Blackhat …. C’est partie pour un peut plus de grosse heures ou Mann nous offre sont show, limite du fan service tellement tout est la, mais décupler avec de nouveau moyen technologique. La puissance des images créer est assez planante et d’une classe affolante. Quelques regard et on croit a une histoire d’amour, mais quand le danger éclate, ça laisse des morts et ça fait très mal , un style unique , inimitable , pas un seul plan pourrait passer pour un autre real . Soyez prévenue .
Aussi opaque dans sont script que Miami vice pouvait l’être en apparence ( du coup la , si on a pas aimer Miami , peut de chance d’accrocher ici et inversement ) , et pourtant tout est la , il suffit de faire attention a ce que nous montre et raconte Mann , chaque scènes , plan , dialogue est la pour personnifier ces personnages … le bien et le mal , deux revers d’une même médaille , Ca peut paraître con a dire , mais c’est bel et bien un film 100% Mannien , alors a moins de s’attendre a autre chose , je comprend pas la déception ( qu’on aime pas , ça , c’est autre chose ) avec tout ce que ça comporte comme personnage principal viril , professionnel , pragmatique , définie par leur travail assidue , détailler , précis , l’incursion d’émotion et sentiment au cœur de l’action , les obsessions de libertés , TOUTE ces thématiques sont la , d’ailleurs dans le fond c’est sûrement sont film le plus proche de Thief … bon , on pourrait argumenter que finalement le sujet même du film , est peut être un prétexte pour Mann de poursuivre ces envies artistique et compléter sont œuvre intégrale , mais force est de constater que ce contexte plus d’actualité que jamais semble être l’évolution logique chez le monsieur au niveau de ces ambitions et puis l’ambiance général du film est assez singulière . Le squelette de sont histoire reprend toute les figures récurrente de sa filmo . Un Thriller en forme de poursuite constante, haletante, littéralement au 4 coins du monde , hautement réaliste, ou l’action ultra violente ( jamais on a vue Mann se lâcher autant sur l’hémoglobine , les os brise , la brutalité générale, le final est aussi tétanisant qu’exécutif ) . Du polar cybernétique adulte, intelligent avec une sacrer description du travaille quotidien de ces « hackers » loin des cliches de geek , ici c’est scientifique .
Sur la forme , on touche au sublime dans le « mann experimental » , je veut dire par la que c’est plus que jamais Miami vice version Worldwide . PERSONNE, PERSONNE , ne film une ville de nuit comme lui , personne ne magnifie l’urbanité et l’architecture moderne comme Mann , c’est tout simplement virtuose , Mann fait joujou avec tout ce qu’il aime , helico , avion , speedboat , cargo , train , voiture , moto …
Mais bon , essayer de rédiger une « vrai critique » c’est pas mon job , donc oui , avec de simple mot , y a de gros gros , que dit je MAOUSSE gun fight de dingue , Mann prend des guns encore plus gros , jete des grenade , pose des bombe , slow mow , effet d’assourdissement , des troupes de bad guys facon swat filmer comme un opéra chaotique , c’était déjà LE cador du domaine , mais la , il insiste bien sur le faite de se surpasser .
La fin est trop classe , avec ces moment de grâce , de flottement , renvoyant complètement a celle de miami , l’emploie de la musique et en total symbiose avec l’expérience visuel , c’est tripesque , enivrant . Oui, d’un point de vue « classique » , l’intrigue reste un poil évasive et les perso peuvent sembler un peut détacher de tout ça , mais tout comme l’etait miami vice .
A michael mann film , you bet ! et je n’est aucun problème a reconnaître que c’est plusieurs cran au dessus de Public enemies que j aime bcp tout de meme