blu-Ray VOST : 7,5/10
134 : Mad Max : Fury Road, George Miller, 2015, Ciné VOST : 9/10
135 : Tomorrowland, Brad Bird, 2015, Ciné VOST : 5/10
136 : Le Dernier Combat, Luc Besson, 1983, Blu-Ray VF : 5/10
137 : Broken Lullaby, Ernst Lubitsch, 1932, DVD VOST : 6,5/10
138 : Il racconto dei racconti, Matteo Garrone, 2015, Ciné VOST : 7/10
139 : Louder than bombs, Joachim Trier, 2015, Ciné VOST : 6,5/10
140 : Macbeth, Justin Kurzel, 2015, Ciné VOST : 4/10
141 : Youth, Paolo Sorrentino, 2015, Ciné VOST : 7/10
142 : Holy Motors, Leos Carax, 2012, Blu-Ray VF : 2/10
143 : The Sixth Sense, M. Night Shyamalan, 1999, Blu-Ray VOST : 8,5/10
144 : Mad Max : Fury Road, George Miller, 2015, Ciné VOST : 9/10
145 : Le Trou, Jacques Becker, 1960, Truc VF : 8,5/10
146 : A Grand Day Out, Nick Park, 1989, Truc VOSTA : 7/10
147 : Hedwig and the angry inch, John Cameron Mitchell, 2001, Truc VOST : 6/10
148 : The Wrong Trousers, Nick Park, 1993, Truc VOSTA : 8/10


Découverte du mois :

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Autres découvertes marquantes :

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Mad Max : Fury Road - 10/10

Messagepar Alegas » Lun 01 Juin 2015, 23:33

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Mad Max : Fury Road de George Miller
(2015)


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"Where must we go, we who wander this wasteland, in search of our better selves."
The First History Man


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S'il y a bien un film qui était attendu au tournant de cette année 2015 mollassonne, c'est bien ce Mad Max : Fury Road. Tout simplement parce que le blockbuster de George Miller, qui revient après l'échec injustifié de son superbe Happy Feet 2, se révèle être un vilain petit canard au milieu du paysage hollywoodien où les franchises s'accumulent pour offrir le même spectacle chaque année sans aucune surprise. Car si Mad Max : Fury Road s'avère bien être la suite d'une saga qui n'avait pas été retouchée depuis 30 ans, il est aussi le digne successeur des films qui l'ont précédé, savoir un film qui respecte la volonté de son réalisateur sur cette franchise qui se permet de proposer un film totalement différent à chaque fois sans que cela ne choque le public. Exit donc les attentes d'un Mad Max 2 recréé en tout point, car Fury Road est évidemment un film qui reflète particulièrement bien son auteur qui, depuis la trilogie originale, a bien évolué avec son temps tout en respectant les bases d'un cinéma qu'il a expérimenté du plus bas niveau de l'échelle jusqu'à aujourd'hui.

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On s'en doutait avec les sublimes bandes-annonces qui vendaient particulièrement bien le film : Fury Road est tout simplement quelque chose de monstrueux qui nous venge d'un cinéma populaire aseptisé et balisé, et qui saura mettre quasiment tout le monde d'accord, aussi bien le grand public que les cinéphiles acharnés. Les plus sceptiques pointeront du doigt un script soi-disant trop simpliste qui aurait pu raconter beaucoup plus, mais non seulement c'est, d'une certaine façon, quelque chose de récurent dans la saga, mais en plus Fury Road s'avère être finalement qu'un script illusoirement basique, et qui préfère cacher son écriture dans le cadre plutôt que de la révéler au grand jour comme la plupart des blockbusters actuels. Écriture et mise en scène, à la manière d'un John McTiernan à ses heures de gloire, ne font ici plus qu'un, s'aidant mutuellement pour se rendre plus efficace et surtout moins visible du spectateur. Une qualité rare et audacieuse qui s'avère particulièrement utile lorsqu'il s'agit de développer des personnages d'apparence simple, mais aussi de présenter rapidement et efficacement les bases d'un univers sans trop en montrer.

