[oso] Ma prose malade en 2015

Modérateur: Dunandan

Best of the best - 5/10

Messagepar osorojo » Jeu 12 Mar 2015, 17:56

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BEST OF THE BEST

Robert Radler | 1990 | 5/10
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Réconciliation américano-coréenne à coups de latte

Allez, la journée à été rude, j’ai bien envie de renouer avec un vieux souvenir, un de ces films de baston qui te fait fendre l’air de tes poings, l’impression d’être un dur, du haut de tes 10 ans, après une séance que tu te remémores comme musclée. C’est le sourire aux lèvres que j’ai lancé Best of the best, l’envie de voir du tobi-yoko-geri en série (google m’a aidé pour celui là, hein, j’ai toute ma tête, je ne me bats qu’avec une manette en main) et le lait-fraise paillé sur la table basse, on est bien : balance la tatane !

Et bien mes amis, de l’éclatage de mâchoire en règle, il ne faut pas en attendre trop, sous peine de vivre encore plus mal une plongée téméraire dans cette nostalgie qui nous fait enjoliver plus que de raison certains souvenirs. Best of the best est un film de tournoi assez mou du genou, qui enchaîne les stéréotypes comme les tartines de miel, rien à l’horizon pour rassasier votre déviance martiale, à part peut-être une petite rixe de bar amusante qui laissait augurer un honnête defouloir. Mais rapidement, on se rend compte qu’il faudra se contenter d’un entraînement poussif nappé d’une sauce zen assez ringarde.

Par contre, en mode nanard de fin de soirée, Best of the best s’avère être un outsider de choix. Musique bien pompeuse, jeu plus qu’approximatif, abdos saillants, pectoraux marbrés, et un script qu’Elizabeth Tessier elle-même aurait pu prévoir sans se planter, on passe son temps à déployer une gorge qui s’irrite à force de rire bruyamment. Les 10 dernières secondes sont savoureuses, les vilains tueurs coréens ne sont finalement pas si méchants ; quand ils exécutent du compétiteur avec le sourire, c’est parce qu’ils ont une conscience professionnelle qu’un états-unien ne peut cerner.

Moralité, si toi aussi t’as un bon souvenir de ce didacticiel éducatif à base de Taekwondo laborieux et que tu souhaites y retrouver le côté pataté d’une paire d’incisives qui se brisent, passe ton chemin. Si par contre, tu es prêt à désacraliser ton souvenir, qu’une fin de soirée nanarde guimauve ne te fait pas peur et que t’aimes bien Chris Penn, Best of the best pourrait alors te mettre gentiment en condition avant d’aller te pieuter, la jauge de bonne humeur à bonne hauteur.
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Snake of June (A) - 8/10

Messagepar osorojo » Dim 15 Mar 2015, 18:58


★★★★★★ ZE CHALLENGE DÉCOUVERTE ★★★★★


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A SNAKE OF JUNE

Shinya Tsukamoto | 2002| 8/10
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Muse à mort

Un corps qui s’effeuille sous la contrainte, une âme en quête d’un plaisir charnel qui se terre dans les tréfonds d’un corps mutilé par la normalité, dans A snake of June, toute la rage de Tsukamoto se cristallise dans une tranche de vie vaporeuse qui ne fait pas de compromis.

C’est une farouche alliance de plaisir et de douleur qui poursuit Asuka Kurosawa, sublime muse offerte corps et âme à un cinéaste dont l’objectif premier est la mise à nu des sens de façon à bousculer un quotidien routinier peu propice au plaisir véritable. Celui qui ronge les entrailles de ceux qui ne parviennent pas à se faire une douce place dans la case qui leur a été attribuée, ceux qui aspirent à davantage, à vivre pleinement une vie rendue éphémère par un corps destiné à se faner.

Une thématique mainte fois traitée à l’écran, souvent de manière romantique, mais chez Tsukamoto, il n’en est rien. Celui qui aime bousculer les esprits, voir provoquer ses spectateurs les plus ancrés dans leurs convictions, opte pour un savoureux mélange d’érotisme subtile et de violence brutale. La prise de conscience de ses personnages se fait en dernier recours ou par la contrainte, à coup de « Doc Martens » dans la gueule.

