*2015* Classement annuel des BKRiens

[Mark Chopper]

Mate Symbol de Matsumoto, je serais curieux de voir ta réaction. Dans le genre humour WTF / débilos, ça se pose là.

[pabelbaba]

Je sens que c'est trop second degré... non?

Faut que j'écrive ma critique d'Aaltra de toute façon.

[Alegas]

Nan mais là pour le coup la faute à Milk et Heat' : c'était clairement pas un film pour eux et ils l'ont maté quand même. Rien à voir avec la qualité du film.

[Heatmann]

ca , c'est pas faux ( comme toi et F7 )

[Scalp]

Pour le merde de Vaughn je dis ça depuis le day one

[Alegas]

ca , c'est pas faux ( comme toi et F7 )

Ah mais ça c'est très vrai et je suis le premier à le reconnaître. Pendant la totalité du film je sentais bien que j'étais pas du tout le public concerné.
Le 8, je pense même pas que je tenterais, à moins qu'il y ait des grosses notes de malade comme le 5 à l'époque mais là vu la moyenne j'aurais dû savoir à quoi m'attendre, mais bon la curiosité de voir Wan sur un truc de ce style a été plus forte, et je suis le premier à le regretter.

[ril]

FF7:3/10
Black Hat:5/10

[Moviewar]

La Promesse d'une vie 6/10

[patpon]

Hacker : 6/10

[Milkshake]

Loin des Hommes de David Oelhoffen : 7,5/10

Mortensen respect. Il faudra que tu ne fasses plus que des westerns.


Selma de David Oelhoffen : 6,5/10

Bradford Young respect. Sinon tout le monde joue bien mais le traitement ne suit pas la force du sujet.

[Waylander]

Hacker : 7.5/10

Mann signe encore un bon film qui souffre néanmoins d'un style bien trop appuyé (à l'instar des derniers Malick) , d'un renouveau type film-documentaire se voulant "réaliste" tout en racontant une histoire romanesque , le tout enrobé d'une ambiance hypnotique presque contemplative dont les multiples cadres à la limite du found-footage me font regretter l'époque de Heat.

Professionnel et méticuleux, Mann ne peut s'empêcher quelques facilités et clichés totalement surréalistes (un hacker beau gosse, grand musclé qui sait se servir d'une arme et tuer des mecs avec un tourne-vis ou encore son intégration dans une grosse équipe du FBI en pleine fusillade, gilet par balles et qui termine sa quête tout seul face à plusieurs mecs experts et entrainés............................ le côté classe et héroïque ce cinéaste mais j'aimerais bien qu'il change d'optique un jour) tout comme il n'évite pas quelques plans foireux ou mouvements tremblotants abusifs de caméra à l'épaule comme un certain Zack Snyder sur Mann of Steel.

Un choix formel largement discutable quand il ne s'agit pas de filmer une scène d'action. Des champs-contrechamps étranges où un plan de visage qui ne tremble pas contredit un second plan d'un second visage très tremblotant (justification ?). Ou encore un plan "propre" suivi d'un plan dégueu qui rappelle encore une fois que l'on regarde un film et qu'il y a une caméra. Ça tient beaucoup trop du documentaire sans parler de la scène d'intro typique de David Fincher sur Panic Room ou Fight Club (gimmick décrié par certains car pas justifier mais chez Mann ça ne l'est pas vraiment non plus. Cela dit c'est sympa, ça fait son effet) ou du plan à l'intérieur du masque

Exemple :

D'ailleurs, je me demande si Mann ne ferait mieux pas d'utiliser la steady-cam pour ses films. Bref , c'est un choix artistique, ça ne se discute pas vraiment mais cela me semble incohérent et ça empêcher de totalment s'immerger dans le film.

Autre exemple avec ce rattrapage de cadrage qui m'a choqué car c'est limite si je ne voyais pas le cameraman dans mon esprit :

On ne s'en rend pas compte sur les screens mais le visage sort presque totalement du cadre et la caméra bouge vers la gauche pour le remettre dedans. Des exemples de ce type, il y en plusieurs dans le film. Ok pour l'immersion mais le style docu caméra à l'épaule ça devient un running-gag dont l'utilisation est de plus en plus abusive et où le spectateur n'a plus l'impression de voir une oeuvre de fiction mais un "faux" documentaire se voulant réaliste alors qu'il ne l'est pas.

Ce plan :

Suivi de celui-ci (sans mouvement ; c'est une coupe franche) Je chipote mais des dizaines de plans de ce genre m'ont un peu gâchés le film.

Pour moi, c'est une faute de syntaxe ahma hein, j'ai pas la science infuse mais c'est la première fois qu'un film de Mann me choque sur la forme (90 % du temps excellente sur Hacker même si Mann fait du Mann quoi). A coté de ça ça reste un bon casting, un excellent Chris Hemsworth, un film sans concessions et surtout un dernier plan excellent digne de la fin de SOCIAL NETWORK et qui renvoi directement à l'affaire Snowden, la surveillance de masse, le hacking : toutes les dérives technologiques actuelles. Un film qui marque notre époque par son sujet d'actualité et sujets à de grosses controverses. La photo est souvent excellente (le final, la première fusillade, la seconde), ça ne fait pas de concessions et c'est tout de même largement passionnant même si le traitement des méchants est en mousse et cliché. J'ai vite oublier le film je pense.

[Dunandan]

Ah mais non là, tu vas poster ça dans la section "critique"

[Scalp]

Hemsworth dans le film sort de 10 ans de prison, il a rien eu d'autre à faire que s'entrainer donc qu'il soit balaise c'est plutôt logique

[Waylander]

C'est pas parce que tu fais de la muscu que tu deviens tireur d'élite et ultra balèze pour tuer un mec. A la base , c'est un hacker il avait rien fait de grave. Pas de meurtre, c'est pas un meurtrier quoi (,il avait juste défoncé un mec dans un bar) et le mec n'hésite jamais dans le film : il prend le flingue il tire, il nique 4 mecs dans un bar, il n'a peur de rien et lors du final, il bute les deux gros méchants comme s'il avait toujours fait ça. Tuer ça ne le dérange pas....Un hacker ça ? Non. Un agent secret ex-militaire oui. En fait le mec sait tout faire.

[Heatmann]

en prison il a appris a se defendre Cf: la facon dont il se prepare au final fight avec des armes faite d outils , de lames , la serviette , les elastique ect .... tout ca , c'est des "technique" de taulard , chose recurrente bien evidement de toute la filmo de mann et comme il le fait toujour , c'est la , mais pas specilement expliquer par un dialogue ou quoi , il part du principe que le spectateur le comprend