[francesco] Mes critiques en 2015

Modérateur: Dunandan

Re: [francesco] Mes critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Jeu 05 Mar 2015, 12:49

un ordi alimenté par des playstations montées en batterie


Discret le placement de produit dans un film... Sony.
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Re: [francesco] Mes critiques en 2015

Messagepar francesco34 » Mer 11 Mar 2015, 08:18

juste un avis express, j'ai pas grand chose à en dire mais je voulais tout de même le mettre en avant:

Présentateur vedette: la légende de Ron Burgundy (Adam McKay)

une prod Appatow de 2004, et c'est franchement drôle. Je m'étais pas autant marré depuis un bout de temps. Des acteurs au top dans ce type d'humour assez particulier, Will Ferrel toujours excellent, et Steve Carell en demeuré présentateur de météo. Plusieurs caméos très bien placés et pas juste gratuits (Ben Stiller, Jack Black, Luke Wilson, Tim Robbins et Vince Vaughn), notamment dans une scène de bataille entre journalistes de différentes chaines totalement hilarante.
8/10
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Midnight After (The) - 6/10

Messagepar francesco34 » Sam 16 Mai 2015, 07:16

The Midnight After
de Fruit Chan (2014)

Image

Toujours inédit chez nous, ce film Hong-Kongais de Fruit Chan raconte comment les passagers d'un bus se retrouvent soudainement dans une ville déserte où ils semblent être les derniers êtres vivants.
Toute la première partie du film est vraiment sympa, mystérieuse, et les plans de ville totalement déserte font toujours un bel effet, magnifiquement filmés par Fruit Chan (beaucoup de plans larges, et si y'a des effets numériques ils sont très discrets). On est dans du fantastique à tendance post-apo style The quiet earth. Mais sans aucune explication façon Lost.
Le film va jouer sur ce mystère, la paranoïa naissante, les écarts de conduite de certains membres du groupe, etc... Et puis vont venir diverses explications avancées par les personnages, aucune de crédible, jusqu'à une conclusion vraiment étrange qui ne donne aucune solution et n'éclaire en rien tout ce mystère. Un peu frustrant, et solution de facilité scénaristique je trouve.
Bref j'ai bien accroché à tout le début, mais je reste vraiment sur ma faim au final...

6/10
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Turn - 7/10

Messagepar francesco34 » Sam 16 Mai 2015, 07:49

Turn
de Hideruki Hirayama (2001)

Image

Ce film inédit japonais de 2001 nous conte l'histoire de Maki Mori, une jeune femme artiste qui vit avec sa mère, qui va, suite à un accident de la route, se retrouver projetée 24 heures en arrière et revivre la même journée, à ce détail près qu'elle est désormais seule au monde, tout autre être vivant ayant disparu. D'abord incrédule, puis désemparée, elle va inlassablement revivre cette journée solitaire pendant des mois, jusqu'à ce qu'un coup de téléphone d'un jeune homme fan de son travail artistique la relie à nouveau au monde extérieur.

Quelques similitudes avec The Midnight After que je viens juste de critiquer, puisqu'on a cette même situation d'une personne se retrouvant dans un monde où tout autre être vivant semble avoir totalement disparu. Ici c'est mixé avec le concept de Un jour sans fin puisque toutes les 24 heures Maki Mori va faire un "reset" et se retrouver toujours au même endroit 24 heures plus tôt.
Mais on est plutôt dans la romance ou la love story, puisque c'est bien sûr cette étrange relation entre Maki perdue dans son univers parrallèle (ou autre, en tout cas on a l'explication en cours de route), et le jeune homme par le biais de ce téléphone qu'il ne faut surtout pas raccrocher, qui est le coeur du film. Viendra s'ajouter un autre personnage énigmatique et menaçant, lui aussi prisonnier de ce jour sans fin au même endroit que Maki.
Le charme opère, l'actrice principale est très bien, et les plans de rues et grande ville désertes font là aussi leur effet (un peu moins impressionnants que sur le film de Fruit Chan, mais bons quand même).
Une love story originale, qui ne verse pas dans les standards de la romcom.