A snake of June porte les traits de caractère de son auteur, une ambiance sonore oppressante, un montage agressif et finalement assez peu de dialogues. Quand le trio de marionnettes s’exprime, c’est sans détour. Tsukamoto ne mâche pas ses mots, écorche l’homme et son égoïsme chronique, pose la question de ce qui symbolise la féminité et finit son film au moyen d’une réconciliation qui passe par l’extase des sens. Une belle parenthèse, Rock’n’roll et sensible.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Mark Chopper » Dim 15 Mar 2015, 19:09

Manque des captures d'Asuka :chut: :mrgreen:
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar osorojo » Dim 15 Mar 2015, 19:10

Tant pis, j'ai la flemme ^^
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Mark Chopper » Dim 15 Mar 2015, 19:11

Mais est-ce que tu peux expliquer pourquoi tu as la flemme ?
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar osorojo » Dim 15 Mar 2015, 20:39

:eheh:
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Lettres d'un homme mort - 7,5/10

Messagepar osorojo » Sam 28 Mar 2015, 13:18

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LETTRES D'UN HOMME MORT

Konstantin Lopouchanski | 1986 | 7.5/10
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Balade au coeur de l'atome

A l’heure où les livres ne servent plus qu'à réchauffer les âmes perdues qu’un soleil embrumé ne peut désormais plus irriguer en vitalité, le désespoir semble avoir pris possession du monde. Réflexion très noire sur le nucléaire et ses dangers, mais plus généralement sur la nature humaine, Lettres d’un homme mort est une œuvre asphyxiante qui, malgré sa courte durée, se révèle assez exigeante à suivre.

La faute à un travail photographique oppressant qui ne laisse jamais les corps reprendre leur respiration. Perdus dans les paysages dépressifs de Konstantin Lopouchanski, les poumons ne peuvent espérer rien d’autre qu’un air sous-terrain vicié. Quand ils ne sont pas à l’abri, coupés d’une atmosphère radioactive dans des espaces clos peu éclairés, c’est par l’intermédiaire d’un masque à gaz étriqué qu’ils peuvent contempler les extérieurs ravagés d’une terre que l’humanité a éteinte.

Lettres d’un homme mort pourrait alors se conforter dans son pessimisme originel, en laissant ses personnages s’embourber dans un chemin qui ne conforte que leur perte future. Mais Konstantin Lopouchanski distille dans son avertissement sentencieux un humanisme salvateur pour rappeler que si l’homme est enclin à détruire, il peut aussi se montrer altruiste et bien décidé à se battre. Bien loin de la fibre héroïque qui généralement, au cinéma, sauve les bipèdes de leurs âneries, ici c’est un père de famille dépassé, un ancien professeur totalement perdu, uniquement maintenu à flot par l’espoir ténu de retrouver un jour son fils disparu, qui se fait le vecteur d’un espoir balbutiant. Sa fibre paternelle, qui s’exprime atour d’un sapin de noël de fortune, fait la différence et permet au film de s’éteindre de belle manière.

Non pas que Konstantin Lopouchanski énonce clairement le début d’une réconciliation avec l’humanité, mais il n’exclut pas l’espoir que cette dernière puisse retrouver ce souffle noble qui l’a construite. Lettres d’un homme mort se ferme sur l’image très forte d’une file indienne enfantine au destin incertain, mêlant tristesse et espoir sans réellement favoriser l’un ou l’autre. Un équilibre des force subtil qui permet à ce film post-apocalyptique singulier d’inspirer un profond respect même s’il ne provoque pas, de façon immédiate, une vive envie de le revoir.
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Journey to the west : Conquering the demons - 8/10

Messagepar osorojo » Mer 01 Avr 2015, 19:16

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JOURNEY TO THE WEST

Stephen Chow, Derek Kwok | 2013 | 8/10
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Partie de pêche démoniaque

Lancé sans grande motivation, un peu au pif pour être honnête (ce moment où ça fait une heure que tu cherches un film à mater et que tu fermes les yeux en cliquant au hasard, fais-pas genre, je sais que tu fais pareil !), Journey to the West, avec ses combats d’une créativité redoutable, son pitch classique mais exploité à la perfection, sans aucune baisse de rythme, et ses ruptures de ton constantes, fait l’effet d’un concentré d’énergie communicative qui file le sourire.

