[Alegas] Mes Critiques en 2015

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar angel.heart » Mer 01 Avr 2015, 08:47

D'ailleurs tu déconnes pour les Cronenberg ! :evil:

Sinon, y a une rétro Don Siegel de prévue au Bomcast?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Scalp » Mer 01 Avr 2015, 08:47

Yep, y avait rétro Siegel.
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8 Mile - 7,5/10

Messagepar Alegas » Jeu 02 Avr 2015, 09:36

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8 Mile de Curtis Hanson
(2002)


Un film que j'avais clairement envie de voir depuis longtemps, et j'ignore encore pourquoi j'ai autant repoussé la vision , d'autant que Eminem est clairement un mec dont j'apprécie le boulot. J'avais quelques craintes concernant l'intention du métrage, étant donné que ce genre de projet est souvent l'occasion pour un chanteur de se mettre un peu trop en avant, ce qui donne habituellement un film entier à la gloire de l'intéressé (les exemples sont, hélas, nombreux), et donc ici ce qui surprend au premier abord c'est véritablement le côté humble du film. Eminem ne cherche pas à se mettre en avant, il incarne ici un personnage aussi attachant que bourré de défauts (nul doute qu'il y a beaucoup de lui dans un tel protagoniste, ce qui se ressent dans son jeu) et il en va de même pour le récit qui, finalement, se contente de raconter l'histoire de mecs paumés dans une ville paumée (excellent choix que prendre Detroit, symbole même d'une déchéance sociale américaine), une sorte de conte sur l'illusion de l'ambition au sein d'une communauté auquel personne ne fait attention. Si Curtis Hanson ne transforme jamais son film en quelque chose d'exceptionnel, il livre vraiment quelque chose de très correct, ne tombant jamais dans le pathos outrancier, le misérabilisme ou la recherche d'excuses pour son personnage principal, le tout avec des séquences de battles excellentes (qui doivent beaucoup à la présence d'Eminem) et un casting inspiré (Shannon en second rôle, et surtout Basinger surprenante en mère à côté de la plaque). Quand à la chanson de fin, je la trouvais déjà superbe, elle le devient encore plus à mes yeux vu le contexte dans lequel elle s'inscrit. Dans le milieu des films musicaux initiés par un chanteur, c'est pas loin d'être le haut du panier sur tous les points.


7,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Scalp » Jeu 02 Avr 2015, 12:30

Le choix de Detroit c'est juste parce qu'il est de Detroit.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Jeu 02 Avr 2015, 12:43

Quel fouteur de merde ce Scalp. :eheh:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Scalp » Jeu 02 Avr 2015, 12:48

Non mais je précise juste, dans sa phrase on dirait qu'il choisit une ville alors que non, faut être précis dans la vie.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Jeu 02 Avr 2015, 12:56

Nan mais je sais bien, c'est juste que si c’était pas Alegas, tu n'aurais pas fait ton enculeur de mouches. :nono:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Jeu 02 Avr 2015, 13:00

C'est pas les mouches qu'il veut enculer.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Scalp » Jeu 02 Avr 2015, 14:49

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Hacker - 8/10

Messagepar Alegas » Sam 04 Avr 2015, 22:12

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Blackhat (Hacker) de Michael Mann
(2015)


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S'il y a bien une chose qu'on ne peut pas reprocher à Michael Mann, c'est bien sa cohérence tout au long de son œuvre, que ce soit d'un point de vue visuel, sonore, thématique, ou tout simplement dans le constat d'une évolution perpétuelle d'une mise en scène qui, finalement, a toujours été la même depuis le début, caméra numérique ou pas. Renoir disait qu'un réalisateur était condamné à réaliser le même film jusqu'à la fin de sa vie, et sa citation s'adapte parfaitement à un film comme Blackhat qui est, à bien des égards, un best-of conséquent de toute la carrière de son auteur. Non seulement le film se rapproche aisément d'un Miami Vice ou d'un Collateral à plusieurs niveaux, mais il est étonnant de constater que quasiment chaque scène, chaque personnage, chaque situation peut se retrouver d'une certaine manière dans d'autres films du réalisateur. Cependant, cette constatation est loin d'être un défaut, puisque derrière cette apparente répétition se cache un cinéaste qui est en perpétuelle évolution sur son cinéma et qui, à 72 ans, se permet encore de ridiculiser une très grosse partie de sa jeune concurrence.

