[Pathfinder] Mes critiques en 2015

[Milkshake]

[color=#BFFF00] 5,5/10

Entre celui là et Miami Vice, vais me faire des potes tiens!

Effectivement... autant les mauvaises notes OK mais mettre les films au même niveau en dessous de Maniac, ça le fait moyen

[Heatmann]

j etais jusqu'a present seul sur looper, on est donc 2 maintenant

[Pathfinder]

[color=#BFFF00] 5,5/10

Entre celui là et Miami Vice, vais me faire des potes tiens!

Effectivement... autant les mauvaises notes OK mais mettre les films au même niveau en dessous de Maniac, ça le fait moyen

2 notes similaires mais on est sur deux ressentis et deux styles très différents. Ne fous pas tout dans le meme panier voyons!

j etais jusqu'a present seul sur looper, on est donc 2 maintenant

Heat, my teammate

[Mr Jack]

T'abuses, ça claque Looper

[Malko Linge]

Perso, je suis aussi resté à 6,5

[maltese]

Perso j'trouve que Gordon-Levitt gagnerait à jouer en permanence avec des prothèses

[Pathfinder]

Perso, je suis aussi resté à 6,5

T'as pas à rougir Malko! C'est vachement surévalué comme film...

[Pathfinder]

6/10

Pourquoi cette note?
Parce qu'il faut bien reconnaitre que cette suite a perdu de son charme...

Autant le premier volet m'avait surpris par sa facilité à traverser les décennies, autant la suite de Brian Yuzna a une facheuse tendance à s'effondrer au fil des revues....

La faiblesse du budget reste compensée par une jolie inventivité via cette relecture azimutée de la fiancée de Frankenstein. Malheureusement moins énergique que son ainé, il faut attendre la dernière bobine pour replonger pleinement dans l'univers du Docteur West. Dès cet instant, la patte Yuzna est bien présente à base de gore qui tache et de maquillages inventifs (merci encore le très bon Screaming Mad George). Mais avant toutes ces joyeusetées, il faut se coltiner une phase d'exposition bien trop longue et surtout étonnamment avare en tripailles. A ce titre, je me rappelle que Society du meme réalisateur souffrait de symptomes équivalents. Toujours est il que j'ai passé mon temps à regarder la montre face à un spectacle atténuant fortement le jeu d'un Jeffrey Combs en retrait, un comble quand on connait le role prépondérant du bonhomme dans le succès du premier. Heureusement donc que la dernière partie vient mouvementer tout cela avec surtout le retour du Docteur Hill en mode vachard. C'est le moment idéal pour lacher les chevaux et livrer un spectacle gore certes mais versant aussi dans un macabre plutot bien maitrisé (les nombreux plans dans le cimetierre ).

Il n'en faut donc pas beaucoup avant que cet épisode atteigne sa date de péremption mais il reste quand meme un bon délire mais qui aurait mérité d'etre bien plus présent sur la longueur...

[angel.heart]

Moi j'avais adoré.

C'est peut-être même mon préféré de la trilogie! (à revoir tout de même...)

Sinon, tu ne mets pas le titre original (La fiancée de ré-animator)?

[Pathfinder]

Beh, il a un peu tous les noms en fait. Du coup, je savais plus trop là...

Le meilleur des 3, revois le quand meme... Le premier est nettement plus délirant!

[Pathfinder]

Erreur de référencement pour ma critique de Réanimator 2!

Il a été référencé avec le premier!!!!

[Alegas]

Fixed.

[Pathfinder]

[Pathfinder]

Le point sur le mois de Janvier
14 films, 1 bijou français, 1 étron cataclysmique pour une moyenne de 5,17

Ce qu'il faut retenir en priorité:


Ce qu'il faut proscrire et ne plus jamais montrer (mais vraiment là!):


Le film qui m'a fortement déçu:


Le détail:
1 American Bluff 8/10
2 Le jour des morts 1/10
3 Lucy 0/10
4 All is lost 7/10
5 Fury 6,5/10
6 Annabelle 1/10
7 Coup de tete 9/10
8 Mort subite 4,5/10
9 La vie secrète de Walter Mitty 7/10
10 The Grand Budapest Hotel 8/10
11 Miami Vice 4/10
12 Looper 5,5/10
13 Maniac (2012) 5/10
14 Ré-animator II (2012) 6/10

[Alegas]

9/10

Pourquoi cette note?
Parce que c'est passionnant et superbement mis en scène...

Comme je n'arrive pas à écrire un traitre mot sur Zodiac, je vais donc m'amuser à décrire le pourquoi du comment de ce nouveau visionnage. Il y a quelques temps, j'écrivais à propos de Millénium tout en essayant de digérer mon énorme déception de l'époque. J'avais meme dit que Monsieur Fincher amorçait, sans doute, sa phase de déclin artistique...

Quelques années plus tard, je me dois de tempérer voire meme de réviser tout ça. S'il y a bien quelque chose sur lequel je ne reviendrais pas, c'est Benjamin Button qui est et restera un vrai furoncle dans la filmographie du bonhomme. En revanche, ce que je n'avais pas prévu c'est de revaloriser, de fond en comble, Millenium. Calmé et bien décidé à lui redonner une chance, je met sereinement le blu-ray dans le lecteur. Passée la claque monumentale du générique, je redécouvre le film et lui accorde toute l'attention que je n'avais visiblement pas eu lors de sa sortie. Vénéneux, tortueux, le thriller de David Fincher déploie une emprise rare et laisse un gout amer (dans le bon sens du terme si je puis dire) qui n'est pas sans rappeler une autre grande réussite du réalisateur. Seven, oui la comparaison est lachée meme si l'approche reste bien différente... Toujours est il que ce détour en terre suédoise a été salvateur puisqu'il m'a donné envie de revoir Zodiac (film qui prenait injustement la poussière sur mon étagère). Pas de vrais points communs à priori avec la relecture de Stieg Larson mais juste un furieux besoin d'etre à nouveau noyé dans l'univers particulier du réalisateur. Et quoi de mieux que le meilleur film d'investigation de ces dernières années?! Encore une fois, je n'arrive pas à trouver des mots clairs pour exprimer mon ressenti à la suite de cette troisième vision.

Visuellement étourdissant, Zodiac se bonifie avec le temps avec son rythme exemplaire et son flot d'informations distillé avec une grande maitrise. Il faudrait remonter à l'intouchable JFK pour tutoyer à nouveau une telle maestria. Zodiac est donc un tour de force technique et narratif ébourrifant proposé par un artiste passionné entièrement dévoué à son sujet. Une critique bizarroide, j'en conviens mais qui a le mérite d'expliquer le pourquoi du comment de cette nouvelle séance.