7/10
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Re: [francesco] Mes critiques en 2015

Messagepar pabelbaba » Sam 16 Mai 2015, 08:24

Tiens, il est toujours en vie Fruit Chan? :chut:
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Sinon, oui, j'aime les nibards. :chut:
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Re: Midnight After (The) - 6/10

Messagepar Mark Chopper » Sam 16 Mai 2015, 08:55

francesco34 a écrit:Et puis vont venir diverses explications avancées par les personnages, aucune de crédible, jusqu'à une conclusion vraiment étrange qui ne donne aucune solution et n'éclaire en rien tout ce mystère. Un peu frustrant, et solution de facilité scénaristique je trouve.


Si tu voulais quelque chose de cartésien, tu t'es trompé d'approche...

On est dans la métaphore pure et simple, la peur de la perte de l'identité HK face à l'ogre chinois.

Turn m'iintrigue, je vais tenter.
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Re: [francesco] Mes critiques en 2015

Messagepar francesco34 » Sam 16 Mai 2015, 09:55

Pas forcément cartésien, mais lever un brin le mystère...
Si ça n'intérressait pas Fruit Chan d'amorcer une explication, pourquoi alors plomber une grande partie du film avec les personnages cherchant des raisons au phénomène dans de longues scènes de dialogue? (Guerre nucléaire, virus, Fukushima... évidemment rien ne colle comme explication rationelle vu qu'on est dans le fantastique pur). Il aurait pu abréger ça et rester sur son délire... sinon j'aime bien les changements de ton dans ce film, entre scènes gores, thriller, fantastique, scène musicale surréaliste...
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Re: [francesco] Mes critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Sam 16 Mai 2015, 10:03

pourquoi alors plomber une grande partie du film avec les personnages cherchant des raisons au phénomène dans de longues scènes de dialogue?


Pour nourrir les personnages je pense, les construire à travers leurs interactions.

En tout cas ça fait du bien de voir un vrai category III à HK, prêt à exploser les codes.

Sinon, tu as tenté l'adaptation de Parasyte qui vient d'être fansubbé ?
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Re: [francesco] Mes critiques en 2015

Messagepar francesco34 » Sam 16 Mai 2015, 10:38

Non j'ai pas essayé... mais ça avait attiré mon attention sur le site. Ceci dit si il s'agit d'une adaptation je connais pas l'original. Série? Manga?
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Re: [francesco] Mes critiques en 2015

Messagepar osorojo » Sam 16 Mai 2015, 10:48

C'est un manga et un animé ^^ D'ailleurs, je me tâtais à essayer l'animé, tu l'as vu Mark ?

Sinon, il m'intrigue ce Fruit Chan, j'vais surement le tenter à l'occasion !
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Re: [francesco] Mes critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Sam 16 Mai 2015, 10:50

Je ne connais que de réput', mais je n'ai essayé aucun support.

J'hésite... Le manga n'est pas dispo dans ma médiathèque, sinon je commencerais pas là.
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Last of Robin Hood (The) - 7/10

Messagepar francesco34 » Sam 16 Mai 2015, 11:49

The last of Robin Hood
de Richard Glatzer (2013)

Image

Les deux dernières années de la vie d'Errol Flynn (Kevin Kline) de 1957 à 59 à travers sa relation avec Beverly Aadland (Dakota Fanning), sa jeune compagne mineure...

