[puta madre] Mes critiques en 2015

Modérateur: Dunandan

Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar puta madre » Jeu 12 Mar 2015, 09:21

Mark Chopper a écrit:Toute critique de ce film sans capture est interdite :nono:

Bon, Mark, puisque tu insistes:

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Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Jeu 12 Mar 2015, 09:28

:love:

:mrgreen:
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Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar Scalp » Jeu 12 Mar 2015, 11:19

C'est quoi ces plans de teub !!!!
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Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar puta madre » Jeu 12 Mar 2015, 12:09

Bah des captures du film. Ça va t'inciter à la voir? :eheh:
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Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Jeu 12 Mar 2015, 12:27

Putain avec Paz Vega et Elena Anaya nues les 3/4 du temps, tu aurais rendu le film plus vendeur.
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Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar Scalp » Jeu 12 Mar 2015, 13:13

puta madre a écrit:Bah des captures du film. Ça va t'inciter à la voir? :eheh:


Hum.... me tâte
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Heartless - 6/10

Messagepar puta madre » Jeu 12 Mar 2015, 16:19

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Heartless

Philip Ridley — 2009 — 6/10
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Le moins que l'on puisse dire, c'est que Philip Ridley est loin d'être le cinéaste le plus prolifique en activité. En vingt-cinq ans de carrière, il n'aura signé que trois long-métrages, avec quatorze ans d'écart entre son avant-dernier Darkly Noon et celui-ci. D'ailleurs, il n'a plus donné signe de vie depuis Heartless en 2009. On sent avec ses films une réelle volonté de sortir du tout-venant du cinéma fantastique, notamment à travers son discours sur les fêlures et fragilités de l'être humain. L'élément fantastique joue le rôle d'un catalyseur des passions et des troubles de ses protagonistes. Il fait des merveilles avec les maigres budgets qui lui sont accordés, Heartless bénéficiant à ce titre d'un joli traitement visuel. Néanmoins, celui-ci est pénalisé par son rythme assez lent. Le cinéaste est obligé de multiplier les circonvolutions afin d'éviter que son récit ne s'essouffle trop rapidement et étire le métrage jusqu'à une durée de 114 minutes. Heartless pâtit également d'un twist facile et assez prévisible, mais se rattrape par son émouvante image finale. Bref, un film fantastique plus exigeant que la moyenne mais desservi par sa durée excessive et sa lenteur.
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Film: Heartless
Note: 8,5/10
Auteur: Jack Spret

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Bob et Carole et Ted et Alice - 5/10

Messagepar puta madre » Jeu 19 Mar 2015, 13:08

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Bob et Carole et Ted et Alice
Bob & Carol & Ted & Alice

Paul Mazursky — 1969 — 5/10
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Une comédie bien dans l'air du temps au moment où elle a été tournée mais qui paraît un brin datée aujourd'hui. Bob et Carol... étudie les réactions de deux couples de trentenaires face au phénomène de l'amour libre et des philosophies hippies. Bob et Carole (Natalie Wood et Robert Culp) assistent en début de métrage à un séminaire de libération de la pensée qui va bouleverser leur mode de vie. A leur retour, ils vont partager leur expérience avec leurs amis Ted et Alice (Elliot Gould et Dyan Cannon), qui vont recevoir avec un scepticisme amusé ce changement de comportement avant de remettre en question leur propre couple. Le film part d'un postulat original pour un résultat très, voire trop, dialogué. Pour une comédie, l'ensemble manque de rythme et se distingue davantage par une douce ironie que par des passages réellement amusants.

Heureusement, les quatre acteurs sont excellents, avec une mention particulière pour Dyan Cannon, dont le personnage est farouchement opposé à ce que ses amis sont devenus et va l'exprimer à plusieurs reprises de manière bien énervée (cf. sa réaction après que Carol lui ait annoncé le plus naturellement du monde que Bob l'a trompé et que cela a renforcé son amour pour son mari). Le scénario donne lieu à d'excellents moments: la scène du lit où Ted est trop agité pour dormir, ce qui aboutit à une longue discussion qui les tiendra tous deux éveillés; Alice face à un psychologue dubitatif; le passage où Bob surprend sa femme avec un autre et va passer de la colère à l'acceptation progressive, allant jusqu'à inviter l'amant à boire un verre avec lui. La scène de partouze entre les quatre amis présente sur la jaquette du dvd, image qui m'a vendu le film, arrive bien tard, dans le dernier quart d'heure. Elle confronte les personnages à leur façon de penser et finit par démontrer qu'ils ne sont pas aussi ouverts qu'ils aiment à le penser. Une conclusion mi-ironique, mi-désenchantée, aussitôt suivie par un épilogue fantaisiste sorti de nulle part et à tendance guimauve, vantant les vertus de l'amour sur l'air de "What the World Needs Now Is Love" de Jackie DeShannon.
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Last American Virgin (The) - 6/10