ImageImageImage


Car si Blackhat est bien un film de Michael Mann, avec tout ce que cela implique en terme de thématiques et de réflexions, c'est avant tout un divertissement de premier ordre. On aurait pu penser que Mann avait plusieurs décennies de retard avec un genre tel que le cyber-thriller, et pourtant il s'éloigne finalement rapidement de son postulat de départ pour dépeindre non seulement un monde en constante opposition entre les forces physiques et virtuelles, mais aussi et surtout des personnages qui vont évoluer par rapport à cette opposition. Le meilleur exemple venant du personnage principal, hacker expérimenté qui, après un long séjour en prison, va totalement reconsidérer ses créations passées, leurs conséquences ou encore l'emprise qu'il peut avoir sur le monde qui l'entoure au point de revenir à un stade plus humain, plus crû et revenir ainsi à des valeurs basiques. Mann, en réalisateur accompli, ne se contente donc pas de mettre en scène une simple série B comme certains le pointeront du doigt, mais bien un film qui rentre totalement dans ses constructions scénaristiques habituelles, au point de souligner son propos par des choix visuels étonnants. Ainsi, le climax final, au-delà de la recherche du spectaculaire, est finalement une quasi-représentation des plans en CGI de début de film, avec une foule compacte allant dans un sens, telles les informations d'un système informatique, et où le héros devra se débattre parmi elle et aller à contre-courant (et donc de sa nature) pour remporter la partie.

ImageImageImage


Un exemple parmi d'autres qui font de Blackhat un objet formel fascinant, en plus d'un thriller de haute qualité qui, avec quatre scènes d'action, prouve que Mann reste encore un sacré metteur en scène. Comme d'habitude chez Mann, le moindre personnage se révèle, derrière sa construction basique, tout simplement authentique (il suffit de voir comment il humanise le personnage de Viola Davis ainsi que le marshall en trois lignes de dialogue), l'atmosphère peut passer de l'onirisme (la scène sur le tarmac de l'aéroport) à la violence pure et simple (la fameuse scène qui arrive sans prévenir), et devant le plan final, totalement Mannien dans l'esprit, on ne peut que se rendre à l'évidence : non seulement Blackhat est bel et bien un bon film, mais il s'inscrit d'une manière étonnante dans une filmographie pourtant déjà très riche. Nul doute que Mann n'a pas fini de nous surprendre et qu'il saura, dans quelques années, renouveler un tel tour de force.


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8/10
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Amadeus - 8,5/10

Messagepar Alegas » Sam 04 Avr 2015, 23:19

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Amadeus de Milos Forman
(1984)


Revision un poil à la baisse. Dans mes souvenirs c'était un chef-d’œuvre intouchable, finalement je dois avouer que j'ai pesté contre quelques longueurs, qui ne sont même pas dues à la Director's Cut tant cette dernière me paraît indispensable, transformant le récit de façon singulière : de film sur la jalousie de Salieri, on passe à une confrontation entre deux personnes que le destin, ou le divin, confrontent pour dévoiler le pire de leur humanité et leurs faiblesses. Néanmoins, Amadeus reste un modèle de film historique, délaissant le biopic attendu pour adapter le meilleur de la pièce de Shaffer, à savoir cette fameuse relation entre un homme à la position sociale envieuse, et un jeune prodige qui cherche à obtenir la sienne pendant qu'il ridiculise, à coup de piano et de rires, le premier de par son talent inné.

Si le personnage de Mozart, malgré des séquences se concentrant sur son obsession à livrer du travail toujours plus brillant et novateur, c'est clairement Salieri, brillamment interprété par F. Murray Abraham qui trouve le rôle de sa vie, dont la relation avec le jeune compositeur se révèle sacrément ambiguë. Entre sa volonté de l'éloigner pour garder sa place, et un rapprochement constant pour comprendre sa musique, Salieri est un vrai personnage de cinéma qui permet à Amadeus d'atteindre des thématiques sacrément inattendues de la part d'un tel film, notamment tout ce qui touche au rapport au divin, Salieri se persuadant que Dieu se joue de lui à travers un personnage qui est, à bien des égards, son total opposé. Si c'est bien le script qui fait la force de ce film, il serrait dommage d'oublier que le travail de Milos Forman doit beaucoup au succès du métrage, avec une photographie à tomber et une caméra qui arrive à s'effacer derrière son sujet (qualité souvent présente dans ses films). Un grand film, ni plus ni moins, à l'époque où l'on donnait une flopée d'oscars à des films qui le méritaient vraiment.