Petite rasade de bonne humeur qui prend la forme d’un exercice de style marqué par l’univers bien particulier de Stephen Chow, virtuose ludique qui se joue des genres avec une aisance insolente. Une petite base de folklore chinois, une pincée de baston dantesque, un zeste de comédie absurde et une mise en scène sauvage ; tous ces petits éléments disparates finissent par se conjuguer en une récréation savoureuse.

Qu’on se le dise, Journey to the west est un divertissement en or massif, mais un divertissement pour adulte, un vrai. Mature dans ses thématiques et surtout très cash quand il doit l’être : Chow n’hésite pas à rayer de l’image petits et grands au besoin de son script, et quand un personnage, qu’il soit sympathique ou non, doit sortir de l’histoire, c’est en grande pompe, avec violence, sans sentiment, ni remord. Le fruit d’une écriture sans concession qui fait dans l’efficace et ne courbe pas l’échine devant la pression du divertissement populaire sans aspérité qui caractérise habituellement les films à grand spectacle.

Alors tout n’est pas parfait, l’image accuse par moment un côté assez cheap et certains effets spéciaux sont un peu à la peine. Mais ces gimmick visuels un peu tout much se font pardonner parce qu’ils s’inscrivent dans un folklore type mythes et légendes qui se prête plutôt bien à l’exagération graphique. Et pour contrebalancer cette anarchie visuelle constante, tous les acteurs en présence se donnent à 3000% pour suivre la frénésie abusive d’un cadre intarissable de dynamisme.

On pourra émettre quelques réserves à propos de la fin (tout petit) : Chow se fait véroler par la fièvre contagieuse de la saga en jouant le petit malin avec un dénouement qui appelle une suite. Mais pour le coup, je déroge à mes principes : s’il me promet une petite dose de Shu Qi (<3) au menu, que sa troupe est motivée pour remettre le couvert avec le même panache et qu’il emballe le tout avec autant d’idées, je suis prêt à me laisser corrompre sans rougir.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Mark Chopper » Mer 01 Avr 2015, 19:24

Chow se fait véroler par la fièvre contagieuse de la saga en jouant le petit malin avec un dénouement qui appelle une suite.


En même temps c'est un pavé qu'il adapte :mrgreen:

Sinon tout pareil, j'adore ses ruptures de ton. Un gosse qui crève entre deux blagues débiles :eheh:

Et Shu Qi :love:

(La suite c'est Tsui Hark qui s'y colle aux dernières nouvelles.)
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Dunandan » Mer 01 Avr 2015, 19:28

Et puis très sympa le teasing à la fin, on se croirait dans un manga :bluespit:

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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar angel.heart » Mer 01 Avr 2015, 19:35

Si quelqu'un a un billet pour celui-là, ça m'intéresse. :voleur:

EDIT : affaire réglée.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Jimmy Two Times » Mer 01 Avr 2015, 20:54

Je suis également preneur :mrgreen:
I'm the motherfucker who found this place!
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar Mark Chopper » Mer 01 Avr 2015, 21:18

Quand tu auras fini ton cycle Kitano.
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Re: [oso] Ma prose malade en 2015

Messagepar osorojo » Lun 06 Avr 2015, 21:22

Comme j'suis en mode flemmard depuis le début de l'année, un ti récap du we.

Wild : 5/10 Trop c'est trop. De belles images, Reese y met du sien, mais le sous texte qui motive sa marche interminable est trop pompeux et scolaire. J'ai fini en baillant, pressé d'en finir.