Messagepar puta madre » Mer 25 Mar 2015, 18:00

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The Last American Virgin

Boaz Davidson — 1982 — 6/10
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Les commentaires contenus dans le documentaire Electric Boogaloo me faisaient craindre le pire quant à la qualité de ce Last American Virgin, qui constitue finalement un teen movie assez sympathique. Produit par la Cannon des débuts, il suit une trame similaire au premier American Pie, en relatant les tentatives de trois amis pour perdre leur virginité. Si ses deux camarades arrivent rapidement à leurs fins, le héros va jouer de malchance, devenant ainsi le dernier puceau américain du titre. En parallèle, il va tomber amoureux d'une fille qui s'est éprise d'un de ses amis.

Voir The Last American Virgin aujourd'hui, c'est faire une cure de jouvence, se replonger dans l'ambiance particulière des teen movies 80s qui ont bercé ma jeunesse, avec leur description typique des lycées américains et de la jeunesse des suburbs. La BO constituée de morceaux de Police, REO Speedwagon, Oingo Boingo, Devo ou des Commodores participe pour beaucoup à ce sentiment. Les tentatives infructueuses des héros pour coucher contiennent leur lot de passages amusants, comme cette scène où des parents débarquent à l'improviste pour découvrir chez eux une bande de teenagers à poil, celle où les héros souffrent à cause des morpions refilés par une prostituée et n'osent avouer au pharmacien ce qui leur arrive, ou bien la coucherie avec une femme mûre (Louisa Moritz à la prestation mi-géniale, mi-ridicule). L'humour est parfois balourd mais fonctionne globalement. Le look d'ado ordinaire du héros, ni trop beau, ni trop laid, ni super intelligent, ni pénible, facilite bien l'identification malgré son côté parfois trop "pleureuse". La réalisation de Boaz Davidson est plutôt passe-partout. Contrairement à ce qui se fera dans les prudes productions John Hughes, le réalisateur n'oublie pas que son public-cible, tout comme ses personnages, souhaite avant tout voir du nichon : de la MILF à gros tétons, à la fille facile en passant par la vierge qui perd son pucelage, elles tombent toutes facilement le haut à part Kimmy Robertson (la future Lucy de Twin Peaks) et, bizarrement, celle qui incarne la prostituée. La fin révèle une noirceur inattendue, abordant des sujets tels que l'avortement ou la perte des illusions amoureuses, évitant le happy end de rigueur. Une conclusion en guise d'entorse aux règles d'un genre dont il constitue l'un des précurseurs...
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Hercule contre les vampires - 4/10

Messagepar puta madre » Lun 13 Avr 2015, 11:45

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Hercule contre les vampires
Ercole al centro della terra

Mario Bava — 1961 — 4/10
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Première collaboration entre Christopher Lee et Mario Bava deux ans avant le très beau drame gothique Le Corps et le fouet, Hercule contre les vampires constitue une espèce de retour aux sources pour Bava qui avait (joliment) éclairé Hercule et la Reine de Lydie de Pietro Francisci. Reg Park succède à Steve Reeves dans la peau du héros de la mythologie grecque. Plus costaud, moins élancé que son prédécesseur, Park trois fois Monsieur Univers a bien le physique du rôle même s'il accuse un léger manque de charisme, récitant ses dialogues sans beaucoup varier d'expressions. Face à lui, Lee livre une prestation de méchant nettement moins remarquable que celles qu'il proposait pour la Hammer. Il est assorti d'une coupe de cheveux à frange courte qui ne l'avantage guère!

