- Bonjour mon grand, comment t'appelles-tu ?
- Olrik.
- Qu'est-ce que tu aimes bien faire Olrik ?
- Regarder des films.
- Oh ! C'est bien ça ! Et quel genre de films ?
- Bin, par exemple, en ce moment, j'aime bien regarder des pinky violence.
- Des pinky violence ?
- Voui, des films japonais avec des filles à poils qui se battent au couteau les lolos à l'air. Souvent gros les lolos.
- Euh...
- J'aime bien aussi les pinku un peu crapoteux avec dedans d'anciennes AV idols.
- Pinku ?... AV idols ?...
- Bin ouais ! Des films de bistouquette sauf qu'ils le font pas vraiment. Par contre les AV idols sont des filles qui l'ont souvent fait plein de fois pour de vrai dans des films.
- Bon, euh, qu'est-ce que tu vas nous chant...
- Et pis aussi, les vieux films français, ça me plaît bien ça. J'en ai vu un chouette hier !
- Ah ? Lequel ?
-
Les Yeux sans visage, de Franju. Sur une fille qu'a un accident et qui est défiguré. Mais son papa qui est savant fou va zigouiller plein de filles pour arracher la peau de la gueule et la greffer sur celle de sa fille.
- Bon, Olrik, il faut vraim...
- Et j'aime bien aussi les films américains un peu violents. D'ailleurs, ce soir, je vais voir
un Tueur sur la foule sur, euh, un tueur qui va tirer sur la foule dans un stade plein à craquer. J'aime bien comme les histoires ne sont pas compliquées comme ça.
- Olrik, nous n'avons plus le temps, il faut vraiment que tu chantes pour laisser du temps à tes petits camarades. Qu'est-ce que tu vas nous chanter ?
-
le père Simon.
- Bien, nous t'écoutons.
-
Il était un petit homme,
Qui s’appelait le père Simon.
Il alla sur la montagne,
Ton-ton tai-ai-ne,
Pour entendre tirer l’canon,
Ton-ton taine et ton ton ton.
Il alla sur la montagne,
Pour entendre tirer l’canon.
Il serra si fort les fesses,
Ton-ton tai-ai-ne,
Qu’il chia dans son pantalon,
Ton-ton taine et ton ton ton.
Il serra si fort les fesses,
Qu’il chia dans son pantalon.
Toutes les dames de la ville,
Ton-ton tai-ai-ne,
Lui apportèrent des torchons,
Ton-ton taine et ton ton ton.
Toutes les dames de la ville,
Lui apportèrent des torchons.
Elles lui essuyèrent les fesses,
Ton-ton tai-ai-ne,
La raie du cul tout au long,
Ton-ton taine et ton ton ton.
Elles lui essuyèrent les fesses,
La raie du cul tout au long.
"Je vous remercie Mesdames
Ton-ton tai-ai-ne,
De votre bonne attention,
Ton-ton taine et ton ton ton.
"Je vous remercie Mesdames
De votre bonne attention.
Quand vous irez par la ville,
Ton-ton tai-ai-ne,
N’oubliez pas ma maison,
Ton-ton taine et ton ton ton.
Quand vous irez par la ville,
N’oubliez pas ma maison.
Nous y tromperons la soupe,
Ton-ton tai-ai-ne,
A la merde et à l’oignon,
Ton-ton taine et ton ton ton.
Nous y tromperons la soupe,
A la merde et à l’oignon.
Celles que cela dégoûte,
Ton-ton tai-ai-ne,
Auront la merde sans l’oignon",
Ton-ton taine et ton ton ton.