La réputation d'Errol Flynn et les scandales ayant entouré sa vie et son attirance pour les très jeunes filles sont bien exposés et relatés dans ce semi-biopic. Mais ce sont vraiment la jeune Beverly (Dakota, excellente comme toujours) et sa mère (Susan Sarandon) qui sont au centre du film. La plupart des éléments connus sont présents, la mère racontant sa version de l'histoire à un écrivain dans ses propres mémoires malgré le refus de sa fille; l'obsession de Flynn pour les jeunes filles (allusion à son procès de 42 pour viol sur mineures); et le point de vue de Beverly, réellement amoureuse de son mentor, qui l'aura pourtant manipulée: promesses d'une carrière alors qu'elle est de talent médiocre, et il la viole carrément dès leur premier soir (elle n'a que 15 ans). Malgré ça Beverly restera avec lui jusqu'au bout, l'accompagnant partout, annonçant même leurs fiançailles le jour de ses 17 ans...
Le film est intéressant aussi lorsqu'il décortique la position de la mère, très ambiguë, poussant Beverly à une carrière dans le showbiz depuis qu'elle est bébé (report classique de la mère frustrée qui a loupé sa propre carrière suite à un accident l'ayant rendue infirme). Fermant délibérément les yeux sur la relation entre sa fille et Flynn, faisant mine de ne rien voir, puis contrainte de l'admettre lors d'une tournée où Flynn demande directement à ce que Beverly dorme dans sa chambre d'hôtel. La mère payera d'ailleurs cher par la suite dans un procès.
Côté Flynn on ne nous épargne pas non plus son penchant pour la vodka, la drogue également, excès qui ont causé son décès prématuré à seulement 50 ans. Malgré tout on a du mal à détester le personnage, sorte d'épicurien qui profite de la vie façon carpe diem.
On nous raconte même une anecdote amusante, où Flynn voulait absolument jouer Humbert dans l'adaptation de Lolita, mais a voulu imposer sa Beverly à Kubrick pour jouer Lolita, celui-ci refusa la trouvant trop âgée. Finalement celui-ci optera pour une fille à peine plus jeune et toujours trop âgée pour le rôle, mais le film se tournera après la mort de Flynn.
Enfin la reconstitution des années 50 et du milieu du showbiz, assez sobre, est malgré tout plaisante.

7/10
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Sheena, reine de la jungle - 4/10

Messagepar francesco34 » Sam 16 Mai 2015, 13:12

Sheena, reine de la jungle
de John Guillermin (1984)

Image

Sheena est une petite fille plus blonde que Khaleesi, dont les parents explorateurs vont mourir en Afrique. Recueillie par la tribu d'indigène, elle va être élevée par la Shaman qui voit en elle l'élue d'une prophétie. Bien des années plus tard la petite fille est devenue une femme, et alors qu'une menace plane sur sa montagne sacrée, elle va défendre sa tribu...

Adaptation d'un comic des années 30 par le vétéran John Guillermin. Alors au moins y'a quelques moments sympas, les scènes avec les animaux sauvages notamment sont pas trop mal troussées, et y'a le parfum de l'Afrique toujours plaisant, un peu à l'ancienne.
Mais évidemment le côté Tarzan au féminin est assez risible, surtout avec la très jolie mais très fade Tanya Roberts qui ne verra jamais sa carrière vraiment décoller... Forcément on ne peut s'empêcher aussi d'y voir un côté raciste, avec cette blanche élue d'un peuple noir, qui va défendre des terres sacrées contre de méchants noirs (et non pas de colonialiste blanc ici), et qui aura pour allié... un autre blanc (un journaleu). Avec qui elle finira bien évidemment (pas d'amour interracial, faut pas déc!).
Bon y'a d'autres trucs sympas, comme le fait que Sheena soit si innocente (une gamine dans un corps de femme quoi) qu'elle se met à poil devant le gars (et devant nous) sans sourciller, et ne comprend pas trop ce qu'il fabrique quand il l'embrasse... C'est marrant par moments, ridicule souvent, mais c'est pas le pire truc de l'histoire non plus.

4/10
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Jardin secret (1949) (Le) - 6,5/10

Messagepar francesco34 » Lun 18 Mai 2015, 07:15

Le Jardin Secret
de Fred M.Wilcox (1949)