Le film est une véritable réussite plastique en dépit de son maigre budget. D'un côté, Bava filme ses acteurs dans des décors presque théâtraux devant un fond noir ou bleu qui renforce le côté "arrivée des ténèbres" de son histoire, le monde extérieur semblant être réduit à néant. De l'autre, il utilise à bon escient ses fameux éclairages multicolores qui jouent pour beaucoup dans l'atmosphère fantastique du film. Les scènes chez l'oracle ou la traversée de l'espèce de forêt située dans les enfers sont deux scènes de toute beauté. Si l'on excepte certains décors toc ou le personnage passablement ridicule de l'homme de pierre, les effets spéciaux sont également de qualité au vu de l'époque et du budget. Le réalisateur a par moments recours au système D, par exemple lors d'un plan sur un coucher de soleil se teinte de noir pour signaler l'entrée dans le monde des ténèbres (de l'encre projetée dans un liquide puis projetée sur une miniature), ou lors de la scène de l'arbre des Hespérides (probablement composé des mêmes bouts de décor arrangés différemment). La scène la plus impressionnante est celle où Hercule et son compagnon traversent un lac de feu accrochés à un filin. Bava signe lors de son final une scène qu'on pourrait croire sortie du Masque du démon ou de ses autres films gothiques, où les "vampires" du titre sortent de leurs tombes brume à l'appui!

Si visuellement on est à la fête, Hercule contre les vampires accuse malgré tout un côté statique. L'action n'est jamais palpitante, Hercule étant pour beaucoup réduit à balancer des rochers qui sentent le carton-pâte - pour faire tomber une branche de l'arbre des Hespérides, pour tendre un filin, sur des ennemis... Le final où il envoie des blocs de pierre sur les "vampires" est assez risible. Au final, Hercule contre les vampires constitue donc une très belle expérience formelle, preuve encore une fois du talent visuel de son réalisateur, mais s'avère trop lent et bavard pour susciter une réelle adhésion.
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Batman The Dark Knight Returns (Part 1) - 7/10

Messagepar puta madre » Mar 14 Avr 2015, 16:30

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Batman: The Dark Knight Returns,
1ere partie


Jay Oliva — 2012 — 7/10
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Bah c'était franchement pas mal! Bon, vu la qualité exceptionnelle du matériau d'origine, ça n'a rien de surprenant, mais on peut louer la volonté du réalisateur et des producteurs de ne pas édulcorer le contenu du graphic novel de Frank Miller. On retrouve donc les thématiques autour du vigilantisme et du statut de Batman (héros ou criminel?) avec une ambiance et un traitement résolument adultes. The Dark Knight returns n'est pas excessivement violent en termes graphiques, même si le look des mutants devrait faire faire quelques cauchemars aux plus petits, mais il se rattrape par son intensité. Esthétiquement, c'est très soigné et plutôt joli, ce qui l'éloigne du côté mal dégrossi des dessins de Klaus Janson. Les scènes nocturnes présentent une belle ambiance urbaine. Les bastons contre le chef des mutants sont dynamiques et bien découpées, la seconde possédant un côté crépusculaire bien en phase avec les thématiques du film. On pourra regretter quelques scènes techniquement en deçà qui trahissent son statut de DTV, comme le Grand Prix qui ouvre le film. La musique de Christopher Drake est plutôt fonctionnelle mais réserve quelques belles envolées lyriques qui renforcent la puissance des images (notamment lors l’arrivée en Batmobile). Le casting vocal s'en sort très bien - mention spéciale à Peter Weller excellent choix en lead avec sa voix grave ou bien Ariel Winter en Carrie Kelley. Ça fait un moment que j'ai lu le graphic novel et j'avais oublié les similitudes avec le Dark Knight Rises de Nolan et il s'avère plus convaincant que ce dernier en moitié de moins de temps. Les quelques scènes qui reviennent sur le meurtre des parents de Wayne sont plutôt émouvantes, suggérant que celui-ci ne s’est jamais remis de cet événement traumatique malgré les années passées à combattre le crime. Last but not least, on a droit à un sympathique clin d'oeil à Watchmen, V pour Vendetta ou Sandman. Vivement la suite!
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Scream - 7/10

Messagepar puta madre » Mer 15 Avr 2015, 13:23

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Scream

Wes Craven — 1996 — 7/10
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Tourné seulement un an après Un Vampire à Brooklyn, Scream marquait un retour en forme inespéré de la part de Wes Craven au vu de sa collaboration avec Eddie Murphy. Le papa de Freddy semble avoir été revigoré par le script astucieux de Kevin Williamson. Le ton est donné dès la scène d'introduction, qui marie ludisme et efficacité. Ludisme à travers son aspect référentiel - on y cite des classiques du slasher comme Halloween ou Vendredi 13 tandis que Craven égratigne les suites données aux Griffes de la nuit (oubliant sûrement qu'il avait signé un septième Freddy deux ans plus tôt). Efficacité par la montée en puissance du suspense, rythmée par le plan du sachet de pop corn en train de gonfler.