Chef : 5/10 Du divertissement familial classique. On sait ou on va, aucune surprise à l'horizon, mais ça fait le taff, on sourit devant cette apologie des réseaux sociaux et de la bonne bouffe. Sitot vu, sitot oublié, sitot rabaissé, mais bon, la séance est pas désagréable, j'pourrais foutre 4, comme 6, alors j'mets 5.

La French : 7/10
Je surnote un poil parce que je me suis laissé surprendre par ce film de truands presqu'à l'ancienne qui n'en fait pas trop, si ce n'est lors de son final un brin consensuel et fortement appuyé. Sinon, niveau acting et réal, il y a belles choses, suffisamment en tout cas pour le mettre à part dans le thriller historique à la française qui est généralement très ampoulé et théâtral au possible. Dujardin fait plus que le taff, Lellouche m'a un peu moins convaincu par contre, même s'il est loin d'être mauvais. Vraiment une belle surprise, un très bon moment, j'attends avec intérêt le prochain film de sieur Jimenez ! :p

Le chant de la mer / 2014 / 8/10
Ben merde. En famille pour le passage des cloches (j'parle pas de moi), j'me suis posé avec mon neveu de 4 ans devant ce dessin animé qui l'hypnotise en ce moment. J'ai vite compris pourquoi ! Belle utilisation du folklore nordique, des dessins inspirés, une atmosphère globale magique pour une tranche de vie sincère et touchante. Un vrai coup de coeur.
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Nuit (Une) - 6/10

Messagepar osorojo » Dim 12 Avr 2015, 18:56

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UNE NUIT

Philippe Lefebvre | 2012 | 6/10
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Dernière tournée avant l'aube

Il ne manque pas grand-chose à Une nuit pour sortir du peloton des polars modernes à la française peu fournis en valeurs sures. Des acteurs secondaires plus inspirés d’une part, pour accompagner la belle prestation d’un Roshdy Zem au charisme rageur. Et un fil rouge un peu moins étiré d’autre part, car si l’on comprend l’envie qu’a Philippe Lefebvre de jouer avec les atmosphères vaporeuses d’un Paris underground, bien vite la petite balade de son inspecteur au cœur du vice de la capitale peine à se renouveler. Lorsqu’il visite pour la troisième fois la boite de nuit de son copain Samuel, l’intérêt retombe, pire, lorsque le twist final tente de faire basculer l’histoire, on sent venir la tentative d’entourloupe.

C’est bien dommage, Une nuit n’avait pas besoin de cette arnaque finale de mauvais goût, que l’on ne voit pas forcément venir, mais qui ne se justifie pas vu la tournure que prend le script dans son dernier souffle. Des atouts, Philippe Lefebvre en avait pourtant sortis suffisamment de sa manche pour ne pas tenter ce coup de poker final : de belles ambiances nocturnes, une photographie léchée et surtout une justesse remarquable dans le traitement de l’inspecteur borderline auquel Roschdy Zem prête ses traits.
Là où habituellement, on nous sort un énième dirty Harry qui fout des marrons avant de poser les questions, Philippe Lefebvre choisit de mettre en scène un homme de tempérament qui manie la maxime avec aisance, plaçant patiemment ses pions comme le ferait un très bon joueur d’échec pour garder un coup d’avance sur ses némésis.
Mais voilà, si l’inspecteur est le fruit d’une plume habile, les personnages qui sont censés le mettre en valeur peinent eux à suivre la distance. De la coéquipière fadasse (mimi mais c’est tout), au copain truand qui souffre d’une interprétation peu inspirée (merci Samuel), ils n’apportent pas grand-chose à l’intrigue.

Si on lui passe ses personnages accessoires, Une nuit est une jolie surprise. Porté par une caméra précise qui croque un Paris nocturne du plus bel effet, le film de Philippe Lefebvre a quelque chose de singulier qui le rend sympathique, mais il lui manque un poil de consistance pour s’inscrire plus durablement dans le genre qui le caractérise.
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