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A ce titre, l'introduction de la Citadelle est tout simplement un modèle d'exposition au cinéma, Miller arrivant à présenter la complexité religieuse, sociale et géopolitique d'une forteresse en l'espace de quelques minutes à l'aide de plans évocateurs. Mieux encore, le film redéfinit l'évolution des personnages au sein de la franchise d'une manière assez inattendu. Ainsi, Max perd son statut de justicier, de Road Warrior, pour ne le retrouver qu'en partie en toute fin de métrage, redéfinissant ainsi son statut (comme il l'avoue en début de film, il ne vit que pour survivre, ce qui est un non-sens) et lui donnant une véritable quête autre que celle de la justice, à savoir celle de la rédemption, du choix (c'est lui qui fera comprendre que le combat risqué pour l'espoir vaut mieux que l'éternelle fuite) et de la recherche du meilleur de lui-même (comme l'atteste non seulement le carton final, mais tout simplement la base même du genre post-apocalyptique). L'autre surprise d'écriture du métrage tient évidemment dans deux autres personnages, à savoir Nux et Furiosa. Pendant que le premier s'avère être un personnage véritablement touchant dans son évolution, renvoyant au sacrifice (à la fois religieux et purement moral) nécessaire pour améliorer le monde, la seconde se révèle être ni plus ni moins que l'attraction principale du film.

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Car si Max a toujours été un héros parmi tant d'autres, plus discrets, au sein de la trilogie originale, il n'a cependant jamais été aussi témoin des événement qui se déroulent autour de lui. Voir Max privé de ses mouvements pendant un bon quart de film renvoie directement à la note d'intention du script qui est de le faire intégrer un groupe avec lequel il devra pleinement collaborer sous peine d'échouer. Furiosa devient ainsi, d'un point de vue dramaturgique (et aussi grâce à Charlize Theron qui trouve là son meilleur rôle depuis longtemps), le personnage qui existe le plus dans Fury Road, mais qui trouve justement son intérêt dans le reflet qu'elle propose à un personnage comme Max, puisqu'elle incarne finalement ce qu'il a été dans le passé, son côté humain prenant largement le dessus. Si Mad Max : Fury Road avait été simplement le divertissement que j'attendais, j'aurais été comblé. George Miller me prend totalement par surprise en me proposant non seulement le meilleur film de la franchise haut-la-main, mais surtout son film le plus abouti scénaristiquement avec Happy Feet premier du nom.

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Cela faisait d'ailleurs plus de 15 ans que le cinéaste n'avait pas retouché aux joies du film-live, et autant dire que les retrouvailles se font en fanfare. C'est bien simple, non seulement la mise en scène de Fury Road transpire l'évolution de Miller au sein du film d'animation, avec un sens du cadrage toujours plus osé et une caméra sans limites, mais surtout le fait est qu'à chaque seconde on ressent la joie totale du bonhomme à retourner physiquement derrière une caméra. Le film est ainsi une succession de morceaux de bravoure totalement dingues, entrecoupés d'intermèdes ni trop courts ni trop longs. Une véritable course-poursuite de malade mental qui ne s'essouffle jamais grâce à une gestion de l'espace totale (la séquence où Max passe de véhicule en véhicule est un modèle de lisibilité), des idées de mise en scène toutes les dix secondes (le combat Max/Nux/Furiosa est tout simplement fou à ce niveau là, avec des enjeux redéfinis à chaque plan, idem pour le lien entre Joe et ses épouses durant la poursuite), un sens visuel du spectacle indéniable (la tempête) et surtout une rythmique implacable qui confirme les dires de Miller lorsqu'il évoque le cinéma comme une composition musicale.

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Sur ce point, le film est la perfection même, avec un montage ciselé à la seconde près, où chaque plan d'ensemble est pensé pour laisser respirer l'audience avant de la replonger dans le chaos. Au son de la bande-son pas spécialement subtile mais fonctionnelle de Junkie XL, aucun bout de gras pour une efficacité totale, Miller livre là le film qui le fait atteindre un statut rare : celui d'un technicien hors-pairs doublé d'un sens de l'action à l'image totalement confirmé. Mad Max : Fury Road : le film qui prouve que l'espoir est encore permis, et que certains cinéastes peuvent encore nous livrer du vrai cinéma dans un paysage consensuel sans cesse tiré vers le bas. Un film qui mourra historique sur la Fury Road !


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"As the world fell, each of us in our own way was broken, it was hard to know who was more crazy.
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10/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Lun 01 Juin 2015, 23:40

Sans dire que c'est le meilleur film de la franchise vu que je prend la saga Mad Max comme un tout, j'approuve cette critique. :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar osorojo » Lun 01 Juin 2015, 23:46

Ben moi j'aime moyennement le film, j'suis pas d'accord avec tout ce que tu dis (notamment à propos du rythme), mais ta critique est bien cool :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar angel.heart » Mar 02 Juin 2015, 13:01

Très bonne critique ! :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Scalp » Mar 02 Juin 2015, 14:37

C'est un truc que t'as pompé sur allociné ou capture mag ?
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