8,5/10
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Chromosome 3 - 3/10

Messagepar Alegas » Dim 05 Avr 2015, 14:11

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The Brood (Chromosome 3) de David Cronenberg
(1979)


Ce n'est pas ce film qui me réconciliera avec le David Cronenberg d'avant La Mouche. Hormis son Frissons (et un peu Videodrome), j'ai vraiment beaucoup de mal avec cette période où je ne vois guère plus que du téléfilm cheap avec quelques bonnes idées par ci par là. The Brood n'est pas une exception, loin de là, et bien que l'aspect presque autobiographique du script fait que le film décolle par moment en terme d'implication émotionnelle, cela concerne finalement un petit nombre de séquences. Encore une fois, si les bonnes idées répondent parfois présentes (les attaques du gosse sont plutôt bien gérées en terme de tension), le fait est que le film, dans sa globalité, donne l'impression de manquer cruellement d'un budget plus confortable pour lui conférer autre chose qu'un visuel quelconque. Photographie banale, mise en scène qui se contente de peu, casting à la rue (qui rend certaines scènes, censées être spectaculaires, ridicules, à l'image de la scène où la femme du héros dévoile son secret anatomique) et composition musicale franchement pas réjouissante, The Brood est à l'image d'un film comme Dead Zone : parfois intéressant, mais clairement pas mémorable pour un sou.


3/10
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Big Eyes - 4,5/10

Messagepar Alegas » Lun 06 Avr 2015, 13:25

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Big Eyes de Tim Burton
(2014)


Ce n'est toujours pas avec ce film que Tim Burton reviendra d'entre les morts. Si sa lente déchéance depuis 15 ans a été ponctuée de quelques sursauts (Big Fish, Corpse Bride et un peu Sweeney Todd), Big Eyes fait plutôt office d'une petite pause rafraîchissante mais loupée, dans le sens où elle n'apporte absolument rien à un cinéaste qui a énormément de mal à se renouveler. Le film aurait pu être ce que Ed Wood avait été dans les années 90, à savoir la preuve que Burton est capable de faire autre chose que du Burton, et s'il s'efface devant son sujet c'est finalement pour se faire totalement oublier dans le cas de Big Eyes, qui aurait pu être finalement réalisé par n'importe qui. Le film possède des qualités, entre un duo efficace (Amy Adams, toujours aussi belle, et Waltz à fond dans un surjeu volontaire) et une écriture qui aligne quelques bonnes idées, notamment une séquence dialoguée avec Terence Stamp qui ferait presque penser, avec un certain sens de lecture, que Burton réfléchit sur sa position en tant qu'artiste, mais en soi le film est tout de même largement anecdotique et s'avère être un de ces énièmes moments plaisants que l'on oubliera très rapidement. Vu les projets à venir du réalisateur, je doute que la renaissance soit pour tout de suite, et c'est bien dommage car l'impression que même ses grands fans finissent par le lâcher devient clairement de plus en plus forte.


4,5/10
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Scanners - 5/10

Messagepar Alegas » Mer 08 Avr 2015, 21:39

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Scanners de David Cronenberg
(1981)


Bon bah encore une fois, le Cronenberg pré-La Mouche a frappé. Ceci dit, ce Scanners est certainement un de ceux qui passent le mieux, notamment grâce à un aspect divertissant assez étonnant pour son auteur qui, jusque là, se refusait totalement à ça (du coup, j'oserais presque dire que ça annonçait en quelque sorte La Mouche et Dead Zone sur ce point). Ce film a même un côté X-Men avant l'heure, avec des mutants aux pouvoirs sacrément dévastateurs, ce qui donne lieu à la plus grande qualité du métrage, à savoir ses effets visuels. Sur ce point là, le film est inattaquable, notamment en constatant que quasiment rien n'a vieilli, à l'image de ce duel final intense qui va sacrément loin visuellement et ce, sans jamais tomber dans le ridicule ou le too much. Final mémorable, premier quart d'heure réussi, dommage néanmoins que le film possède un acte central pas spécialement captivant, la faute à une absence de séquences marquantes (en gros, à partir de la scène d'action à la cachette de Pierce, le film devient assez mou) et à une mise en scène qui, comme souvent chez ce réalisateur, se contente du strict minimum, imagerie pauvre et télévisuelle à l'appui. Pas une séance désagréable donc, mais encore une fois je ne suis pas convaincu par le Croneberg de cette époque.


5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Mer 08 Avr 2015, 21:42

T'es généreux pour celui-là. A part la scène finale, il y a pas grand chose a sauver dans ce truc.
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