Image

Grand classique de la littérature enfantine de la romancière anglaise Frances Hodgson Burnett, à qui l'on doit également La petite princesse (Princesse Sara, mon préféré des trois) et Le petit lord Fantleroy: romans qui suivent à peu près tous le même schéma. Ce Jardin secret, extrêmement populaire auprès de nombreuses générations d'enfants et parents, a fait l'objet de 3 adaptations cinéma, plus une en animation, plus une suite; mais aussi une série télé, un téléfilm (et la suite en téléfilm également).
On y suit la vie de la petite Mary Lennox, élevée en Inde Britanique qui va se retrouver orpheline suite au décès de ses parents, et va devoir partir vivre en Angleterre chez son oncle qu'elle ne connait pas dans un grand manoir sinistre. Extrêmement pimbêche, la gamine va finir par s'adoucir et rencontrer son cousin caché parce qu'il handicapé et malade de naissance, ainsi qu'un jeune paysan qui connait tout de la nature. Ensemble ils vont redonner vie à un jardin secret, clôt depuis dix ans.
Bien entendu le charme de ce film n'opèrera qu'auprès d'un public non blasé ou encore sensible à ce type de récit naïf. Mais la mise en scène de Wilcox (qui signera un grand classique de la SF, Planète Interdite), surtout au début, apporte une touche de mystère et ambiance à la limite du fantastique. Les plans en noir et blanc de toute beauté de la jeune Mary déambulant de nuit dans le manoir, cherchant l'origine de cris mystérieux, feraient presque penser à un film de la Hammer! Bien sûr cette ambiance ne dure pas, et on entre bien vite dans le vif du récit avec le mystère autour de ce jardin à la porte cachée et fermée à clé. Et lorsque le jardin, ainsi que le jeune cousin, reprennent vie, c'est en technicolor que le film passe subitement. Un peu à la manière du Magicien d'Oz, mais ici ce ne sont que quelques plans dans le métrage.
Côté casting, c'est l'enfant star la plus célèbre de cette époque qui s'y colle, Margaret O'Brien. Le rôle lui va bien, d'abord tête à claque quand elle joue les princesses trop gâtées, puis énergique en enfant rebelle qui va faire bouger les choses pour son cousin. A noter aussi le tout jeune Dean Stockwell (13 ans et déjà 14 films) lui aussi enfant star, dans le rôle du cousin.
C'est rafraichissant, plutôt bien filmé, bref une séance agréable en famille si on veut que ses enfants matent autre chose que des mecs costumés ou du Disney...

6.5/10
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Waterworld - 8/10

Messagepar francesco34 » Mer 03 Juin 2015, 17:42

Waterworld
de Kevin Reynolds (1995)

Image

Pas un grand chef-d'oeuvre mais j'ai néanmoins une affection particulière pour ce film de Reynolds qui lorgne vers le grand film d'aventure ambitieux dans un univers post-apocalyptique.
Je crois que la référence à Mad Max (surtout au 2) n'est pas usurpée, beaucoup d'éléments y font assez directement penser, le mer infinie remplaçant le désert infini... Si les looks des bad guys ne sont pas aussi prononcés que chez l'Australien, ça y va tout de même gaiement dans le style. Dur de ne pas penser à la forteresse dans Mad Max 2 également avec l'atoll où arrive le Mariner en début de film.
Enfin le personnage en lui-même, grand solitaire, qui trace sa route, misanthrope mais qui s'avère finalement bonne âme, et qui poursuivra seul malgré tout à la fin.
La réalisation de Reynolds est sympa, ouvrant le film sur un détournement bien vu du logo d'Universal afin de nous mettre en situation en quelques secondes sans en faire des tonnes. Quand on pense au cauchemar que sont les tournages sur l'eau, celui-ci a dû être un vrai calvaire pour toute l'équipe. Particulièrement pour les acteurs et Kevin Costner, très souvent à l'eau (et sous l'eau). Mais il apporte ce qu'il faut à son personnage de charisme et d'assurance pour le rendre crédible. La petite fille Enola (Tina Majorino qui jouait une gamine mutique dans Corrina, Corrina, se retrouve ici à jouer une intarrissable bavarde) porte sur les nerfs comme il faut, mais s'avère finalement suffisament attachante pour qu'on croie au revirement du Mariner.
Alors on pourra toujours trouver à redire sur plein de détails: comment ont-ils assez d'eau douve et de nourriture pour les centaines de personnes sur le gros tanker des smokers? Après plusieurs siècles seuls, comment leur reste-t-il encore des réserves de carburant?
Ou un manque de subtilité, le gentil est écolo avec son voilier, les méchants utilisent du pétrole, des guns et fument (elles sont pas périmées les clopes après si longtemps dans cet environnement pour le moins humide?).
Bref, le film est totalement imparfait, mais le plaisir finalement éprouvé à ces aventures marines bien fichues et avec un Costner au mieux de sa forme, l'emporte.

8/10
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