La première heure va développer le ton référentiel entrevu dans l'introduction, à base d'allusions aux classiques du slasher (Halloween film matriciel du genre, Le Bal de l'horreur ou bien Terreur sur la ligne à travers l'idée du tueur qui appelle depuis l'intérieur de la maison), de clins d'oeil (Craven apparaît vêtu du pull de Freddy et se rêve du même niveau qu'un Carpenter - "Wes Carpenter" étant cité à tort par un des protagonistes) et bien entendu en se moquant gentiment de certaines règles inhérentes au genre. Contrairement à nombre de slashers où les personnages sont juste bons à servir de chair à pâté, ceux des deux premiers Scream sont suffisamment développés pour qu'on s'intéresse à leur sort: du geek Randy alter ego de Williamson à l'écran au flic Dewey complexé par son âge, de la journaliste vénale Gale Weathers à la meilleure amie Tatum, en passant par Sidney marquée par l'assassinat de sa mère... Seul Skeet Ulrich en Johnny Depp du pauvre laisse à désirer. Le scénario ne manque pas d'humour - comme cette scène où le proviseur incarné par Henry Winkler reproche à deux étudiants d'être des irresponsables tout en les menaçant avec des ciseaux - et c'est un plaisir de voir évoluer toute cette petite troupe dans une ambiance très teen movie.

Les personnages ont tendance à comparer leur situation à celle de films d'horreur, un peu comme on peut le faire avec des situations de notre quotidien, exposant les règles et clichés que Craven et Williamson vont exploiter dans la seconde partie. C'est un peu comme si réalisateur et scénariste nous disaient: "vous n'êtes pas dupes de ce que vous regardez, et on sait que vous ne l'êtes pas, mais on va quand même vous offrir les sensations fortes que vous êtes venus chercher". Un pari risqué, mais réussi car la seconde moitié, la fête estudiantine qui tourne au massacre, est carrément brillante. Craven et Williamson illustrent avec une belle fluidité les chassés-croisés des protagonistes dans et autour de la maison. Elle contient quelques belles idées, comme l'apparition inattendue du tueur près du van de Gail en raison d'un délai dans la retransmission des images filmées depuis le salon ou bien la manière dont la musique d'Halloween visionné seul par Randy vient illustrer une scène.

La séquence de révélation de l'identité des tueurs m'a, elle, toujours paru assez faiblarde. Je ne suis pas fan du "show" des deux personnages et de leurs motivations. Leur idée de se poignarder mutuellement alors que Sidney est toujours vivante m'a toujours paru crétine. De plus, la manière dont Sidney se débarrasse des assassins en se déguisant constitue une conclusion décevante à ce qui a précédé. Par contre, le passage où Sidney tire une balle en plein dans la tête de Billy pour s'assurer qu'il est bel et bien mort m'a bien fait rire.


Craven propose une réalisation d'une bonne tenue, sans véritable éclat de génie mais qui sert bien les séquences à suspense. Il fait une jolie utilisation de la steadycam lors de la séquence d'introduction. J'aime bien le look du tueur - masque en hommage au tableau d'Edward Munch et cape noire. Il s'en prend plein la tronche pendant le film, rendant certains passages comme la mort de Tatum proches de la comédie, sans que ça n'atténue la menace qu'il représente.

S'il me paraît moins satisfaisant qu'à l'époque où je l'ai découvert en salles, en raison de quelques longueurs dans sa première heure, Scream est néanmoins un film pour lequel je conserve une certaine affection et que je place sans difficulté parmi mes slashers préférés.
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Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar Mark Chopper » Mer 15 Avr 2015, 13:35

Un film abject, un crachat à la gueule du genre.

L'expression "film de petit malin" a dû être inventée pour cette vaste blague.
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Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar Jed_Trigado » Mer 15 Avr 2015, 13:40

Merci Mark, en fait, je me rends compte qu'il y a que les opus 3 et 4 que je trouve a peu près défendables car au moins ils dévient leur ton cynique sur d'autres victimes que les fans de films d'horreur, que ce soit le monde du showbiz ou celui de la génération Facebook.
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Re: [puta madre] Mes critiques en 2015

Messagepar Mr Jack » Mer 15 Avr 2015, 19:36

Mark Chopper a écrit:Un film abject, un crachat à la gueule du genre.

L'expression "film de petit malin" a dû être inventée pour cette vaste blague.


Voilà, ça c'est un discours de vieux con. :mrgreen:
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