logan a écrit:Aucun rapport pour le coup en ce qui me concerne. Et pourtant j'adore Demoustier et Moati mais le mélange des genres fonctionnent pas du tout, c'est une succession de quiproquos poussifs et de sentiments amoureux pour les nuls (la fin est nulle de chez nulle), un gros ratage à mon humble avis.
La référence à Maestro, c'est pas pour le sujet (quoique dans Maestro aussi on avait un petit triangle amoureux où un mec et une nana étaient à fond sur la même meuf), mais pour le traitement très léger, désinvolte, d'un sujet finalement assez profond : réflexion sur le désir, l'amour, le couple et toutes les "normes" qui entourent tout ça.
J'ai aimé cette façon de faire, en reprenant des situations typiques du vaudeville (l'amant dans le placard) mais revisitées de manière assez inédite. Et surtout, contrairement à toi, j'ai trouvé que ce n'était jamais poussif, ça évite toujours la grosse comédie lourdingue. Même ces quiproquos sont teintés d'une certaine mélancolie, ça vire jamais à la grosse blague.
Quant à la fin, elle arrive un peu comme un cheveux sur la soupe c'est vrai. Mais je la trouve assez cohérente avec le personnage en question.